Le groupe intersectoriel chargé de l'examen d'un éventuel retour de l'importation des véhicules de moins detrois ans, n'est pas parvenu encore à une "conclusion", a indiqué samedi un hautresponsable du ministère de l'Industrie etdes Mines. Le groupe intersectoriel chargé de l'examen d'un éventuel retour de l'importation des véhicules de moins detrois ans, n'est pas parvenu encore à une "conclusion", a indiqué samedi un hautresponsable du ministère de l'Industrie etdes Mines. "Il y a un groupe de travail qui a été installé,dont nous (ministère de l'Industrie)faisons partie. Mais pour le moment il n'y a pas encore de conclusion", a expliqué le directeur général du développement industriel et technologique, Mustapha Hamoudi, dans un entretien à l'APS.Concernant l'impact négatif que peut avoirce retour sur l'économie nationale, ce responsables'est contenté de répondre qu'"aucune conclusion n'a été encore établiesur cette éventualité".Pour rappel, les ministres des Finances et du Commerce ont été chargés, lors d'unConseil interministériel, tenu en mai dernier,d'élaborer une "conception sur les mécanismes juridiques permettant aucitoyen d'importer les véhiculesd'occasion". Le ministre du Commerce, Saïd Djellab, avait affirmé une semaine après la prise de cette décision, que le retour del'importation des véhicules d'occasion, permettra de "faire pression" sur le marchédes véhicules assemblés localement. "L'un des objectifs de l'importation des véhicules d'occasion (moins de 3 ans,Ndlr) est de faire pression sur les prix des véhicules fabriqués localement. Ca vaconstituer un facteur externe favorisant labaisse des prix, et permettre de donner unechance au citoyen d'acquérir un véhicule selon ses moyens", avait déclaré M.Djellab à la presse, en marge d'une rencontred'évaluation avec les directeurs de son secteur.Selon ses propos, le retour de l'importation des véhicules d'occasion se fera "dans le respect des normes et exigences techniques, environnementales et sécuritaires".Il a expliqué que ce dispositif concernera exclusivement les véhicules de moins de trois ans, mais sans donner plus de détails sur ce dossier "en cours de maturation". La conception en cours d'élaboration par les ministère des Finances et duCommerce inclut également le passage parvoie bancaire pour le paiement des véhicules importés, ainsi que les tarifs douaniers à fixer pour ce genre de transaction. "Nous allons étudier tout les aspects de façon à ne pas altérer le pouvoir d'achat des citoyens afin de créer un marché automobile équilibré en Algérie", avait précisé le ministre "Il y a un groupe de travail qui a été installé,dont nous (ministère de l'Industrie)faisons partie. Mais pour le moment il n'y a pas encore de conclusion", a expliqué le directeur général du développement industriel et technologique, Mustapha Hamoudi, dans un entretien à l'APS.Concernant l'impact négatif que peut avoirce retour sur l'économie nationale, ce responsables'est contenté de répondre qu'"aucune conclusion n'a été encore établiesur cette éventualité".Pour rappel, les ministres des Finances et du Commerce ont été chargés, lors d'unConseil interministériel, tenu en mai dernier,d'élaborer une "conception sur les mécanismes juridiques permettant aucitoyen d'importer les véhiculesd'occasion". Le ministre du Commerce, Saïd Djellab, avait affirmé une semaine après la prise de cette décision, que le retour del'importation des véhicules d'occasion, permettra de "faire pression" sur le marchédes véhicules assemblés localement. "L'un des objectifs de l'importation des véhicules d'occasion (moins de 3 ans,Ndlr) est de faire pression sur les prix des véhicules fabriqués localement. Ca vaconstituer un facteur externe favorisant labaisse des prix, et permettre de donner unechance au citoyen d'acquérir un véhicule selon ses moyens", avait déclaré M.Djellab à la presse, en marge d'une rencontred'évaluation avec les directeurs de son secteur.Selon ses propos, le retour de l'importation des véhicules d'occasion se fera "dans le respect des normes et exigences techniques, environnementales et sécuritaires".Il a expliqué que ce dispositif concernera exclusivement les véhicules de moins de trois ans, mais sans donner plus de détails sur ce dossier "en cours de maturation". La conception en cours d'élaboration par les ministère des Finances et duCommerce inclut également le passage parvoie bancaire pour le paiement des véhicules importés, ainsi que les tarifs douaniers à fixer pour ce genre de transaction. "Nous allons étudier tout les aspects de façon à ne pas altérer le pouvoir d'achat des citoyens afin de créer un marché automobile équilibré en Algérie", avait précisé le ministre