Le Mouvement de la société pour la paix (MSP) qui a fait, selon les observateurs profil bas depuis un certain temps déjà, semble avoir changé de fusil d'épaule. Le Mouvement de la société pour la paix (MSP) qui a fait, selon les observateurs profil bas depuis un certain temps déjà, semble avoir changé de fusil d'épaule. En somme, ont estimé de nombreux analystes, il vient de hausser le ton par rapport à la situation politique que traverse le pays. En effet le MSP a rendu public hier un communiqué dans lequel il reproche au pouvoir en place "d'entraver le processus de ransition démocratique porté par le hirak" et d'avoir aussi "failli à la promesse de concrétiser toutes les revendications populaires, en vertu des articles 7 et 8 de la Constitution". "La défiance, le doute, la politique du fait accompli et l'hégémonie de l'Administration, qui caractérisent le processus électoral risquent de faire en sorte que la présidentielle du 12 décembre ne soit plus en capacité de répondre à tous les défis intérieurs et extérieurs qui attendent l'Algérie", ajoute-t-il. Le MSP met en garde par ailleurs contre "l'exploitation de la situation politique difficile et la faiblesse des institutions pour faire passer dans le secteur des hydrocarbures ce que l'ancien régime n'a pas réussi à faire". Ajoutant que "l'exploitation du gaz de schiste et le risque de renoncement à la souveraineté économique nécessitent l'ouverture d'un dialogue politique et social global dans un climat démocratique pour cristalliser une politique énergétique consensuelle". Le MSP focalise aussi sur les récentes déclarations du ministre de l'Energie qui avait déclaré dans la presse que "le projet de loi sur les hydrocarbures est élaboré par quatr experts internationaux". Ceci est "grave" aux yeux du MSP qui dénonce "le capitalisme sauvage qui ne se préoccupe que de ses intérêts". Sur le même registre le MSP note que "l'actuelle APN, rejetée par le peuple, n'est pas habilitée à examiner un projet aussi important qui est en rapport avec la souveraineté économique nationale". Le MSP dénie aussi au gouvernement Bedoui, "dont le départ est exigé par le peuple, de porter un tel projet". Enfin, le MSP appelle à la libération des détenus du hirak, soulignant "l'obligation de solidarité à leur égard de la part de toutes les forces politiques et sociales". En somme, ont estimé de nombreux analystes, il vient de hausser le ton par rapport à la situation politique que traverse le pays. En effet le MSP a rendu public hier un communiqué dans lequel il reproche au pouvoir en place "d'entraver le processus de ransition démocratique porté par le hirak" et d'avoir aussi "failli à la promesse de concrétiser toutes les revendications populaires, en vertu des articles 7 et 8 de la Constitution". "La défiance, le doute, la politique du fait accompli et l'hégémonie de l'Administration, qui caractérisent le processus électoral risquent de faire en sorte que la présidentielle du 12 décembre ne soit plus en capacité de répondre à tous les défis intérieurs et extérieurs qui attendent l'Algérie", ajoute-t-il. Le MSP met en garde par ailleurs contre "l'exploitation de la situation politique difficile et la faiblesse des institutions pour faire passer dans le secteur des hydrocarbures ce que l'ancien régime n'a pas réussi à faire". Ajoutant que "l'exploitation du gaz de schiste et le risque de renoncement à la souveraineté économique nécessitent l'ouverture d'un dialogue politique et social global dans un climat démocratique pour cristalliser une politique énergétique consensuelle". Le MSP focalise aussi sur les récentes déclarations du ministre de l'Energie qui avait déclaré dans la presse que "le projet de loi sur les hydrocarbures est élaboré par quatr experts internationaux". Ceci est "grave" aux yeux du MSP qui dénonce "le capitalisme sauvage qui ne se préoccupe que de ses intérêts". Sur le même registre le MSP note que "l'actuelle APN, rejetée par le peuple, n'est pas habilitée à examiner un projet aussi important qui est en rapport avec la souveraineté économique nationale". Le MSP dénie aussi au gouvernement Bedoui, "dont le départ est exigé par le peuple, de porter un tel projet". Enfin, le MSP appelle à la libération des détenus du hirak, soulignant "l'obligation de solidarité à leur égard de la part de toutes les forces politiques et sociales".