Pas moins de 2.200 alertes pour des cas d'enfants en danger ont été enregistrés via le numéro vert 11 11 depuis le début de l'année, a indiqué lundi à Mila la déléguée nationale à la protection de l'enfance, Meriem Chorfi. Sur le site du camp de jeunes Anouch- Ali dans la commune de Grarem Gouga, la même responsable a déclaré à la presse que les services de l'organe qu'elle dirige ont recueilli au cours de l'année courant 600.000 appels dont 2.200 se rapportant à des cas d'enfants en danger. Mme Chorfi a affirmé que l'instance est intervenue en coordination avec les parties concernées pour "le traitement instantané" des cas signalés dont certains l'ont été par des enfants et concernent des cas de privation de la scolarité, d'exploitation d'enfants pour la mendicité et d'enfants ayant perdu leurs parents. Le nombre d'appels enregistrés montre, a ajouté Mme Chorfi, que l'instance est désormais bien connue par les citoyens ce qui consolide son rôle de protection de l'enfance qui constitue une responsabilité incombant à tous surtout que l'Etat a mis en place tous les moyens et mécanismes à cet effet. Lors de sa visite à l'école Larbi-Tebessi à Teleghma, la déléguée à la protection de l'enfance a salué l'initiative que l'établissement qui favorise d'expression par les enfants de leurs centres d'intérêt et la contribution des parents à l'aménagement de l'école en en faisant un milieu attractif pour l'enfant. A l'établissement de l'enfance assistée, la même responsable a salué les familles qui prennent en charge ces enfants les appelant à "davantage d'intérêt pour les enfants souffrant de handicap". Sur le site du projet de camp de jeunes sur les berges du barrage de Béni-Haroun dont la réception est annoncée au premier trimestre 2020, Mme Chorfi a préconisé "l'organisation de manifestations et activités pour enfants au sein de ce futur équipement". Elle a procédé en compagnie des autorités locales à la mise en service du réseau de distribution de gaz naturel à la mechta Beloucif dans la commune d'Aïn- Tine et à Guettara dans la commune de Grarem Gouga. Pas moins de 2.200 alertes pour des cas d'enfants en danger ont été enregistrés via le numéro vert 11 11 depuis le début de l'année, a indiqué lundi à Mila la déléguée nationale à la protection de l'enfance, Meriem Chorfi. Sur le site du camp de jeunes Anouch- Ali dans la commune de Grarem Gouga, la même responsable a déclaré à la presse que les services de l'organe qu'elle dirige ont recueilli au cours de l'année courant 600.000 appels dont 2.200 se rapportant à des cas d'enfants en danger. Mme Chorfi a affirmé que l'instance est intervenue en coordination avec les parties concernées pour "le traitement instantané" des cas signalés dont certains l'ont été par des enfants et concernent des cas de privation de la scolarité, d'exploitation d'enfants pour la mendicité et d'enfants ayant perdu leurs parents. Le nombre d'appels enregistrés montre, a ajouté Mme Chorfi, que l'instance est désormais bien connue par les citoyens ce qui consolide son rôle de protection de l'enfance qui constitue une responsabilité incombant à tous surtout que l'Etat a mis en place tous les moyens et mécanismes à cet effet. Lors de sa visite à l'école Larbi-Tebessi à Teleghma, la déléguée à la protection de l'enfance a salué l'initiative que l'établissement qui favorise d'expression par les enfants de leurs centres d'intérêt et la contribution des parents à l'aménagement de l'école en en faisant un milieu attractif pour l'enfant. A l'établissement de l'enfance assistée, la même responsable a salué les familles qui prennent en charge ces enfants les appelant à "davantage d'intérêt pour les enfants souffrant de handicap". Sur le site du projet de camp de jeunes sur les berges du barrage de Béni-Haroun dont la réception est annoncée au premier trimestre 2020, Mme Chorfi a préconisé "l'organisation de manifestations et activités pour enfants au sein de ce futur équipement". Elle a procédé en compagnie des autorités locales à la mise en service du réseau de distribution de gaz naturel à la mechta Beloucif dans la commune d'Aïn- Tine et à Guettara dans la commune de Grarem Gouga.