Le gaspillage alimentaire prend, durant le mois de Ramadhan, des proportions alarmantes, un phénomène qui va à l'encontre de l'esprit de ce mois. Pourtant des campagnes sont lancées çà et là par des associations et des organismes officiels, des journées et semaines fil rouge sont également animées par des radios et télévisions, histoire de sensibiliser autour de ce fléau social. En effet, à chaque avènement de ce mois sacré, de nombreuses familles s'efforcent de garnir leurs tables de mets aussi riches que variés, basculant parfois dans l'excès qui conduit au gaspillage. Le gaspillage alimentaire prend, durant le mois de Ramadhan, des proportions alarmantes, un phénomène qui va à l'encontre de l'esprit de ce mois. Pourtant des campagnes sont lancées çà et là par des associations et des organismes officiels, des journées et semaines fil rouge sont également animées par des radios et télévisions, histoire de sensibiliser autour de ce fléau social. En effet, à chaque avènement de ce mois sacré, de nombreuses familles s'efforcent de garnir leurs tables de mets aussi riches que variés, basculant parfois dans l'excès qui conduit au gaspillage. Les chiffres révélés dernièrement par la Fédération nationale des boulangers (FNB), donnent des sueurs froides. Sur les 60 millions de baguettes de pain fabriquées, près de 13 millions sont jetées quotidiennement, soit l'équivalent de 340 millions de dollars gaspillés annuellement sans état d'âme. Malheureusement ce gaspillage touche également d'autres produits alimentaires puisque sur les 10 millions detonnes, toutes denrées confondues, achetées par les citoyens, 500.000 tonnes rejoignent le pain dans les décharges publiques. Les habitudes alimentaires des Algériens ont-elles vraiment changé ? Cette année, l'approche semble connaître un début d'innovation et de sérieux dans le traitement de la question par l'Agence nationale de déchets (AND). En effet, dans une enquête menée sur un échantillon de plusieurs familles réparties sur plusieurs communes d'Alger, avec des instructions à l'encontre de ces familles, munies de sachets spéciaux, afin de pouvoir suivre et vérifier leur contenu. Après qu'il a été remarqué l'accroîssement de l'utilisation de boîtes alimentaires, indiquant un changement inéluctable dans le mode de consommation des Algériens. Aussi, l'épluchage des ordures indique une hausse de 43 % du volume des légumes et fruits durant ce mois de piété. Toujours selon l'étude de l'ADN, les ordures comptent des déchets ultimes non recyclables (53 %) et des déchets d'emballage en plastique et en papier (23 %). À titre d'exemple également, il ressort des premiers éléments de cette enquête, que "des familles de 5 à 7 personnes, achètent 3 à 4 pains par jour, et n'en consomment que 2 ou 3, tout au plus. Le reste est jeté aux ordures", noteon. Selon les représentants de l'Agence nationale des déchets, il a été remarqué une augmentation de 10 % du volume des ordures et un taux de 19 % représentant une hausse dans le gaspillage alimentaire dans les communes de l'Algérois. Ce qui pose problème pour les rondes des camions d'hygiène, mais aussi pour les centres d'enfouissement technique et les décharges publiques de la commune, soumis à un rythme et des volumes impressionnants. Les chiffres révélés dernièrement par la Fédération nationale des boulangers (FNB), donnent des sueurs froides. Sur les 60 millions de baguettes de pain fabriquées, près de 13 millions sont jetées quotidiennement, soit l'équivalent de 340 millions de dollars gaspillés annuellement sans état d'âme. Malheureusement ce gaspillage touche également d'autres produits alimentaires puisque sur les 10 millions detonnes, toutes denrées confondues, achetées par les citoyens, 500.000 tonnes rejoignent le pain dans les décharges publiques. Les habitudes alimentaires des Algériens ont-elles vraiment changé ? Cette année, l'approche semble connaître un début d'innovation et de sérieux dans le traitement de la question par l'Agence nationale de déchets (AND). En effet, dans une enquête menée sur un échantillon de plusieurs familles réparties sur plusieurs communes d'Alger, avec des instructions à l'encontre de ces familles, munies de sachets spéciaux, afin de pouvoir suivre et vérifier leur contenu. Après qu'il a été remarqué l'accroîssement de l'utilisation de boîtes alimentaires, indiquant un changement inéluctable dans le mode de consommation des Algériens. Aussi, l'épluchage des ordures indique une hausse de 43 % du volume des légumes et fruits durant ce mois de piété. Toujours selon l'étude de l'ADN, les ordures comptent des déchets ultimes non recyclables (53 %) et des déchets d'emballage en plastique et en papier (23 %). À titre d'exemple également, il ressort des premiers éléments de cette enquête, que "des familles de 5 à 7 personnes, achètent 3 à 4 pains par jour, et n'en consomment que 2 ou 3, tout au plus. Le reste est jeté aux ordures", noteon. Selon les représentants de l'Agence nationale des déchets, il a été remarqué une augmentation de 10 % du volume des ordures et un taux de 19 % représentant une hausse dans le gaspillage alimentaire dans les communes de l'Algérois. Ce qui pose problème pour les rondes des camions d'hygiène, mais aussi pour les centres d'enfouissement technique et les décharges publiques de la commune, soumis à un rythme et des volumes impressionnants.