Le professeur Djamel-Eddine Nibouche, chef de service cardiologie de l'hôpital Nafissa-Hamoud, a indiqué à la radio chaîne 3, hier, qu'il faut moderniser les structures pour régler le problème d'oxygène. Le professeur Djamel-Eddine Nibouche, chef de service cardiologie de l'hôpital Nafissa-Hamoud, a indiqué à la radio chaîne 3, hier, qu'il faut moderniser les structures pour régler le problème d'oxygène. La gestion de "l'oxygène est archaïque parce qu'il n'y a pas de sociétés de prestation de service qui sont des professionnels de l'oxygène. Un directeur d'hôpital n'a pas à gérer l'oxygène, il fait appel à un prestataire de service", expliquet- il. C'est pourquoi, il recommande "de passer au générateur d'oxygène pour garantir l'autonomie des hôpitaux." La politique de gestion de la "crise sanitaire n'implique pas uniquement le ministère de la Santé qui fait tout ce qui est dans ses possibilités pour gérer la crise, maiselle implique beaucoup d'autres structures de l'Etat", précise le professeur Djamel- Eddine Nibouche, qui appelle à moderniser les structures de santé. Concernant la gestion de la crise sanitaire, le professeur Djamel-Eddine Nibouche, appelle à la mise en place d'une nouvelle stratégie de gestion. "Lorsqu'on analyse la maladie, on voit qu'elle est périodique, avec des phases d'accalmie où il y a un fond de contaminations et puis, d'un seul coup, la contamination devient importante", relève le professeur Nibouche qui recommande de s'y préparer. "Il faut toujours se préparer à ces nouvelles phases de hausse des contaminations." Pour Djamel-Eddine Nibouche , les hôpitaux sont inadaptés à la prise en charge du coronavirus et de ses variants. "Nos structures actuelles, surtout dans les grandes villes, ne sont pas adaptées pour une prise en charge adéquate du Covid et d'un nombre aussi important de patients qui présentent des problèmes respiratoires." Selon lui, la solution passe par la réalisation de nouvelles structures dédiées au Covid-19. "Il faut créer des structures légères spécifiques, adaptées à la prise en charge réelle de la maladie. Ces structures peuvent êtres montées en une quinzaine de jours, clés en main, avec un générateur d'oxygène autonome, elles existent en Chine, aux Etats- Unis et en Europe." Le professeur Nibouche insiste : "Ces structures légères doivent être réalisées très rapidement et ainsi, on libèrera tous les hôpitaux des grandes villes pour pouvoir prendre en charge les autres maladies graves." "ll faut former des médecins généralistes" "Maintenant c'est fini, la maladie s'est installée et elle ne va pas disparaître", interpelle encore le professeur Nibouche. Pour lui, il faut former les médecins généralistes à la prise en charge du Covid-19. "Il doit y avoir une formation spécifique,avec un certificat, pour les médecins généralistes qui doivent être au premier plan dans ces structures dédiées." Pour désengorger les hôpitaux, le chef de service appelle également à impliquer le secteur privé : "L'apport des médecins privés est fondamental. Il faut y penser et l'organiser." La gestion de "l'oxygène est archaïque parce qu'il n'y a pas de sociétés de prestation de service qui sont des professionnels de l'oxygène. Un directeur d'hôpital n'a pas à gérer l'oxygène, il fait appel à un prestataire de service", expliquet- il. C'est pourquoi, il recommande "de passer au générateur d'oxygène pour garantir l'autonomie des hôpitaux." La politique de gestion de la "crise sanitaire n'implique pas uniquement le ministère de la Santé qui fait tout ce qui est dans ses possibilités pour gérer la crise, maiselle implique beaucoup d'autres structures de l'Etat", précise le professeur Djamel- Eddine Nibouche, qui appelle à moderniser les structures de santé. Concernant la gestion de la crise sanitaire, le professeur Djamel-Eddine Nibouche, appelle à la mise en place d'une nouvelle stratégie de gestion. "Lorsqu'on analyse la maladie, on voit qu'elle est périodique, avec des phases d'accalmie où il y a un fond de contaminations et puis, d'un seul coup, la contamination devient importante", relève le professeur Nibouche qui recommande de s'y préparer. "Il faut toujours se préparer à ces nouvelles phases de hausse des contaminations." Pour Djamel-Eddine Nibouche , les hôpitaux sont inadaptés à la prise en charge du coronavirus et de ses variants. "Nos structures actuelles, surtout dans les grandes villes, ne sont pas adaptées pour une prise en charge adéquate du Covid et d'un nombre aussi important de patients qui présentent des problèmes respiratoires." Selon lui, la solution passe par la réalisation de nouvelles structures dédiées au Covid-19. "Il faut créer des structures légères spécifiques, adaptées à la prise en charge réelle de la maladie. Ces structures peuvent êtres montées en une quinzaine de jours, clés en main, avec un générateur d'oxygène autonome, elles existent en Chine, aux Etats- Unis et en Europe." Le professeur Nibouche insiste : "Ces structures légères doivent être réalisées très rapidement et ainsi, on libèrera tous les hôpitaux des grandes villes pour pouvoir prendre en charge les autres maladies graves." "ll faut former des médecins généralistes" "Maintenant c'est fini, la maladie s'est installée et elle ne va pas disparaître", interpelle encore le professeur Nibouche. Pour lui, il faut former les médecins généralistes à la prise en charge du Covid-19. "Il doit y avoir une formation spécifique,avec un certificat, pour les médecins généralistes qui doivent être au premier plan dans ces structures dédiées." Pour désengorger les hôpitaux, le chef de service appelle également à impliquer le secteur privé : "L'apport des médecins privés est fondamental. Il faut y penser et l'organiser."