Dès l'annonce de la clôture officielle de la dernière saison footballistique, le marché des transferts occupe la une de la scène sportive nationale sur un air de déjà-vu et entendu, depuis que certains présidents de clubs, et ils sont légion, ont annoncé la couleur de leur argent sorti comme par enchantement on ne sait d'où, à un moment où chaque sou investi par d'autres vaut actuellement son pesant d'or. Dès l'annonce de la clôture officielle de la dernière saison footballistique, le marché des transferts occupe la une de la scène sportive nationale sur un air de déjà-vu et entendu, depuis que certains présidents de clubs, et ils sont légion, ont annoncé la couleur de leur argent sorti comme par enchantement on ne sait d'où, à un moment où chaque sou investi par d'autres vaut actuellement son pesant d'or. C'est en effet terrible et frustrant de voir de quelle façon certains de nos clubs de football, et non des moindres, exhibent aujourd'hui des sommes faramineuses pour se payer les services de tel ou tel joueur, alors que la plupart d'entre eux ne correspondent pas du tout à la qualité du spectacle fourni régulièrement aux quatre coins du pays, durant toute une saison. Des matchs de championnat que nous avons eu à suivre combien de fois, et qui ont rarement été à la hauteur de ces milliards de dinars sacrifiés durant chaque intersaison, pour cause d'un football de plus en plus pauvre, footballistiquement parlant, comme il ne l'avait jamais été auparavant. Une véritable galère souvent sciemment entretenue par des présidents de clubs dont l'unique ambition est de se maintenir coûte que coûte parmi un gotha souvent pris en flagrant délit de concurrence déloyale au sein d'un marché de dupes qui n'a pas fini de faire rêver tout un régiment de joueurs plutôt adeptes d'un foot de toutes les foutaises. Une situation devenue aujourd'hui sans commun rapport avec les saisons précédentes, tellement le milliard de centimes, rien que cela, ne représente plus grand-chose dans les mains de tous ces présidents mécènes, dont la plupart sont connus pour passer leur temps à se plaindre de ce sempiternel problème financier auquel ils font face, souvent même avant l'entame officiel d'une saison. Recruter des joueurs à coup de milliards relève une fois de plus de toutes ces actuelles dérives qui caractérisent chaque jour plus un sport roi pris en otage par des dirigeants de clubs, aujourd'hui assoiffés par le seul pouvoir de l'argent, dont l'odeur est franchement malsaine et loin de toute décence. Un professionnalisme «à l'algérienne» où le plus riche s'arroge tous les droits au nom d'un football national truffé de magouilles et de complicités en tous genres, entre des présidents de clubs qui savent s'entendre entre eux quand il s'agit de leurs intérêts personnels, au final d'un marché vide de sens et sans réelle valeur marchande, pour le plus grand bonheur de nos "pôvres" footballeurs du moment. Quant à la jeune et souvent prometteuse relève, elle a tout le temps de vieillir avant de rejoindre, à son tour, le bataillon des éternels «réformés» qui n'auront jamais la chance de se faire à leur tour un nom, à coup de millions et de milliards, aujourd'hui sources d'un spectacle de plus en plus désolant, au grand dam des véritables connaisseurs en la matière. C'est en effet terrible et frustrant de voir de quelle façon certains de nos clubs de football, et non des moindres, exhibent aujourd'hui des sommes faramineuses pour se payer les services de tel ou tel joueur, alors que la plupart d'entre eux ne correspondent pas du tout à la qualité du spectacle fourni régulièrement aux quatre coins du pays, durant toute une saison. Des matchs de championnat que nous avons eu à suivre combien de fois, et qui ont rarement été à la hauteur de ces milliards de dinars sacrifiés durant chaque intersaison, pour cause d'un football de plus en plus pauvre, footballistiquement parlant, comme il ne l'avait jamais été auparavant. Une véritable galère souvent sciemment entretenue par des présidents de clubs dont l'unique ambition est de se maintenir coûte que coûte parmi un gotha souvent pris en flagrant délit de concurrence déloyale au sein d'un marché de dupes qui n'a pas fini de faire rêver tout un régiment de joueurs plutôt adeptes d'un foot de toutes les foutaises. Une situation devenue aujourd'hui sans commun rapport avec les saisons précédentes, tellement le milliard de centimes, rien que cela, ne représente plus grand-chose dans les mains de tous ces présidents mécènes, dont la plupart sont connus pour passer leur temps à se plaindre de ce sempiternel problème financier auquel ils font face, souvent même avant l'entame officiel d'une saison. Recruter des joueurs à coup de milliards relève une fois de plus de toutes ces actuelles dérives qui caractérisent chaque jour plus un sport roi pris en otage par des dirigeants de clubs, aujourd'hui assoiffés par le seul pouvoir de l'argent, dont l'odeur est franchement malsaine et loin de toute décence. Un professionnalisme «à l'algérienne» où le plus riche s'arroge tous les droits au nom d'un football national truffé de magouilles et de complicités en tous genres, entre des présidents de clubs qui savent s'entendre entre eux quand il s'agit de leurs intérêts personnels, au final d'un marché vide de sens et sans réelle valeur marchande, pour le plus grand bonheur de nos "pôvres" footballeurs du moment. Quant à la jeune et souvent prometteuse relève, elle a tout le temps de vieillir avant de rejoindre, à son tour, le bataillon des éternels «réformés» qui n'auront jamais la chance de se faire à leur tour un nom, à coup de millions et de milliards, aujourd'hui sources d'un spectacle de plus en plus désolant, au grand dam des véritables connaisseurs en la matière.