Les relations algéro-tunisiennes hissées à un haut niveau de coopération et de partenariat sont un exemple pertinent de ce que devrait être une région stratégique, de par son formidable emplacement géographique pourvu d'un énorme potentiel économique et naturel, riche de par son patrimoine culturel et civilisationnel et fort de son marché de plus de 70 millions d'habitants. La récente visite effectuée par le Premier ministre tunisien Mohamed Ghanouchi, très fructueuse puisqu'elle s'est soldée par la signature de pas moins de neuf accords de coopération, aura révélé cette dynamique qui caractérise les relations entre les deux pays voisins, et réaffirmé par là même, la volonté affichée de part et d'autre de consolider davantage, voire élargir le champ d'action et diversifier les échanges commerciaux. Ce qui augure d'un avenir radieux. En effet, les relations entre l'Algérie et la Tunisie sont empreintes d'excellence, de l'avis des officiels des deux pays. Et Abdelaziz Belkhadem et Mohamed Ghanouchi n'ont cessé de louer les mérites d'un partenariat qui n'est qu'à ses premiers balbutiements, faut-il néanmoins avouer. Louable est cependant l'initiative, dans le sens de compenser un retard flagrant, qui fait que la région du Maghreb est très en deçà de ses capacités réelles. Une région destinée à connaître un essor économique mondial au temps de la mondialisation et des regroupements économiques. L'Algérie et la Tunisie viennent de donner l'exemple, à travers un renforcement tous azimuts de la coopération dans plusieurs secteurs de l'économie notamment. Le volet social, la circulation des personnes et des marchandises, le renforcement du contrôle sur le marché, la formation sont autant de questions érigées en accords bilatéraux, pour permettre une meilleure intégration en attendant que les autres pays du Maghreb leur emboîtent le pas. Lors de son allocution de clôture de la cérémonie de signature des accords de la grande commission algéro-tunisienne, le chef du gouvernement Abdelaziz Belkhadem a mis l'accent sur la nécessité de réaliser la complémentarité économique entre les deux pays. De son côté, le Premier ministre tunisien Mohamed Ghanouchi a relevé la convergence de vues des deux pays sur plusieurs questions régionales et internationales, de même que l'impératif d'œuvrer de concert aux fins de renforcer la coopération de l'Algérie et de la Tunisie avec les autres partenaires étrangers. De ces deux approches, on déduit les prémices d'une intégration régionale tant espérée, afin de faire face à la rude concurrence imposée par l'ouverture de l'économie mondiale, et accompagner sereinement le rythme imprimé par les puissances économiques mondiales aux différentes transactions. Donc, l'Algérie et la Tunisie se veulent un exemple d'intégration économique au niveau de la région du Maghreb, à travers des relations privilégiées susceptibles de réanimer l'Union du Maghreb arabe (UMA) qui piétine somme toute les divergences politiques, au détriment d'une économie qui avance à pas de tortue. Les relations algéro-tunisiennes hissées à un haut niveau de coopération et de partenariat sont un exemple pertinent de ce que devrait être une région stratégique, de par son formidable emplacement géographique pourvu d'un énorme potentiel économique et naturel, riche de par son patrimoine culturel et civilisationnel et fort de son marché de plus de 70 millions d'habitants. La récente visite effectuée par le Premier ministre tunisien Mohamed Ghanouchi, très fructueuse puisqu'elle s'est soldée par la signature de pas moins de neuf accords de coopération, aura révélé cette dynamique qui caractérise les relations entre les deux pays voisins, et réaffirmé par là même, la volonté affichée de part et d'autre de consolider davantage, voire élargir le champ d'action et diversifier les échanges commerciaux. Ce qui augure d'un avenir radieux. En effet, les relations entre l'Algérie et la Tunisie sont empreintes d'excellence, de l'avis des officiels des deux pays. Et Abdelaziz Belkhadem et Mohamed Ghanouchi n'ont cessé de louer les mérites d'un partenariat qui n'est qu'à ses premiers balbutiements, faut-il néanmoins avouer. Louable est cependant l'initiative, dans le sens de compenser un retard flagrant, qui fait que la région du Maghreb est très en deçà de ses capacités réelles. Une région destinée à connaître un essor économique mondial au temps de la mondialisation et des regroupements économiques. L'Algérie et la Tunisie viennent de donner l'exemple, à travers un renforcement tous azimuts de la coopération dans plusieurs secteurs de l'économie notamment. Le volet social, la circulation des personnes et des marchandises, le renforcement du contrôle sur le marché, la formation sont autant de questions érigées en accords bilatéraux, pour permettre une meilleure intégration en attendant que les autres pays du Maghreb leur emboîtent le pas. Lors de son allocution de clôture de la cérémonie de signature des accords de la grande commission algéro-tunisienne, le chef du gouvernement Abdelaziz Belkhadem a mis l'accent sur la nécessité de réaliser la complémentarité économique entre les deux pays. De son côté, le Premier ministre tunisien Mohamed Ghanouchi a relevé la convergence de vues des deux pays sur plusieurs questions régionales et internationales, de même que l'impératif d'œuvrer de concert aux fins de renforcer la coopération de l'Algérie et de la Tunisie avec les autres partenaires étrangers. De ces deux approches, on déduit les prémices d'une intégration régionale tant espérée, afin de faire face à la rude concurrence imposée par l'ouverture de l'économie mondiale, et accompagner sereinement le rythme imprimé par les puissances économiques mondiales aux différentes transactions. Donc, l'Algérie et la Tunisie se veulent un exemple d'intégration économique au niveau de la région du Maghreb, à travers des relations privilégiées susceptibles de réanimer l'Union du Maghreb arabe (UMA) qui piétine somme toute les divergences politiques, au détriment d'une économie qui avance à pas de tortue.