Sept organisations patronales, la CAP, le FCE, la CIPA, la CGEOA, la CNPA, la CEIMI et SEVE se rencontreront le 3 septembre pour élaborer une stratégie commune et cohérente de travail consistant à présenter des propositions fécondes et solides au chef de Gouvernement, et ce dans la perspective de la réunion prévue à la rentrée entre le patronat et l'Exécutif. Il s'agit également de préparer une plateforme d'actions dans le cadre de la réunion tripartite programmée dès le début du prochain mois entre le gouvernement, l'UGTA et le patronat. Soucieuses de la situation économique et conjoncturelle actuelle explosive, caractérisée par la hausse effrénée et vertigineuse des prix des produits de large consommation, les organisations patronales envisagent donc de jouer un rôle positif et actif dans la solution de cette épineuse question de la spirale inflationniste, notamment. D'autant plus que l'augmentation généralisée des prix des produits alimentaires et ceux des fruits et légumes, désormais inabordables pour les petites bourses, intervient quelques jours seulement avant la rentrée sociale et scolaire, et trois semaines avant le début du mois sacré du Ramadhan. D'autres points importants seront également abordés par le patronat le 3 septembre. Il s'agit notamment des questions inhérentes à l'évolution des prix, au pouvoir d'achat des citoyens en dégradation constante et enfin à la protection de la production nationale. Par ailleurs, les sept organisations patronales passeront en revue d'autres questions d'intérêt commun, telles que la diminution de la fiscalité et de la parafiscalité, et enfin les liens et les rapports entre les coopérateurs et les banques. Rappelons que récemment, le Forum des chefs d'entreprise (FCE) avait demandé une baisse des impôts, notamment la taxe sur la valeur ajoutée et une réduction des droits et prélèvements douaniers. Autrement dit, les organisations patronales s'efforceront de rechercher des mesures d'apaisement destinées à convaincre le gouvernement à coopérer pour une sortie rapide de crise, et par conséquent, mettre fin à la flambée des prix injustifiée des produits de première nécessité. Les sujets qui semblent préoccuper également beaucoup les organisations patronales concernent la réduction des tarifs douaniers, la protection et la sauvegarde de l'outil national de production. La lutte contre l'érosion du pouvoir d'achat, la lutte contre la hausse des prix, la réduction de la fiscalité douanière, la sauvegarde de la production nationale et la réévaluation de la monnaie nationale, sont donc les questions,-clés à décortiquer en conclave le 3 septembre par les organisations patronales, dans la perspective de la rencontre avec le gouvernement prévue dans la première semaine de septembre. Sept organisations patronales, la CAP, le FCE, la CIPA, la CGEOA, la CNPA, la CEIMI et SEVE se rencontreront le 3 septembre pour élaborer une stratégie commune et cohérente de travail consistant à présenter des propositions fécondes et solides au chef de Gouvernement, et ce dans la perspective de la réunion prévue à la rentrée entre le patronat et l'Exécutif. Il s'agit également de préparer une plateforme d'actions dans le cadre de la réunion tripartite programmée dès le début du prochain mois entre le gouvernement, l'UGTA et le patronat. Soucieuses de la situation économique et conjoncturelle actuelle explosive, caractérisée par la hausse effrénée et vertigineuse des prix des produits de large consommation, les organisations patronales envisagent donc de jouer un rôle positif et actif dans la solution de cette épineuse question de la spirale inflationniste, notamment. D'autant plus que l'augmentation généralisée des prix des produits alimentaires et ceux des fruits et légumes, désormais inabordables pour les petites bourses, intervient quelques jours seulement avant la rentrée sociale et scolaire, et trois semaines avant le début du mois sacré du Ramadhan. D'autres points importants seront également abordés par le patronat le 3 septembre. Il s'agit notamment des questions inhérentes à l'évolution des prix, au pouvoir d'achat des citoyens en dégradation constante et enfin à la protection de la production nationale. Par ailleurs, les sept organisations patronales passeront en revue d'autres questions d'intérêt commun, telles que la diminution de la fiscalité et de la parafiscalité, et enfin les liens et les rapports entre les coopérateurs et les banques. Rappelons que récemment, le Forum des chefs d'entreprise (FCE) avait demandé une baisse des impôts, notamment la taxe sur la valeur ajoutée et une réduction des droits et prélèvements douaniers. Autrement dit, les organisations patronales s'efforceront de rechercher des mesures d'apaisement destinées à convaincre le gouvernement à coopérer pour une sortie rapide de crise, et par conséquent, mettre fin à la flambée des prix injustifiée des produits de première nécessité. Les sujets qui semblent préoccuper également beaucoup les organisations patronales concernent la réduction des tarifs douaniers, la protection et la sauvegarde de l'outil national de production. La lutte contre l'érosion du pouvoir d'achat, la lutte contre la hausse des prix, la réduction de la fiscalité douanière, la sauvegarde de la production nationale et la réévaluation de la monnaie nationale, sont donc les questions,-clés à décortiquer en conclave le 3 septembre par les organisations patronales, dans la perspective de la rencontre avec le gouvernement prévue dans la première semaine de septembre.