Plus de 24 H après la séance d'ouverture des plis pour la location-gérance des deux grands hôtels El Djazaïr et El-Aurassi, qui a eu lieu dans l'après-midi d'avant-hier au siège du SGP Gestour, rien n'a filtré sur les modalités de cette opération. Car ni le nombre des soumissionnaires ni leur identité, encore moins les deux entreprises sélectionnées, ne sont connus de l'opinion publique. D'ailleurs, le secret total a été imposé par la direction de Gestour qui pilote cette opération placée sous la supervision du ministère de l'Industrie et de la Promotion des investissements. La presse nationale n'a pas été invitée à cette séance et, pis encore, les rares journalistes qui se sont présentés au siège de Gestour en vue d'assister à la cérémonie ont été tout simplement « rabroués » par les responsables de la SGP (Société de gestion des participations) et ce, contrairement à la réglementation qui voudrait que les choses se fassent dans la transparence. Même le partenaire social, à savoir les syndicats qui représentent les intérêts des travailleurs de ces deux établissements hôteliers, qui se sont pourtant présentés au siège du SGP, ont été éconduits à leur tour. Les observateurs ne comprennent pas pourquoi Gestour a opté pour cette attitude en imposant le black-out total. Ce silence radio s'est confirmé hier, puisque toutes nos tentatives de joindre les premiers responsables de ce holding se sont avérées vaines. En effet, et alors que Messaïd, le président de la SGP, était annoncé par une des secrétaires, aux abonnés absents, le secrétaire général , M Louanchi, nous a-t-on répété à chaque fois, était en réunion durant toute l'après midi. Des explications qui cachent mal cette volonté délibérée de garder secrets les résultats de cette séance d'ouverture des plis. Ali Mezhoud, membre de la Fédération des travailleurs du commerce et du tourisme ( UGTA), ne s'explique pas cette attitude de Gestour et c'est ainsi qu'il nous a déclaré que «la fédération n'a été ni consultée ni informée ». Cela dit, il a estimé que la fédération «n'est pas contre la privatisation mais elle est contre le bradage des entreprises. Tout ce qui compte pour nous, c'est la préservation des intérêts des travailleurs». Le comble dans cette histoire, c'est que même les cadres dirigeants de ces deux hôtels, comme nous l'a confirmé un responsable au niveau de l'hôtel El Djazair, ne savent rien sur cette opération. Selon certaines informations parues dans la presse nationale, des groupes arabes, émiratis et koweitiens notamment, étaient en négociations avancées avec les autorités algériennes pour avoir la location- gérance de ces deux prestigieux hôtels et ce, comme indiqué par l'avis d'appel d'offres lancé au mois de mai dernier, pour une période de 30 années. Plus de 24 H après la séance d'ouverture des plis pour la location-gérance des deux grands hôtels El Djazaïr et El-Aurassi, qui a eu lieu dans l'après-midi d'avant-hier au siège du SGP Gestour, rien n'a filtré sur les modalités de cette opération. Car ni le nombre des soumissionnaires ni leur identité, encore moins les deux entreprises sélectionnées, ne sont connus de l'opinion publique. D'ailleurs, le secret total a été imposé par la direction de Gestour qui pilote cette opération placée sous la supervision du ministère de l'Industrie et de la Promotion des investissements. La presse nationale n'a pas été invitée à cette séance et, pis encore, les rares journalistes qui se sont présentés au siège de Gestour en vue d'assister à la cérémonie ont été tout simplement « rabroués » par les responsables de la SGP (Société de gestion des participations) et ce, contrairement à la réglementation qui voudrait que les choses se fassent dans la transparence. Même le partenaire social, à savoir les syndicats qui représentent les intérêts des travailleurs de ces deux établissements hôteliers, qui se sont pourtant présentés au siège du SGP, ont été éconduits à leur tour. Les observateurs ne comprennent pas pourquoi Gestour a opté pour cette attitude en imposant le black-out total. Ce silence radio s'est confirmé hier, puisque toutes nos tentatives de joindre les premiers responsables de ce holding se sont avérées vaines. En effet, et alors que Messaïd, le président de la SGP, était annoncé par une des secrétaires, aux abonnés absents, le secrétaire général , M Louanchi, nous a-t-on répété à chaque fois, était en réunion durant toute l'après midi. Des explications qui cachent mal cette volonté délibérée de garder secrets les résultats de cette séance d'ouverture des plis. Ali Mezhoud, membre de la Fédération des travailleurs du commerce et du tourisme ( UGTA), ne s'explique pas cette attitude de Gestour et c'est ainsi qu'il nous a déclaré que «la fédération n'a été ni consultée ni informée ». Cela dit, il a estimé que la fédération «n'est pas contre la privatisation mais elle est contre le bradage des entreprises. Tout ce qui compte pour nous, c'est la préservation des intérêts des travailleurs». Le comble dans cette histoire, c'est que même les cadres dirigeants de ces deux hôtels, comme nous l'a confirmé un responsable au niveau de l'hôtel El Djazair, ne savent rien sur cette opération. Selon certaines informations parues dans la presse nationale, des groupes arabes, émiratis et koweitiens notamment, étaient en négociations avancées avec les autorités algériennes pour avoir la location- gérance de ces deux prestigieux hôtels et ce, comme indiqué par l'avis d'appel d'offres lancé au mois de mai dernier, pour une période de 30 années.