Pour sa première visite d'inspection sur le tronçon Bou-Medfâa Tiberkanine, M. Amar Ghoul, ministre des Travaux publics, a été accueilli hier matin à la limite de la wilaya par M. Kadi, le wali, le président de l'APW et les membres de l'exécutif. Au cours de cette visite, le ministre s'est rendu sur plusieurs chantiers à travers les daïras de Bou-Medfâa, Aïn Lecheikh, Khemis-Miliana, Djelida, El Attaf, El Amra et Aïn Defla. A El Hoceina, le ministre n'a pas été tendre avec les responsables des entreprises : «Aujourd'hui, je ne suis pas content ! Il faudra respecter les systèmes de drainage et travailler selon les normes requises. A partir de maintenant, je gèle toutes les factures et aucune réception ne se fera s'il y a le moindre défaut». A Khemis-Miliana, le ministre a aussi lancé des avertissements à l'adresse de nombreuses entreprises aussi bien algériennes qu'étrangères (COSIDER, GTV, CMC, etc). «L'autoroute, pour qu'elle soit conforme aux normes internationales, exige une qualité induscutable. Une fois toutes les réserves levées, on pourra, à ce moment-là, autoriser les signatures», précise-t-il. Pour sa première visite d'inspection sur le tronçon Bou-Medfâa Tiberkanine, M. Amar Ghoul, ministre des Travaux publics, a été accueilli hier matin à la limite de la wilaya par M. Kadi, le wali, le président de l'APW et les membres de l'exécutif. Au cours de cette visite, le ministre s'est rendu sur plusieurs chantiers à travers les daïras de Bou-Medfâa, Aïn Lecheikh, Khemis-Miliana, Djelida, El Attaf, El Amra et Aïn Defla. A El Hoceina, le ministre n'a pas été tendre avec les responsables des entreprises : «Aujourd'hui, je ne suis pas content ! Il faudra respecter les systèmes de drainage et travailler selon les normes requises. A partir de maintenant, je gèle toutes les factures et aucune réception ne se fera s'il y a le moindre défaut». A Khemis-Miliana, le ministre a aussi lancé des avertissements à l'adresse de nombreuses entreprises aussi bien algériennes qu'étrangères (COSIDER, GTV, CMC, etc). «L'autoroute, pour qu'elle soit conforme aux normes internationales, exige une qualité induscutable. Une fois toutes les réserves levées, on pourra, à ce moment-là, autoriser les signatures», précise-t-il.