L'arrivée à expiration du mandat du président Vladimir Poutine, l'élection de la Douma de la cinquième législature après la chute de l'ex-Union soviétique et la candidature à la présidentielle de mars 2008 du premier vice-Premier ministre, Dmitri Anatolievitch Medvedev qui ne devrait pas rencontrer, selon les observateurs, de difficultés majeures pour succéder à Poutine, constituent les évènements saillants ayant marqué en 2007 la vie politique dans la Fédération de Russie. C'est la dernière année du deuxième mandat présidentiel de Vladimir Poutine qui ne pouvait, conformément à la loi en vigueur, briguer consécutivement un troisième mandat. Médias et cercles politiques, aussi bien en Russie qu'à l'étranger, tout particulièrement dans les pays occidentaux, se sont alors livrés à toutes sortes de supputations et imaginé les scénarios les plus variés, mais tous avec une même constante: le maintien, d'une manière ou d'une autre, de Poutine au sommet de la hiérarchie. Même après l'annonce de la candidature du premier vice-Premier ministre Medvedev et son soutien par Poutine qui a, en outre, déclaré accepter de devenir le Premier ministre de ce dernier s'il remportait l'élection, n'a pas mis définitivement fin aux spéculations. Néanmoins, la perspective d'un Vladimir Poutine dans le rôle de Premier ministre, constituera, de l'avis des analystes, une première dans un pays comme la Russie où le véritable centre de décision a toujours été incarné par le président aussi bien en tant que personnalité que en tant qu'institution. Conduit par la personnalité la plus populaire de Russie qui, en guise de cadeau de fin d'année (et de fin de mandat), s'est vue désignée en décembre par le magazine américain Times «personnalité de l'année», le cabinet Poutine, souligne-t-on, dotera pour la première fois la Russie d'un exécutif en mesure d'exercer toutes ses prérogatives. L'objectif déclaré étant la consécration de la stabilité du pays et la consolidation de la dynamique de développement, tout en tenant compte à la fois des exigences qu'induit l'ouverture sur une économie plus que jamais mondialisée et les intérêts d'une Russie qui entend recouvrer sa place sur la scène internationale et sa grandeur en tant que puissance économique, politique et militaire écoutée. La concrétisation de tels objectifs, loin d'être une mince affaire, a amené les responsables russes à se livrer en 2007 à un véritable exercice de funambulisme, en alternant tantôt déclarations de bonnes intentions, tant mises en garde en direction aussi bien de certains voisins comme l'Ukraine, la Géorgie, la Pologne ou la République tchèque que des pays occidentaux. L'arrivée à expiration du mandat du président Vladimir Poutine, l'élection de la Douma de la cinquième législature après la chute de l'ex-Union soviétique et la candidature à la présidentielle de mars 2008 du premier vice-Premier ministre, Dmitri Anatolievitch Medvedev qui ne devrait pas rencontrer, selon les observateurs, de difficultés majeures pour succéder à Poutine, constituent les évènements saillants ayant marqué en 2007 la vie politique dans la Fédération de Russie. C'est la dernière année du deuxième mandat présidentiel de Vladimir Poutine qui ne pouvait, conformément à la loi en vigueur, briguer consécutivement un troisième mandat. Médias et cercles politiques, aussi bien en Russie qu'à l'étranger, tout particulièrement dans les pays occidentaux, se sont alors livrés à toutes sortes de supputations et imaginé les scénarios les plus variés, mais tous avec une même constante: le maintien, d'une manière ou d'une autre, de Poutine au sommet de la hiérarchie. Même après l'annonce de la candidature du premier vice-Premier ministre Medvedev et son soutien par Poutine qui a, en outre, déclaré accepter de devenir le Premier ministre de ce dernier s'il remportait l'élection, n'a pas mis définitivement fin aux spéculations. Néanmoins, la perspective d'un Vladimir Poutine dans le rôle de Premier ministre, constituera, de l'avis des analystes, une première dans un pays comme la Russie où le véritable centre de décision a toujours été incarné par le président aussi bien en tant que personnalité que en tant qu'institution. Conduit par la personnalité la plus populaire de Russie qui, en guise de cadeau de fin d'année (et de fin de mandat), s'est vue désignée en décembre par le magazine américain Times «personnalité de l'année», le cabinet Poutine, souligne-t-on, dotera pour la première fois la Russie d'un exécutif en mesure d'exercer toutes ses prérogatives. L'objectif déclaré étant la consécration de la stabilité du pays et la consolidation de la dynamique de développement, tout en tenant compte à la fois des exigences qu'induit l'ouverture sur une économie plus que jamais mondialisée et les intérêts d'une Russie qui entend recouvrer sa place sur la scène internationale et sa grandeur en tant que puissance économique, politique et militaire écoutée. La concrétisation de tels objectifs, loin d'être une mince affaire, a amené les responsables russes à se livrer en 2007 à un véritable exercice de funambulisme, en alternant tantôt déclarations de bonnes intentions, tant mises en garde en direction aussi bien de certains voisins comme l'Ukraine, la Géorgie, la Pologne ou la République tchèque que des pays occidentaux.