Hier matin, une secousse tellurique d'une magnitude de 5,2 degrés sur l'échelle de Richter a réveillé, à 8h33, de nombreux citoyens dans la wilaya de Boumerdès et ses environs en suscitant toutefois une anxiété chez la population. De son côté, le Centre algérien de recherche en astronomie astrophysique et géophysique (CRAAG), a annoncé avoir localisé l'épicentre de ce seïsme à 8 km au nord-est de Boumerdès. Fort heureusement, cette secousse n'a pas provoqué de dégâts matériels. Néanmoins, la Protection civile a fait tout de même part de trois personnes légèrement blessées. Ainsi, la secousse tellurique survenue vendredi matin dans la wilaya de Boumerdès, relève de l'activité sismique qui caractérise la partie nord du pays, notamment le littoral, a affirmé à ce sujet le directeur du Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG), M. Abdelkrim Yellès. Selon cet expert, le phénomène des secousses répétées caractérise l'ensemble de la région nord du pays même si, précise le premier responsable du CRAAG, ces secousses "ne sont généralement pas toujours ressenties par la population en raison de leurs faibles magnitudes". D'autre part, M. Yellès a souligné que les régions du nord du pays représentent "une zone d'activité sismique continue et non épisodique tout au long de l'année avec une moyenne de 50 micro-secousses enregistrées chaque mois". A cet égard, il a affirmé que cette activité sismique est "tout à fait normale" eu égard à la position géographique de l'Algérie qui se trouve dans une zone d'activité sismique continue. Sur un autre plan, le directeur du CRAAG a estimé que "la population ne devrait pas s'alarmer, mais elle doit admettre et comprendre que ce phénomène ne sort pas de l'ordinaire pour une région comme l'Algérie". Cela dit, M. Yellès a tenu à rassurer la population en affirmant que "l'Algérie, dans sa globalité, reste une zone à activité sismique modérée", comparativement à certains pays de la Méditerranée tels que la Grèce et la Turquie ou encore par rapport à d'autres pays d'Asie, tels que le Japon et l'Indonésie. Enfin, le directeur du CRAAG a précisé qu'en Algérie "le littoral est la région où le risque sismique est le plus élevé, suivi par la région des hauts-Plateaux, puis le Sahara où l'activité sismique est pratiquement nulle". Hier matin, une secousse tellurique d'une magnitude de 5,2 degrés sur l'échelle de Richter a réveillé, à 8h33, de nombreux citoyens dans la wilaya de Boumerdès et ses environs en suscitant toutefois une anxiété chez la population. De son côté, le Centre algérien de recherche en astronomie astrophysique et géophysique (CRAAG), a annoncé avoir localisé l'épicentre de ce seïsme à 8 km au nord-est de Boumerdès. Fort heureusement, cette secousse n'a pas provoqué de dégâts matériels. Néanmoins, la Protection civile a fait tout de même part de trois personnes légèrement blessées. Ainsi, la secousse tellurique survenue vendredi matin dans la wilaya de Boumerdès, relève de l'activité sismique qui caractérise la partie nord du pays, notamment le littoral, a affirmé à ce sujet le directeur du Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG), M. Abdelkrim Yellès. Selon cet expert, le phénomène des secousses répétées caractérise l'ensemble de la région nord du pays même si, précise le premier responsable du CRAAG, ces secousses "ne sont généralement pas toujours ressenties par la population en raison de leurs faibles magnitudes". D'autre part, M. Yellès a souligné que les régions du nord du pays représentent "une zone d'activité sismique continue et non épisodique tout au long de l'année avec une moyenne de 50 micro-secousses enregistrées chaque mois". A cet égard, il a affirmé que cette activité sismique est "tout à fait normale" eu égard à la position géographique de l'Algérie qui se trouve dans une zone d'activité sismique continue. Sur un autre plan, le directeur du CRAAG a estimé que "la population ne devrait pas s'alarmer, mais elle doit admettre et comprendre que ce phénomène ne sort pas de l'ordinaire pour une région comme l'Algérie". Cela dit, M. Yellès a tenu à rassurer la population en affirmant que "l'Algérie, dans sa globalité, reste une zone à activité sismique modérée", comparativement à certains pays de la Méditerranée tels que la Grèce et la Turquie ou encore par rapport à d'autres pays d'Asie, tels que le Japon et l'Indonésie. Enfin, le directeur du CRAAG a précisé qu'en Algérie "le littoral est la région où le risque sismique est le plus élevé, suivi par la région des hauts-Plateaux, puis le Sahara où l'activité sismique est pratiquement nulle".