C'est avec insistance que Moussa Touati a, lors d'une conférence régionale des élus de son parti, plaidé pour l'adoption du nouveau système de gestion des APC. Il a exhorté les élus «au service du peuple», à la concertation et la consultation des citoyens pour redynamiser la relance économique. S'adressant aux élus de Mostaganem, Chlef, Tiaret et Relizane, le leader de cette formation politique a souligné les retombées de cette option et, par la même, mis en évidence la nécessité du concours des citoyens qui doivent être associés dans la gestion des affaires des communes. Une participation, devait-t-il expliquer, qui ne se traduirait sur le terrain qu'à la suite de consultations entre administrés et gestionnaires. «Il est nécessaire d'associer le citoyen dans la gestion des affaires des communes et le consulter sur les différentes questions d'intérêt économique» avait explicitement indiqué le leader de cde parti, tout en rappelant le principe fondamental de la souveraineté populaire en affirmant que «l'élu est au service du peuple». Les questions relatives à l'emploi ainsi que les mécanismes devant aboutir à la résorption du chômage devaient également être évoqués par Moussa Touati. A ce sujet, le responsable du Front National Algérien devait focaliser son intervention sur la relance économique et sociale au sein des communes. Dans ce contexte, il affirma que «l'élu doit veiller à la concrétisation d'une relance économique et sociale dans la commune qu'il gère, et ce à travers la création de micro-entreprises pour absorber le chômage et instaurer une culture de cohabitation et d'entraide». Autrement dit, il plaida pour l'adoption d'un nouveau système de gestion des communes avec la condition impérative que celui-ci soit appliqué dans une totale transparence. Tout en rappelant que «cette nouvelle vision s'inspire des idées et des orientations de son parti qui prône la concrétisation du principe de l'Algérie pour tous les algériens, sans exclusion», le leader du FNA a aussi affirmé que «sa formation était convaincue quand au principe de l'alternance au pouvoir, comme droit pour les futures générations» mettant l'accent, à ce propos, «sur la condition sine qua non de l'instauration de l'état de droit, fondé sur la justice». Des déclarations qui laissent transparaître des desseins politiques inavoués mais qui poussent, tout de même, à croire que le FNA, troisième force politique, s'apprête à se lancer dans la course, aux prochaines élections présidentielles. C'est avec insistance que Moussa Touati a, lors d'une conférence régionale des élus de son parti, plaidé pour l'adoption du nouveau système de gestion des APC. Il a exhorté les élus «au service du peuple», à la concertation et la consultation des citoyens pour redynamiser la relance économique. S'adressant aux élus de Mostaganem, Chlef, Tiaret et Relizane, le leader de cette formation politique a souligné les retombées de cette option et, par la même, mis en évidence la nécessité du concours des citoyens qui doivent être associés dans la gestion des affaires des communes. Une participation, devait-t-il expliquer, qui ne se traduirait sur le terrain qu'à la suite de consultations entre administrés et gestionnaires. «Il est nécessaire d'associer le citoyen dans la gestion des affaires des communes et le consulter sur les différentes questions d'intérêt économique» avait explicitement indiqué le leader de cde parti, tout en rappelant le principe fondamental de la souveraineté populaire en affirmant que «l'élu est au service du peuple». Les questions relatives à l'emploi ainsi que les mécanismes devant aboutir à la résorption du chômage devaient également être évoqués par Moussa Touati. A ce sujet, le responsable du Front National Algérien devait focaliser son intervention sur la relance économique et sociale au sein des communes. Dans ce contexte, il affirma que «l'élu doit veiller à la concrétisation d'une relance économique et sociale dans la commune qu'il gère, et ce à travers la création de micro-entreprises pour absorber le chômage et instaurer une culture de cohabitation et d'entraide». Autrement dit, il plaida pour l'adoption d'un nouveau système de gestion des communes avec la condition impérative que celui-ci soit appliqué dans une totale transparence. Tout en rappelant que «cette nouvelle vision s'inspire des idées et des orientations de son parti qui prône la concrétisation du principe de l'Algérie pour tous les algériens, sans exclusion», le leader du FNA a aussi affirmé que «sa formation était convaincue quand au principe de l'alternance au pouvoir, comme droit pour les futures générations» mettant l'accent, à ce propos, «sur la condition sine qua non de l'instauration de l'état de droit, fondé sur la justice». Des déclarations qui laissent transparaître des desseins politiques inavoués mais qui poussent, tout de même, à croire que le FNA, troisième force politique, s'apprête à se lancer dans la course, aux prochaines élections présidentielles.