Toute porte à croire que la session de printemps du Parlement est sur le point d'être prolongée. En effet, nombre d'indices étayent cette hypothèse. Ainsi, l'on a appris hier de sources parlementaires, que l'APN a programmé une séance de travail au-delà du 2 juillet qui sera consacrée à l'adoption d'un projet de loi. Une date où, normalement, les deux chambres du Parlement procèdent à la clôture de la session de printemps. Le projet de texte législatif en question est celui relatif au projet de loi portant orientation agricole. C'est, d'ailleurs, le seul projet de loi qui est au niveau de l'Assemblée nationale. Ce projet, encore au niveau de la commission de l'agriculture, de la pèche et de la protection de l'environnement, qui a pratiquement mis les dernières retouches à son rapport préliminaire après 17 séances marathoniennes, selon toujours nos sources, sera débattu en plénière la semaine prochaine, plus exactement le samedi 28 juin. Et il ne sera présenté à l'adoption, après l'introduction des amendements par les députés, que le 8 juillet prochain. A l'évidence, cette prolongation de la session, dans le cas où elle se confirme officiellement, conforte fortement les informations selon lesquelles la révision de la Constitution est, on ne peut plus, imminente. D'autant que le chef du gouvernement, un farouche partisan de la révision de la loi fondamentale du pays, a, tout récemment, évoqué explicitement cette hypothèse. Dans un entretien accordé au journal français du soir, le Monde, Abdelaziz Belkhadem, a clairement laissé entendre que la révision de la Constituions se fera par la voie parlementaire. Une perspective qui, apparemment, est préférée à l'option du referendum. Il est utile de préciser que la voie parlementaire nécessite une réunion commune des deux chambres du Parlement pour avaliser la révision de la constitution. Cette dernière, annoncée par le président de la République le 4 juillet 2006 au MDN (ministère de la Défense nationale) , devait intervenir avant la fin de cette année. Mais depuis, le projet est resté suspendu à la volonté du président qui n'en fait allusion que très rarement. Mais ces derniers temps, outre Belkhadem qui, de par sa qualité aussi de secrétaire général du FLN fait de ce projet son cheval de bataille politique, d'autres voix sont montées au créneau pour s'exprimer sur la question. Il en est ainsi d'Abdelaziz Ziari, le president de l'APN, Ahmed Ouyahia, le secrétaire général du RND et Aboudjerra Soltani, Président du MSP. Toutes ces personnalités soutiennent le projet de Bouteflika. Et c'est ce qui, incontestablement, donne de la consistance au rapprochement de la date de cette révision. . Pour l'heure, l'on ne sait pas la durée exacte de cette prolongation de la session de printemps, bien que tout indique, à en croire certaines informations, qu'elle s'étendra peut-être jusqu'au début du mois d'août. Cette fois-ci sera-t-elle la bonne, concernant la révision de la constitution ? Rien n'est moins sûr. L'on se rappelle que l'année dernière la session de printemps du Parlement a été aussi prolongée et tous les observateurs donnaient pour imminente la révision de la Constitution mais, au final, Bouteflika n'est pas passé à l'acte. Toute porte à croire que la session de printemps du Parlement est sur le point d'être prolongée. En effet, nombre d'indices étayent cette hypothèse. Ainsi, l'on a appris hier de sources parlementaires, que l'APN a programmé une séance de travail au-delà du 2 juillet qui sera consacrée à l'adoption d'un projet de loi. Une date où, normalement, les deux chambres du Parlement procèdent à la clôture de la session de printemps. Le projet de texte législatif en question est celui relatif au projet de loi portant orientation agricole. C'est, d'ailleurs, le seul projet de loi qui est au niveau de l'Assemblée nationale. Ce projet, encore au niveau de la commission de l'agriculture, de la pèche et de la protection de l'environnement, qui a pratiquement mis les dernières retouches à son rapport préliminaire après 17 séances marathoniennes, selon toujours nos sources, sera débattu en plénière la semaine prochaine, plus exactement le samedi 28 juin. Et il ne sera présenté à l'adoption, après l'introduction des amendements par les députés, que le 8 juillet prochain. A l'évidence, cette prolongation de la session, dans le cas où elle se confirme officiellement, conforte fortement les informations selon lesquelles la révision de la Constitution est, on ne peut plus, imminente. D'autant que le chef du gouvernement, un farouche partisan de la révision de la loi fondamentale du pays, a, tout récemment, évoqué explicitement cette hypothèse. Dans un entretien accordé au journal français du soir, le Monde, Abdelaziz Belkhadem, a clairement laissé entendre que la révision de la Constituions se fera par la voie parlementaire. Une perspective qui, apparemment, est préférée à l'option du referendum. Il est utile de préciser que la voie parlementaire nécessite une réunion commune des deux chambres du Parlement pour avaliser la révision de la constitution. Cette dernière, annoncée par le président de la République le 4 juillet 2006 au MDN (ministère de la Défense nationale) , devait intervenir avant la fin de cette année. Mais depuis, le projet est resté suspendu à la volonté du président qui n'en fait allusion que très rarement. Mais ces derniers temps, outre Belkhadem qui, de par sa qualité aussi de secrétaire général du FLN fait de ce projet son cheval de bataille politique, d'autres voix sont montées au créneau pour s'exprimer sur la question. Il en est ainsi d'Abdelaziz Ziari, le president de l'APN, Ahmed Ouyahia, le secrétaire général du RND et Aboudjerra Soltani, Président du MSP. Toutes ces personnalités soutiennent le projet de Bouteflika. Et c'est ce qui, incontestablement, donne de la consistance au rapprochement de la date de cette révision. . Pour l'heure, l'on ne sait pas la durée exacte de cette prolongation de la session de printemps, bien que tout indique, à en croire certaines informations, qu'elle s'étendra peut-être jusqu'au début du mois d'août. Cette fois-ci sera-t-elle la bonne, concernant la révision de la constitution ? Rien n'est moins sûr. L'on se rappelle que l'année dernière la session de printemps du Parlement a été aussi prolongée et tous les observateurs donnaient pour imminente la révision de la Constitution mais, au final, Bouteflika n'est pas passé à l'acte.