Quatorze émigrants clandestins ont été découverts, mardi dernier, au large des eaux territoriales algériennes. Ils étaient à bord d'un bateau battant pavillon étranger, en provenance d'Alger, a-t-on, appris hier auprès du chef de la station principale maritime des garde- côtes de Annaba, M. Zaidi Abdelaziz, qui précise que ces harragas ont été débusqués par l'équipage de ce navire qui se dirigeait vers le port de Djebel Ali de Dubaï. Ils ont été découverts suite à une opération de contrôle d'un chargement de conteneurs vides a précisé la même source. Ces harragas, âgés entre 21 ans et 35 ans, qui tentaient de rejoindre Dubaï, se sont introduits à l'intérieur du bateau durant la nuit du lundi à mardi, quand le bateau se trouvaient encore sur le quai. A ce sujet, il est à signaler qu'une enquête a été ouverte par les services concernés pour déterminer les circonstances ayant conduit les quatorze émigrants clandestins à monter à bord du bateau. Une source des gardes-côtes souligne, pour sa part, que ce fait ne s'est pas produit depuis quelques années. Ajoutant que, tenant compte des faits précédents, la présence d'émigrants clandestins à bord de bateaux, n'est, en réalité, possible que s'il y a des complicités parmi les membres de l'équipage. Outre ce constat, notre source s'interroge : pourquoi ont-ils choisi Dubaï ? Voire, pourquoi ont-ils opté pour la clandestinité alors qu'il suffit d'une simple demande de visa ? En outre, il est à signaler que ces émigrants clandestins ont été acheminés, après leur découverte, au siège du groupement territorial des garde-côtes de Annaba. Ils ont été présentés, durant la même journée, devant le procureur de la République près le tribunal de Annaba, a indiqué le chef de la station principale des garde-côtes de Annaba. Cette tentative d'émigration clandestine via un bateau de marchandise étranger est, notons-le, considérée par la réglementation comme une infraction à la loi. A ce propos, maître Mustapha Bouchachi, président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'Homme, nous a indiqué que cette tentative de quitter le territoire national à bord d'un bateau, et ce, sans aucune autorisation, constitue aux yeux de loi un délit pénalisé par la loi en vigueur. Soulignant que le nombre des candidats à l'émigration clandestine augmente de jour en jour en ayant recours à tous les moyens possibles. Ils sont, selon un décompte des garde-côtes, quelque 300 émigrants clandestins qui ont été interceptés depuis janvier 2008 alors qu'ils tentaient de rejoindre la rive nord de la Méditerranée. Quatorze émigrants clandestins ont été découverts, mardi dernier, au large des eaux territoriales algériennes. Ils étaient à bord d'un bateau battant pavillon étranger, en provenance d'Alger, a-t-on, appris hier auprès du chef de la station principale maritime des garde- côtes de Annaba, M. Zaidi Abdelaziz, qui précise que ces harragas ont été débusqués par l'équipage de ce navire qui se dirigeait vers le port de Djebel Ali de Dubaï. Ils ont été découverts suite à une opération de contrôle d'un chargement de conteneurs vides a précisé la même source. Ces harragas, âgés entre 21 ans et 35 ans, qui tentaient de rejoindre Dubaï, se sont introduits à l'intérieur du bateau durant la nuit du lundi à mardi, quand le bateau se trouvaient encore sur le quai. A ce sujet, il est à signaler qu'une enquête a été ouverte par les services concernés pour déterminer les circonstances ayant conduit les quatorze émigrants clandestins à monter à bord du bateau. Une source des gardes-côtes souligne, pour sa part, que ce fait ne s'est pas produit depuis quelques années. Ajoutant que, tenant compte des faits précédents, la présence d'émigrants clandestins à bord de bateaux, n'est, en réalité, possible que s'il y a des complicités parmi les membres de l'équipage. Outre ce constat, notre source s'interroge : pourquoi ont-ils choisi Dubaï ? Voire, pourquoi ont-ils opté pour la clandestinité alors qu'il suffit d'une simple demande de visa ? En outre, il est à signaler que ces émigrants clandestins ont été acheminés, après leur découverte, au siège du groupement territorial des garde-côtes de Annaba. Ils ont été présentés, durant la même journée, devant le procureur de la République près le tribunal de Annaba, a indiqué le chef de la station principale des garde-côtes de Annaba. Cette tentative d'émigration clandestine via un bateau de marchandise étranger est, notons-le, considérée par la réglementation comme une infraction à la loi. A ce propos, maître Mustapha Bouchachi, président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'Homme, nous a indiqué que cette tentative de quitter le territoire national à bord d'un bateau, et ce, sans aucune autorisation, constitue aux yeux de loi un délit pénalisé par la loi en vigueur. Soulignant que le nombre des candidats à l'émigration clandestine augmente de jour en jour en ayant recours à tous les moyens possibles. Ils sont, selon un décompte des garde-côtes, quelque 300 émigrants clandestins qui ont été interceptés depuis janvier 2008 alors qu'ils tentaient de rejoindre la rive nord de la Méditerranée.