Onze personnes ont été tuées et 40 blessées hier, à Ghaza dans des affrontements entre des policiers du mouvement islamiste Hamas et un puissant clan familial réputé proche d'un groupuscule extrémiste, ont indiqué des sources policières. De nombreux membres de la famille Doughmoch sont liés à l'Armée de l'islam, un groupuscule extrémiste idéologiquement proche d'Al-Qaïda et qui entretient des rapports souvent conflictuels avec le Hamas, mouvement ayant pris le contrôle de la bande de Ghaza par la force en juin 2007 au détriment du Fatah, le parti du président Mahmoud Abbas. Le porte-parole du ministère de l'Intérieur de la bande de Ghaza a en outre affirmé que les trois hommes tués lors de l'opération était également "impliqués dans l'enlèvement du journaliste britanniques Alan Johnston". Début août, neuf Palestiniens avaient été tués et plus de 90 blessés dans des affrontements entre forces du Hamas et une famille, pro-Fatah cette fois, accusée par le mouvement islamiste d'être responsable d'un attentat survenu quelques jours plus tôt à Ghaza et ayant coûté la vie à cinq membres de sa branche armée. Onze personnes ont été tuées et 40 blessées hier, à Ghaza dans des affrontements entre des policiers du mouvement islamiste Hamas et un puissant clan familial réputé proche d'un groupuscule extrémiste, ont indiqué des sources policières. De nombreux membres de la famille Doughmoch sont liés à l'Armée de l'islam, un groupuscule extrémiste idéologiquement proche d'Al-Qaïda et qui entretient des rapports souvent conflictuels avec le Hamas, mouvement ayant pris le contrôle de la bande de Ghaza par la force en juin 2007 au détriment du Fatah, le parti du président Mahmoud Abbas. Le porte-parole du ministère de l'Intérieur de la bande de Ghaza a en outre affirmé que les trois hommes tués lors de l'opération était également "impliqués dans l'enlèvement du journaliste britanniques Alan Johnston". Début août, neuf Palestiniens avaient été tués et plus de 90 blessés dans des affrontements entre forces du Hamas et une famille, pro-Fatah cette fois, accusée par le mouvement islamiste d'être responsable d'un attentat survenu quelques jours plus tôt à Ghaza et ayant coûté la vie à cinq membres de sa branche armée.