Lors de son allocution avant-hier devant les membres de l'instance exécutive, Abdelaziz Belkhadem n'a eu de cesse de répéter que, désormais, « le parti a transcendé sa crise ». Lors de son allocution avant-hier devant les membres de l'instance exécutive, Abdelaziz Belkhadem n'a eu de cesse de répéter que, désormais, « le parti a transcendé sa crise ». Plus que jamais et à quelques encablures de l'élection présidentielle, la priorité pour le secrétaire général de l'instance exécutive du FLN réside incontestablement, en la préservation et la consolidation de l'unité des rangs du parti. Lors de son allocution avant-hier devant les membres de l'instance exécutive, Abdelaziz Belkhadem n'a eu de cesse de répéter que, désormais, « le parti a transcendé sa crise ». Il dira presque la même chose hier, dans son discours prononcé à l'ouverture des travaux de la 3 éme session du conseil national du parti, au sein duquel siégent 550 membres. Le secrétaire général du vieux parti, qui a eu à gérer depuis le 8éme congrès dit rassembleur, les évidentes contradictions qui traversaient le parti, les luttes intestines qui l'ont minées et surtout les séquelles de l'épilogue des élections presidentiellees de 2004, où le FLN s'est scindé en deux camps farouchement opposés l'un à l'autre, n'ignore pas combien est importante la cohésion des rangs, notamment, à la veille d'une échéance politique capitale. Ce d'autant que le vieux parti compte être la locomotive dans la campagne électorale du candidat Abdelaziz Bouteflika qui, et tout porte à le croire, se représentera certainement à sa propre succession au mois d'avril prochain. Et même si pour l'heure le président de la république n'a rien dévoilé de ses intentions, il n'en reste pas moins que le FLN, au même titre que d'autres forces et partis politiques, fait le forcing pour l'amener à briguer un troisième mandat. C'est donc dans ce contexte pré-électoral que Abdelaziz Belkhadem a daigné lâcher du lest en acceptant l'option de l'élargissement de la composante du secrétariat exécutif du parti, formé actuellement de 7 membres. En effet, il a sollicité les membres de l'instance exécutive, avant-hier, d'entériner cette option et, pour ce faire, il a appelé à une réunion extraordinaire pour aujourd'hui. Selon des indiscrétions, car c'est à huis clos que le patron du parti a tenu ses paroles, Belkhadem a cité le nom du président de l'APN, en formulant le vœu que les membres de cette instance donnent leur quitus pour qu'il intègre le secrétariat exécutif. Il ne serait pas le seul à rejoindre « le bureau politique » puisque il sera accompagné par une deuxième personnalité, dont le nom n'est pas encore connu. Cependant, à en croire certaines sources, c'est Mohamed Alioui, secrétaire général de l'UNPA (union nationale des paysans algériens) et député à l'APN, qui semble avoir les faveurs pour faire partie de cette structure. A l'évidence, cette nouvelle donne est l'expression du nouveau climat qui règne désormais au FLN, alors qu' il n'y a pas si longtemps, le désaccord entre Abdelaziz Ziari et Abdelaziz Belkhadem était un secret de polichinelle. Abdelaziz Ziari, dit-on, n'arrivait pas à admettre qu'il soit mis à l'écart de cette instance, alors qu'il assume la présidence de la chambre basse. Il a, de fait, mené une guerre de tranchées contre Abdelaziz Belkhadem. L'on se souvient dans ce contexte de la fameuse réunion qu'il a organisée chez lui, à l'assemblée, au mois de ramadhan dernier avec les mouhafadh d'Alger. Une rencontre, qui est une expression de la profonde crise entre les deux hommes et qui a fait couler beaucoup d'encre par conséquent. De plus cette guéguerre s'est aussi traduite par le refus de Ziari, soutenu en cela par des dizaines de députés, de la reconduction de Laayachi Daadoua au poste de chef du groupe parlementaire du FLN à l'APN. Ce n'est donc qu'à la faveur des préparatifs de la prochaine présidentielle, pour laquelle le conseil national du FLN a emboîté le pas à l'instance exécutive en soutenant la candidature de Abdelaziz Bouteflika, que les deux hommes ont fini par enterrer la hache de guerre. Plus que jamais et à quelques encablures de l'élection présidentielle, la priorité pour le secrétaire général de l'instance exécutive du FLN réside incontestablement, en la préservation et la consolidation de l'unité des rangs du parti. Lors de son allocution avant-hier devant les membres de l'instance exécutive, Abdelaziz Belkhadem n'a eu de cesse de répéter que, désormais, « le parti a transcendé sa crise ». Il dira presque la même chose hier, dans son discours prononcé à l'ouverture des travaux de la 3 éme session du conseil national du parti, au sein duquel siégent 550 membres. Le secrétaire général du vieux parti, qui a eu à gérer depuis le 8éme congrès dit rassembleur, les évidentes contradictions qui traversaient le parti, les luttes intestines qui l'ont minées et surtout les séquelles de l'épilogue des élections presidentiellees de 2004, où le FLN s'est scindé en deux camps farouchement opposés l'un à l'autre, n'ignore pas combien est importante la cohésion des rangs, notamment, à la veille d'une échéance politique capitale. Ce d'autant que le vieux parti compte être la locomotive dans la campagne électorale du candidat Abdelaziz Bouteflika qui, et tout porte à le croire, se représentera certainement à sa propre succession au mois d'avril prochain. Et même si pour l'heure le président de la république n'a rien dévoilé de ses intentions, il n'en reste pas moins que le FLN, au même titre que d'autres forces et partis politiques, fait le forcing pour l'amener à briguer un troisième mandat. C'est donc dans ce contexte pré-électoral que Abdelaziz Belkhadem a daigné lâcher du lest en acceptant l'option de l'élargissement de la composante du secrétariat exécutif du parti, formé actuellement de 7 membres. En effet, il a sollicité les membres de l'instance exécutive, avant-hier, d'entériner cette option et, pour ce faire, il a appelé à une réunion extraordinaire pour aujourd'hui. Selon des indiscrétions, car c'est à huis clos que le patron du parti a tenu ses paroles, Belkhadem a cité le nom du président de l'APN, en formulant le vœu que les membres de cette instance donnent leur quitus pour qu'il intègre le secrétariat exécutif. Il ne serait pas le seul à rejoindre « le bureau politique » puisque il sera accompagné par une deuxième personnalité, dont le nom n'est pas encore connu. Cependant, à en croire certaines sources, c'est Mohamed Alioui, secrétaire général de l'UNPA (union nationale des paysans algériens) et député à l'APN, qui semble avoir les faveurs pour faire partie de cette structure. A l'évidence, cette nouvelle donne est l'expression du nouveau climat qui règne désormais au FLN, alors qu' il n'y a pas si longtemps, le désaccord entre Abdelaziz Ziari et Abdelaziz Belkhadem était un secret de polichinelle. Abdelaziz Ziari, dit-on, n'arrivait pas à admettre qu'il soit mis à l'écart de cette instance, alors qu'il assume la présidence de la chambre basse. Il a, de fait, mené une guerre de tranchées contre Abdelaziz Belkhadem. L'on se souvient dans ce contexte de la fameuse réunion qu'il a organisée chez lui, à l'assemblée, au mois de ramadhan dernier avec les mouhafadh d'Alger. Une rencontre, qui est une expression de la profonde crise entre les deux hommes et qui a fait couler beaucoup d'encre par conséquent. De plus cette guéguerre s'est aussi traduite par le refus de Ziari, soutenu en cela par des dizaines de députés, de la reconduction de Laayachi Daadoua au poste de chef du groupe parlementaire du FLN à l'APN. Ce n'est donc qu'à la faveur des préparatifs de la prochaine présidentielle, pour laquelle le conseil national du FLN a emboîté le pas à l'instance exécutive en soutenant la candidature de Abdelaziz Bouteflika, que les deux hommes ont fini par enterrer la hache de guerre.