Dans la nuit de jeudi à vendredi, les bombardements de l'artillerie et de l'aviation israéliennes ont continué faisant au moins 25 morts palestiniens, portant ainsi à près de 800 le nombre de personnes tuées dont 220 enfants. Dans la nuit de jeudi à vendredi, les bombardements de l'artillerie et de l'aviation israéliennes ont continué faisant au moins 25 morts palestiniens, portant ainsi à près de 800 le nombre de personnes tuées dont 220 enfants. Des chars israéliens ont tiré des obus dans la bande de Ghaza malgré l'annonce d'une pause des opérations pendant trois heures pour des raisons humanitaires, ont rapporté hier des témoins cités par des agences de presse . Des chars ont ouvert le feu contre des cibles à Jabaliya, Beit Lahya ainsi que dans le quartier de Zeitoun, dans Ghaza ville. Des tirs ont atteint une menuiserie située à côté d'une station essence, provoquant un gigantesque incendie à Jabaliya. Dans la nuit de jeudi à vendredi, les bombardements de l'artillerie et de l'aviation israéliennes ont continué faisant au moins 25 morts palestiniens, portant ainsi à près de 800 le nombre de personnes tuées dont 220 enfants depuis le début de l'agression israélienne le 27 décembre dernier. Plus de 3.200 autres ont été blessées dans cette région où la situation humanitaire y est jugée de plus en plus alarmante. Jeudi, l'Unrwa, l'agence de l'ONU d'aide aux réfugiés palestiniens a suspendu ses opérations après qu'un de ses convois eut été touché par des obus israéliens. Un chauffeur palestinien a été tué par ces tirs près du terminal d'Erez, entre Ghaza et Israël. Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a annoncé hier une réduction "temporaire" de ses opérations humanitaires dans la ville palestinienne de Ghaza, expliquant qu'un des ses véhicules avait été touché par des tirs de l'armée israélienne. "Un de nos camions en tête d'un convoi de 13 ambulances apportant de l'aide médicale dans le sud de la bande de Ghaza a été touché par des tirs" a indiqué la porte-parole du CICR à El Qods occupée. "Nous avons de bonnes raisons de croire que ces tirs provenaient de l'armée israélienne", a-t-elle précisé, faisant état d'un blessé léger. Le CICR avait affirmé jeudi que l'armée israélienne l'avait empêché d'accéder à des blessés palestiniens à Ghaza, dont des enfants coincés pendant cinq jours dans leur maison avec le corps de leur mère tombée en martyrs dans des raids israéliens. Le CICR a demandé "un accès sécurisé immédiat pour rechercher les blessés". Les échos qui parviennent de Ghaza font état d'une situation humanitaire "critique qui empire d'heure en heure». Un million de personnes vivent sans électricité, 750.000 personnes sont sans eau et les hôpitaux fonctionnent en continu grâce à des générateurs de secours qui risquent de s'arrêter en cas de manque d'essence. Dénonçant une situation humanitaire "terrible", le département d'Etat américain a appelé Israël à prolonger les horaires d'accès de l'aide d'urgence. Hier, le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU a ouvert à Genève une session extraordinaire consacrée à la situation dans la bande de Ghaza. Synthèse R.N Des chars israéliens ont tiré des obus dans la bande de Ghaza malgré l'annonce d'une pause des opérations pendant trois heures pour des raisons humanitaires, ont rapporté hier des témoins cités par des agences de presse . Des chars ont ouvert le feu contre des cibles à Jabaliya, Beit Lahya ainsi que dans le quartier de Zeitoun, dans Ghaza ville. Des tirs ont atteint une menuiserie située à côté d'une station essence, provoquant un gigantesque incendie à Jabaliya. Dans la nuit de jeudi à vendredi, les bombardements de l'artillerie et de l'aviation israéliennes ont continué faisant au moins 25 morts palestiniens, portant ainsi à près de 800 le nombre de personnes tuées dont 220 enfants depuis le début de l'agression israélienne le 27 décembre dernier. Plus de 3.200 autres ont été blessées dans cette région où la situation humanitaire y est jugée de plus en plus alarmante. Jeudi, l'Unrwa, l'agence de l'ONU d'aide aux réfugiés palestiniens a suspendu ses opérations après qu'un de ses convois eut été touché par des obus israéliens. Un chauffeur palestinien a été tué par ces tirs près du terminal d'Erez, entre Ghaza et Israël. Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a annoncé hier une réduction "temporaire" de ses opérations humanitaires dans la ville palestinienne de Ghaza, expliquant qu'un des ses véhicules avait été touché par des tirs de l'armée israélienne. "Un de nos camions en tête d'un convoi de 13 ambulances apportant de l'aide médicale dans le sud de la bande de Ghaza a été touché par des tirs" a indiqué la porte-parole du CICR à El Qods occupée. "Nous avons de bonnes raisons de croire que ces tirs provenaient de l'armée israélienne", a-t-elle précisé, faisant état d'un blessé léger. Le CICR avait affirmé jeudi que l'armée israélienne l'avait empêché d'accéder à des blessés palestiniens à Ghaza, dont des enfants coincés pendant cinq jours dans leur maison avec le corps de leur mère tombée en martyrs dans des raids israéliens. Le CICR a demandé "un accès sécurisé immédiat pour rechercher les blessés". Les échos qui parviennent de Ghaza font état d'une situation humanitaire "critique qui empire d'heure en heure». Un million de personnes vivent sans électricité, 750.000 personnes sont sans eau et les hôpitaux fonctionnent en continu grâce à des générateurs de secours qui risquent de s'arrêter en cas de manque d'essence. Dénonçant une situation humanitaire "terrible", le département d'Etat américain a appelé Israël à prolonger les horaires d'accès de l'aide d'urgence. Hier, le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU a ouvert à Genève une session extraordinaire consacrée à la situation dans la bande de Ghaza. Synthèse R.N