Considérant que les autres candidats manquent d'expérience, le FLN estime que Bouteflika est le seul candidat capable et apte à diriger le pays dans la mesure où la stabilité est en jeu, notamment dans la conjoncture politique, géostratégique, économique et financière internationale. Considérant que les autres candidats manquent d'expérience, le FLN estime que Bouteflika est le seul candidat capable et apte à diriger le pays dans la mesure où la stabilité est en jeu, notamment dans la conjoncture politique, géostratégique, économique et financière internationale. Réunie jeudi dernier sous la présidence du secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem, l'instance exécutive du parti du Front de libération nationale (FLN) a affirmé massivement son soutien à la candidature d'Abdelaziz Bouteflika pour un troisième mandat consécutif à la législature suprême. Considérant que les autres candidats manquent d'expérience et ne possèdent pas la stature de candidat potentiel à la présidence de la République, le FLN estime que Bouteflika est le seul candidat capable et apte à diriger le pays dans la mesure où la stabilité est en jeu, notamment dans la conjoncture politique, géostratégique, économique et financière internationale. L'expérience accumulée par le Président sortant les dix dernières années à la tête de l'Etat algérien est jugée par le FLN comme un capital susceptible de maintenir le pays dans le concert des nations en voie de développement. Ce parti se félicite des réalisations économiques de cette dernière décennie. En outre, la motion de soutien du FLN exhorte les militants et les citoyens à voter massivement. Cependant, il est indispensable de ramener la paix civile permanente dans le cadre de la réconciliation nationale et asseoir la sécurité et la sérénité au sein de la population algérienne avide de paix et éprise de justice. L'essentiel pour le moment c'est de continuer les programmes nationaux de développement économique dans le cadre du plan quinquennal de relance économique. Le taux de participation aux prochaines échéances présidentielles montrera le degré de confiance accordé par les citoyens à ce scrutin, car la démocratie suppose un franc vote et un suffrage universel engageant plusieurs candidats de formations politiques différentes. Le 9 avril prochain est considéré comme un évènement historique dans les annales de la démocratie balbutiante algérienne sachant que c'est la seconde fois que la Constitution est amendée dans des circonstances politiques et sociales bien particulières du pays. A. A. Réunie jeudi dernier sous la présidence du secrétaire général, Abdelaziz Belkhadem, l'instance exécutive du parti du Front de libération nationale (FLN) a affirmé massivement son soutien à la candidature d'Abdelaziz Bouteflika pour un troisième mandat consécutif à la législature suprême. Considérant que les autres candidats manquent d'expérience et ne possèdent pas la stature de candidat potentiel à la présidence de la République, le FLN estime que Bouteflika est le seul candidat capable et apte à diriger le pays dans la mesure où la stabilité est en jeu, notamment dans la conjoncture politique, géostratégique, économique et financière internationale. L'expérience accumulée par le Président sortant les dix dernières années à la tête de l'Etat algérien est jugée par le FLN comme un capital susceptible de maintenir le pays dans le concert des nations en voie de développement. Ce parti se félicite des réalisations économiques de cette dernière décennie. En outre, la motion de soutien du FLN exhorte les militants et les citoyens à voter massivement. Cependant, il est indispensable de ramener la paix civile permanente dans le cadre de la réconciliation nationale et asseoir la sécurité et la sérénité au sein de la population algérienne avide de paix et éprise de justice. L'essentiel pour le moment c'est de continuer les programmes nationaux de développement économique dans le cadre du plan quinquennal de relance économique. Le taux de participation aux prochaines échéances présidentielles montrera le degré de confiance accordé par les citoyens à ce scrutin, car la démocratie suppose un franc vote et un suffrage universel engageant plusieurs candidats de formations politiques différentes. Le 9 avril prochain est considéré comme un évènement historique dans les annales de la démocratie balbutiante algérienne sachant que c'est la seconde fois que la Constitution est amendée dans des circonstances politiques et sociales bien particulières du pays. A. A.