Le Syndicat national des praticiens de santé publique a lancé, hier lundi 23 février, à partir de Skikda, un appel pour une grève nationale ouverte à partir d'aujourd'hui 24 février 2009 et ce, à l'occasion d'une conférence de presse tenue au siège du service de la médecine légale de l'hôpital de Skikda. Cette grève a été décidée, selon le président du syndicat national des praticiens de santé publique, M. Salah Bensabini, pour exiger des pouvoirs publics la promulgation, dans les plus brefs délais, du statut du praticien de santé publique. Le syndicat des praticiens exige, également, l'ouverture immédiate de négociations sur le régime indemnitaire des praticiens de santé publique. Un service minimum au niveau des urgences, des maternités, des services d'hémodialyse sera toutefois assuré selon la même source. Cette action demeure, selon M. Salah Bensabini, l'ultime recours pour revendiquer les droits et restituer la dignité des praticiens de santé affiliés au secteur public. Quant au gel, suspension ou arrêt de cette action, ils ne peuvent être décidés que lors d'un conseil national extraordinaire du syndicat qui sera provoqué en temps opportun, a ajouté le président du Syndicat national des praticiens de santé publique. Le Syndicat national des praticiens de santé publique a lancé, hier lundi 23 février, à partir de Skikda, un appel pour une grève nationale ouverte à partir d'aujourd'hui 24 février 2009 et ce, à l'occasion d'une conférence de presse tenue au siège du service de la médecine légale de l'hôpital de Skikda. Cette grève a été décidée, selon le président du syndicat national des praticiens de santé publique, M. Salah Bensabini, pour exiger des pouvoirs publics la promulgation, dans les plus brefs délais, du statut du praticien de santé publique. Le syndicat des praticiens exige, également, l'ouverture immédiate de négociations sur le régime indemnitaire des praticiens de santé publique. Un service minimum au niveau des urgences, des maternités, des services d'hémodialyse sera toutefois assuré selon la même source. Cette action demeure, selon M. Salah Bensabini, l'ultime recours pour revendiquer les droits et restituer la dignité des praticiens de santé affiliés au secteur public. Quant au gel, suspension ou arrêt de cette action, ils ne peuvent être décidés que lors d'un conseil national extraordinaire du syndicat qui sera provoqué en temps opportun, a ajouté le président du Syndicat national des praticiens de santé publique.