Ayant déjà passé une année en détention préventive avant d'être relâché pour être jugé quelque mois après en liberté, B.M. l'ex- président de l'APC de Sidi Amar, banlieue ouvrière à quelques encablures de la ville de Annaba, a été condamné hier par la cour d'appel de Annaba à 7 ans de prison ferme. Son frère a écopé de 1 ans de prison ferme par contumace. Ce dernier est poursuivi par la justice pour avoir bénéficié de largesses et de passe-droits de la part de son frangin à l'époque où il présidait aux destinées des affaires de la commune. Il lui avait accordé de nombreux marchés publics douteux. Au cours de la première audience, la cour a prononcé une peine d'une année de prison à l'encontre de 11 autres prévenus, parmi eux des cadres de l'administration et des entrepreneurs. Les mis en cause sont notamment poursuivis pour détournement et dilapidation de deniers publics, passation de marchés publics en violation des lois en vigueur, falsification de documents officiels, faux et usage de faux. C'est, rappelons-le, sur instruction de l'ex-wali qu'une enquête a été diligentée et qui aboutira à d'accablantes conclusions concernant les graves préjudices financiers causés à l'APC de Sidi Amar, estimés à près de 250 milliards de centimes. Ayant déjà passé une année en détention préventive avant d'être relâché pour être jugé quelque mois après en liberté, B.M. l'ex- président de l'APC de Sidi Amar, banlieue ouvrière à quelques encablures de la ville de Annaba, a été condamné hier par la cour d'appel de Annaba à 7 ans de prison ferme. Son frère a écopé de 1 ans de prison ferme par contumace. Ce dernier est poursuivi par la justice pour avoir bénéficié de largesses et de passe-droits de la part de son frangin à l'époque où il présidait aux destinées des affaires de la commune. Il lui avait accordé de nombreux marchés publics douteux. Au cours de la première audience, la cour a prononcé une peine d'une année de prison à l'encontre de 11 autres prévenus, parmi eux des cadres de l'administration et des entrepreneurs. Les mis en cause sont notamment poursuivis pour détournement et dilapidation de deniers publics, passation de marchés publics en violation des lois en vigueur, falsification de documents officiels, faux et usage de faux. C'est, rappelons-le, sur instruction de l'ex-wali qu'une enquête a été diligentée et qui aboutira à d'accablantes conclusions concernant les graves préjudices financiers causés à l'APC de Sidi Amar, estimés à près de 250 milliards de centimes.