L'UMMTO «fait face depuis plusieurs années à une montée de la violence qui se traduit par des dégradations d' infrastructures, des écarts de langage dans les affichages, des agressions verbales et physiques quotidiennes. L'UMMTO «fait face depuis plusieurs années à une montée de la violence qui se traduit par des dégradations d' infrastructures, des écarts de langage dans les affichages, des agressions verbales et physiques quotidiennes. Les membres du Conseil scientifique de l'université Mouloud- Mammeri de Tizi-Ouzou (UMMTO) ont organisé, hier, une marche à l'intérieur du campus Hasnaoua I pour protester contre « la violence au sein de l'université». Cette action a été décidée lors d'une réunion qui a regroupé le premier de ce mois de mars les membres du Conseil scientifique, les responsables pédagogiques de l'université ainsi que les membres des comités et conseils scientifiques. Après un débat sur la situation de violence, qui prévaut au sein de l'université, les présents ont décidé d'agir afin de préserver de la dérive ce lieu de savoir, d'échanges, et de confrontation pacifique des idées . Dans une déclaration rendue publique, ces derniers soulignent que l'université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou qui était «hier le berceau des revendications démocratiques, ne devrait en aucun prétexte s'accommoder de pratiques qui lui sont totalement étrangères et inadmissibles», selon les rédacteurs de la déclaration, l'UMMTO «fait face depuis plusieurs années à une montée de violence qui se traduit par les dégradations des infrastructures, des écarts de langage dans les affichages, des agressions verbales et physiques quotidiennes, des occupations de locaux administratifs et pédagogiques et des séquestrations de responsables, ce qui par conséquent freine considérablement son épanouissement et son développement», tout en admettant que l'UMMTO à l'instar des autres universités du pays est confrontée à de«réelles difficultés», les membres du Conseil scientifiques estiment que aussi légitimes que soient les revendications des étudiants notamment et des travailleurs, cela ne devrait pas justifier le recours à la violence. Si ceux qui ont pris part à la marche d'hier ont décidé de ne pas accepter cette situation, c'est qu'ils croient mordicus qu'ils peuvent redonner à l'UMMTO ses lettres de noblesse. Ils sont persuadés que le règlement des problèmes doit passer par la voie du dialogue et de la concertation.Le conseil scientifique a condamné, hier, à l'occasion de la marche toute forme de violence et tiré la sonnette d'alarme sur l'extrême gravité de la situation. Les membres du Conseil scientifique de l'université Mouloud- Mammeri de Tizi-Ouzou (UMMTO) ont organisé, hier, une marche à l'intérieur du campus Hasnaoua I pour protester contre « la violence au sein de l'université». Cette action a été décidée lors d'une réunion qui a regroupé le premier de ce mois de mars les membres du Conseil scientifique, les responsables pédagogiques de l'université ainsi que les membres des comités et conseils scientifiques. Après un débat sur la situation de violence, qui prévaut au sein de l'université, les présents ont décidé d'agir afin de préserver de la dérive ce lieu de savoir, d'échanges, et de confrontation pacifique des idées . Dans une déclaration rendue publique, ces derniers soulignent que l'université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou qui était «hier le berceau des revendications démocratiques, ne devrait en aucun prétexte s'accommoder de pratiques qui lui sont totalement étrangères et inadmissibles», selon les rédacteurs de la déclaration, l'UMMTO «fait face depuis plusieurs années à une montée de violence qui se traduit par les dégradations des infrastructures, des écarts de langage dans les affichages, des agressions verbales et physiques quotidiennes, des occupations de locaux administratifs et pédagogiques et des séquestrations de responsables, ce qui par conséquent freine considérablement son épanouissement et son développement», tout en admettant que l'UMMTO à l'instar des autres universités du pays est confrontée à de«réelles difficultés», les membres du Conseil scientifiques estiment que aussi légitimes que soient les revendications des étudiants notamment et des travailleurs, cela ne devrait pas justifier le recours à la violence. Si ceux qui ont pris part à la marche d'hier ont décidé de ne pas accepter cette situation, c'est qu'ils croient mordicus qu'ils peuvent redonner à l'UMMTO ses lettres de noblesse. Ils sont persuadés que le règlement des problèmes doit passer par la voie du dialogue et de la concertation.Le conseil scientifique a condamné, hier, à l'occasion de la marche toute forme de violence et tiré la sonnette d'alarme sur l'extrême gravité de la situation.