Le Syndicat national algérien des psychologues (Snapsy) a déposé son préavis de grève nationale de trois jours au niveau du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. Il entamera à partir du 18 avril prochain une grève cyclique de trois jours (de samedi à lundi). Après une grève de cinq jours observée du 22 au 26 mars, les psychologues de la fonction publique reviennent à la charge et entamerons dans moins d'une semaine une grève cyclique de trois jours. Le 7 avril dernier, le président du SNAPSY a, en effet, déposé le préavis de grève national au niveau du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, principal employeur de cette corporation. Tout comme pour la précédente grève de quatre jours, les psychologues défendent l'accord signé entre le syndicat et le MSPRH concernant la classification du psychologue à la catégorie 13 au lieu de la catégorie 12 et l'ouverture immédiate des négociations sur le régime indemnitaire. En effet, l'élaboration d'un statut particulier de leur fonction et aussi une réévaluation conséquente de leurs salaires par la révision de leurs échelons dans le statut de la Fonction publique sont les deux principales revendications socioprofessionnelles. «Nous voulons un classement catégoriel du psychologue à partir de la catégorie numéro 13, comme cela a été décidé lors d'un signature d'un procès-verbal avec l'ancien ministre de la Santé, en assurant une évolution de carrière jusqu'au doctorat de la première subdivision hors catégorie» avait souligné à plusieurs reprises le président du SNAPSY. Des revendications, rappelle le syndicat, que la tutelle s'est engagée à concrétiser à plusieurs rencontres. La dernière promesse en date, cite M. Khaled Keddad, président du bureau national du Syndicat national algérien des psychologues (SNAPSY), a été faite par le secrétaire général de ce ministère, le 15 janvier dernier. «Depuis le 19 février 2006, notre plate-forme de revendication socioprofessionnelle déposée auprès de notre tutelle n'a pas changé d'un iota », a encore indiqué le président du SNAPSY. Ce syndicat, qui n'a cessé, depuis, de se réunir avec les différentes tutelles pour faire avancer leur cause, ne baisse pas les bras. Après les sit-in, les journées de protestation et de grève, voilà qu'il change de fusil d'épaule et entame une grève cyclique de trois jours. Ceci, en laissant toujours les portes du dialogue ouvertes pour une éventuelle issue favorable à la corporation et aux patients. Le Syndicat national algérien des psychologues (Snapsy) a déposé son préavis de grève nationale de trois jours au niveau du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière. Il entamera à partir du 18 avril prochain une grève cyclique de trois jours (de samedi à lundi). Après une grève de cinq jours observée du 22 au 26 mars, les psychologues de la fonction publique reviennent à la charge et entamerons dans moins d'une semaine une grève cyclique de trois jours. Le 7 avril dernier, le président du SNAPSY a, en effet, déposé le préavis de grève national au niveau du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, principal employeur de cette corporation. Tout comme pour la précédente grève de quatre jours, les psychologues défendent l'accord signé entre le syndicat et le MSPRH concernant la classification du psychologue à la catégorie 13 au lieu de la catégorie 12 et l'ouverture immédiate des négociations sur le régime indemnitaire. En effet, l'élaboration d'un statut particulier de leur fonction et aussi une réévaluation conséquente de leurs salaires par la révision de leurs échelons dans le statut de la Fonction publique sont les deux principales revendications socioprofessionnelles. «Nous voulons un classement catégoriel du psychologue à partir de la catégorie numéro 13, comme cela a été décidé lors d'un signature d'un procès-verbal avec l'ancien ministre de la Santé, en assurant une évolution de carrière jusqu'au doctorat de la première subdivision hors catégorie» avait souligné à plusieurs reprises le président du SNAPSY. Des revendications, rappelle le syndicat, que la tutelle s'est engagée à concrétiser à plusieurs rencontres. La dernière promesse en date, cite M. Khaled Keddad, président du bureau national du Syndicat national algérien des psychologues (SNAPSY), a été faite par le secrétaire général de ce ministère, le 15 janvier dernier. «Depuis le 19 février 2006, notre plate-forme de revendication socioprofessionnelle déposée auprès de notre tutelle n'a pas changé d'un iota », a encore indiqué le président du SNAPSY. Ce syndicat, qui n'a cessé, depuis, de se réunir avec les différentes tutelles pour faire avancer leur cause, ne baisse pas les bras. Après les sit-in, les journées de protestation et de grève, voilà qu'il change de fusil d'épaule et entame une grève cyclique de trois jours. Ceci, en laissant toujours les portes du dialogue ouvertes pour une éventuelle issue favorable à la corporation et aux patients.