Le sanglier peut également constituer une source non négligeable de développement du virus responsable de la grippe porcine, a affirmé le Pr. Gérard Keck, chercheur à l'école vétérinaire de Lyon, dans une déclaration, hier, en marge des quatrièmes journées internationales de médecine vétérinaire, ouverte, hier à Constantine. Cela prouve, poursuit-t-il, que ce ne sont pas uniquement les pays où il existe des élevages de porc qui peuvent constituer un foyer pour le développement de cette maladie. Le spécialiste français a toutefois minimisé le risque d'une éventuelle pandémie de cette maladie qui atteint notamment les sujets âgés, les enfants en bas âge, les insuffisants immunodéprimés et les personnes vulnérables. «Ce fléau a été exagérément médiatisé et cela pourrait créer une psychose dont les conséquences négatives risquent de contrarier les efforts déployés par les chercheurs en vue de circonscrire cette maladie et mettre en place les méthodes de prévention et autres moyens nécessaires pour y faire face», affirme-t-il. Il précise dans ce sens que des recherches s'attellent actuellement, à «améliorer la prise en charge médicale de cette maladie et arriver à mettre au point un vaccin efficace contre le virus de la grippe porcine qui vit dans les cellules des organismes vivants et particulièrement au niveau de l'appareil respiratoire. Ouvert, hier, ce séminaire, axé sur les productions animales et la surveillance de la chaîne alimentaire, a regroupé à l'université Emir Abdelkader de Constantine, quelque 38 chercheurs et communicants, dont six experts étrangers venus de France, de Belgique et du Maroc. Ces conférences s'inscrivent dans le cadre des 4ème journées internationales de médecine vétérinaire initiées par le département des sciences vétérinaires en coordination avec le Laboratoire de recherches Pathologiques Animales de Développement des Elevages et Surveillance de la Chaîne Alimentaire (PADESCA), a indiqué le Pr. El Hadef El Okki Saâdoun, président du comité scientifique de cette rencontre de deux jours. Le Pr. agrégé Gilbert Mouthon, chercheur au service de physique et chimie biologiques et médicales de l'école nationale vétérinaire de Maisons Alfort à Paris a ouvert les travaux par une communication consacrée à l'éco-toxicologie, les toxines, les pesticides et les métaux lourds qui affectent la chaîne alimentaire. Le sanglier peut également constituer une source non négligeable de développement du virus responsable de la grippe porcine, a affirmé le Pr. Gérard Keck, chercheur à l'école vétérinaire de Lyon, dans une déclaration, hier, en marge des quatrièmes journées internationales de médecine vétérinaire, ouverte, hier à Constantine. Cela prouve, poursuit-t-il, que ce ne sont pas uniquement les pays où il existe des élevages de porc qui peuvent constituer un foyer pour le développement de cette maladie. Le spécialiste français a toutefois minimisé le risque d'une éventuelle pandémie de cette maladie qui atteint notamment les sujets âgés, les enfants en bas âge, les insuffisants immunodéprimés et les personnes vulnérables. «Ce fléau a été exagérément médiatisé et cela pourrait créer une psychose dont les conséquences négatives risquent de contrarier les efforts déployés par les chercheurs en vue de circonscrire cette maladie et mettre en place les méthodes de prévention et autres moyens nécessaires pour y faire face», affirme-t-il. Il précise dans ce sens que des recherches s'attellent actuellement, à «améliorer la prise en charge médicale de cette maladie et arriver à mettre au point un vaccin efficace contre le virus de la grippe porcine qui vit dans les cellules des organismes vivants et particulièrement au niveau de l'appareil respiratoire. Ouvert, hier, ce séminaire, axé sur les productions animales et la surveillance de la chaîne alimentaire, a regroupé à l'université Emir Abdelkader de Constantine, quelque 38 chercheurs et communicants, dont six experts étrangers venus de France, de Belgique et du Maroc. Ces conférences s'inscrivent dans le cadre des 4ème journées internationales de médecine vétérinaire initiées par le département des sciences vétérinaires en coordination avec le Laboratoire de recherches Pathologiques Animales de Développement des Elevages et Surveillance de la Chaîne Alimentaire (PADESCA), a indiqué le Pr. El Hadef El Okki Saâdoun, président du comité scientifique de cette rencontre de deux jours. Le Pr. agrégé Gilbert Mouthon, chercheur au service de physique et chimie biologiques et médicales de l'école nationale vétérinaire de Maisons Alfort à Paris a ouvert les travaux par une communication consacrée à l'éco-toxicologie, les toxines, les pesticides et les métaux lourds qui affectent la chaîne alimentaire.