La CNMA (Caisse nationale de mutualité agricole), opère sa mue dans le domaine et lance un nouveau produit, l'assurance cheptel, tel que rapporté par le magazine bi-mensuel El Djadel dans son édition n° 08 du 03 au 17 mai 2009. «Nous entrons dans l'ère de l'agriculture moderne», lance fièrement M. Benhabylès, directeur technique des assurances, contacté hier par téléphone. Le responsable de la CNMA souligne que ce produit, «existe déjà», mais «il a été revu dans le fond et la forme pour l'adapter à l'environnement climatique». Première du genre en matière d'assurance de l'élevage, toutes les espèces sont concernées. Une première convention de partenariat a été signée avec Danone Djurdjura Algérie en mars dernier. Il s'agit avant tout, pour la CNMA «de préserver le patrimoine animalier du pays et d'offrir les meilleures conditions aux éleveurs». M Benhabylès souligne que «tout travail de fond se fait pour sensibiliser et préparer l'environnement à adhérer à ce produit d'assurance cheptel». Tout le monde est concerné, selon le responsable technique des assurances au sein de la CNMA qui assure que l'agriculture au sens traditionnel du terme est révolue en Algérie. Une vraie révolution souffle dans le domaine des assurances agricoles. La société étatique d'assurance agricole peaufine d'autres produits d'assurances pour les agriculteurs, entre autres, le risque «perte produit», «frais médicaux du cheptel», «entretien des vaches laitières», pour, explique M Benhabylès, «donner plus de garanties aux agriculteurs et éleveurs et leur permettre de travailler dans de bonnes conditions ». Une seconde révolution entre par la grande porte dans ce secteur, tout au bénéfice des éleveurs. La CNMA s'initie à l'identification et la traçabilité du cheptel par le procédé électronique par satellite. Un domaine pointu qui exige des moyens humains et matériels pointus. Ces moyens «existent au sein de la CNMA», assure son directeur technique des assurances qui souligne que «tous les animaux sont concernés y compris les troupeaux de dromadaires éparpillés à travers le grand Sud, selon les spécificités de la région», précise-t-il. Ce sera, certifie-t-il, « une garantie que les éleveurs pourront présenter auprès des banques en gage de leur solvabilité pour bénéficier de facilités». Le directeur technique des assurances de la CNMA estime que les prix qui sont pratiqués par la compagnie d'assurance agricole, «sont abordables» pour les éleveurs et agriculteurs, soulignant que «la prime d'assurance est calculée par tête de bétail», selon l'espèce et le travail des experts et d'autres paramètres qui permettent d'arrêter la tarification. En tout état de cause, il certifie que le prix que pratique la CNMA «est adapté» que ce soit pour un cheptel important ou pour tout autre éleveur qui dispose de quelques éléments de bétail et révèle que «la CNMA initie des campagne de sensibilisation et tout un travail de proximité pour convaincre et accompagner les éleveurs et agriculteurs à préserver leur patrimoine en souscrivant à une police d'assurance destinée à les protéger contre les aléas de toutes natures qui peuvent survenir à leurs exploitations.» La CNMA (Caisse nationale de mutualité agricole), opère sa mue dans le domaine et lance un nouveau produit, l'assurance cheptel, tel que rapporté par le magazine bi-mensuel El Djadel dans son édition n° 08 du 03 au 17 mai 2009. «Nous entrons dans l'ère de l'agriculture moderne», lance fièrement M. Benhabylès, directeur technique des assurances, contacté hier par téléphone. Le responsable de la CNMA souligne que ce produit, «existe déjà», mais «il a été revu dans le fond et la forme pour l'adapter à l'environnement climatique». Première du genre en matière d'assurance de l'élevage, toutes les espèces sont concernées. Une première convention de partenariat a été signée avec Danone Djurdjura Algérie en mars dernier. Il s'agit avant tout, pour la CNMA «de préserver le patrimoine animalier du pays et d'offrir les meilleures conditions aux éleveurs». M Benhabylès souligne que «tout travail de fond se fait pour sensibiliser et préparer l'environnement à adhérer à ce produit d'assurance cheptel». Tout le monde est concerné, selon le responsable technique des assurances au sein de la CNMA qui assure que l'agriculture au sens traditionnel du terme est révolue en Algérie. Une vraie révolution souffle dans le domaine des assurances agricoles. La société étatique d'assurance agricole peaufine d'autres produits d'assurances pour les agriculteurs, entre autres, le risque «perte produit», «frais médicaux du cheptel», «entretien des vaches laitières», pour, explique M Benhabylès, «donner plus de garanties aux agriculteurs et éleveurs et leur permettre de travailler dans de bonnes conditions ». Une seconde révolution entre par la grande porte dans ce secteur, tout au bénéfice des éleveurs. La CNMA s'initie à l'identification et la traçabilité du cheptel par le procédé électronique par satellite. Un domaine pointu qui exige des moyens humains et matériels pointus. Ces moyens «existent au sein de la CNMA», assure son directeur technique des assurances qui souligne que «tous les animaux sont concernés y compris les troupeaux de dromadaires éparpillés à travers le grand Sud, selon les spécificités de la région», précise-t-il. Ce sera, certifie-t-il, « une garantie que les éleveurs pourront présenter auprès des banques en gage de leur solvabilité pour bénéficier de facilités». Le directeur technique des assurances de la CNMA estime que les prix qui sont pratiqués par la compagnie d'assurance agricole, «sont abordables» pour les éleveurs et agriculteurs, soulignant que «la prime d'assurance est calculée par tête de bétail», selon l'espèce et le travail des experts et d'autres paramètres qui permettent d'arrêter la tarification. En tout état de cause, il certifie que le prix que pratique la CNMA «est adapté» que ce soit pour un cheptel important ou pour tout autre éleveur qui dispose de quelques éléments de bétail et révèle que «la CNMA initie des campagne de sensibilisation et tout un travail de proximité pour convaincre et accompagner les éleveurs et agriculteurs à préserver leur patrimoine en souscrivant à une police d'assurance destinée à les protéger contre les aléas de toutes natures qui peuvent survenir à leurs exploitations.»