Pour Algex et le ministère du Commerce l'objectif primordial de cette coïncidence entre l'organisation de la 42e Foire internationale d'Alger, prévue du 30 mai au 4 juin, et la tenue du premier Salon national de l'exportation du 31 mai au 3 juin, consiste à promouvoir les exportations hors hydrocarbures. Pour Algex et le ministère du Commerce l'objectif primordial de cette coïncidence entre l'organisation de la 42e Foire internationale d'Alger, prévue du 30 mai au 4 juin, et la tenue du premier Salon national de l'exportation du 31 mai au 3 juin, consiste à promouvoir les exportations hors hydrocarbures. Le directeur général de l'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex) et le représentant du ministère du Commerce,M. Zaaf, ont solennellement rappelé, hier, au cours d'une conférence de presse organisée à la Safex, que «l'objectif primordial de cette coïncidence entre l'organisation de la 42e Foire internationale d'Alger, prévue du 30 mai au 4 juin, et la tenue du premier Salon national de l'exportation du 31 mai au 3 juin, consiste à promouvoir les exportations hors hydrocarbures sachant que seulement 2% de nos exportations sont en dehors de la sphère du pétrole et du gaz». M. Zaaf estime que «la 42e FIA un évènement majeur qui draine, cette année, pas moins de 40 pays comparativement à l'année 2008 où il n'y avait que 34 pays, est une manifestation économique et commerciale très importante pour l'économie nationale. La FIA représente le baromètre du degré de développement de notre économie sachant que le secteur des services, qui enregistre une large ouverture, devient prédominant. La participation étrangère, évaluée à 40 pays, montre tout l'intérêt accordé par nos partenaires internationaux à leur coopération avec l'Algérie». Il souligne également que c'est l'image de marque de notre pays qui est valorisée, mais il faut des perspectives à long terme pour booster nos exportations hors hydrocarbures. «Les retombées positives seront perceptibles concernant le Salon national de l'exportation», a-t-il ajouté précisant que «les générations futures ont besoin d'investissements hors hydrocarbures, car nos exportations actuelles de produits ne dépassent pas 1,9 milliard de dollars et en 2008, elles n'étaient que de l'ordre de 300 millions de dollars seulement. Nos exportateurs doivent bénéficier pleinement de l'aide de l'Etat, notamment, des avantages du Fonds spécial pour la promotion des exportations accordés aux entreprises exportatrices», a-t-il déclaré. Il s'agit donc, selon le représentant de Djaaboub, de diversifier les exportations hors hydrocarbures précisant que les deux tiers des 2% (des exportations hors hydrocarbures) concernent les produits miniers bruts et les produits dérivés de la pétrochimie alors que le reste a trait aux biens industriels et aux produits agroalimentaires ! Pour sa part, Bennini dira que «pas moins de 12 hommes d'affaires internationaux ont été invités à participer au salon de l'exportation qui est un espace privilégié pour les rendez-vous d'affaires et les visites de professionnels suivant les normes internationales. Des pavillons seront réservés aux 60 exportateurs prévus alors que l'espace institutionnel accueillera les services des Douanes, les banques, etc., tandis qu'un autre espace verra la présence des auxiliaires, tels les compagnies d'assurances, les commerces… ». Il ne manquera pas de relever les carences et les insuffisances de nos capacités d'exportation hors hydrocarbures en disant que le problème de l'Algérie se situe au niveau de l'offre de produits à l'exportation alors que notre pays regorge de produits agricoles frais compétitifs très demandés sur le marché international étant donné qu'ils remplissent les normes de la qualité-prix. Mais, il reconnaît que l'Algérie possède un tissu industriel et économique en mauvais état et un désinvestissement existant depuis de longues années en raison de l'absence d'investissements étrangers et du manque de flux des équipements et des machines, ainsi que des technologies nécessaires au développement économique du pays. Le directeur général de l'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex) et le représentant du ministère du Commerce,M. Zaaf, ont solennellement rappelé, hier, au cours d'une conférence de presse organisée à la Safex, que «l'objectif primordial de cette coïncidence entre l'organisation de la 42e Foire internationale d'Alger, prévue du 30 mai au 4 juin, et la tenue du premier Salon national de l'exportation du 31 mai au 3 juin, consiste à promouvoir les exportations hors hydrocarbures sachant que seulement 2% de nos exportations sont en dehors de la sphère du pétrole et du gaz». M. Zaaf estime que «la 42e FIA un évènement majeur qui draine, cette année, pas moins de 40 pays comparativement à l'année 2008 où il n'y avait que 34 pays, est une manifestation économique et commerciale très importante pour l'économie nationale. La FIA représente le baromètre du degré de développement de notre économie sachant que le secteur des services, qui enregistre une large ouverture, devient prédominant. La participation étrangère, évaluée à 40 pays, montre tout l'intérêt accordé par nos partenaires internationaux à leur coopération avec l'Algérie». Il souligne également que c'est l'image de marque de notre pays qui est valorisée, mais il faut des perspectives à long terme pour booster nos exportations hors hydrocarbures. «Les retombées positives seront perceptibles concernant le Salon national de l'exportation», a-t-il ajouté précisant que «les générations futures ont besoin d'investissements hors hydrocarbures, car nos exportations actuelles de produits ne dépassent pas 1,9 milliard de dollars et en 2008, elles n'étaient que de l'ordre de 300 millions de dollars seulement. Nos exportateurs doivent bénéficier pleinement de l'aide de l'Etat, notamment, des avantages du Fonds spécial pour la promotion des exportations accordés aux entreprises exportatrices», a-t-il déclaré. Il s'agit donc, selon le représentant de Djaaboub, de diversifier les exportations hors hydrocarbures précisant que les deux tiers des 2% (des exportations hors hydrocarbures) concernent les produits miniers bruts et les produits dérivés de la pétrochimie alors que le reste a trait aux biens industriels et aux produits agroalimentaires ! Pour sa part, Bennini dira que «pas moins de 12 hommes d'affaires internationaux ont été invités à participer au salon de l'exportation qui est un espace privilégié pour les rendez-vous d'affaires et les visites de professionnels suivant les normes internationales. Des pavillons seront réservés aux 60 exportateurs prévus alors que l'espace institutionnel accueillera les services des Douanes, les banques, etc., tandis qu'un autre espace verra la présence des auxiliaires, tels les compagnies d'assurances, les commerces… ». Il ne manquera pas de relever les carences et les insuffisances de nos capacités d'exportation hors hydrocarbures en disant que le problème de l'Algérie se situe au niveau de l'offre de produits à l'exportation alors que notre pays regorge de produits agricoles frais compétitifs très demandés sur le marché international étant donné qu'ils remplissent les normes de la qualité-prix. Mais, il reconnaît que l'Algérie possède un tissu industriel et économique en mauvais état et un désinvestissement existant depuis de longues années en raison de l'absence d'investissements étrangers et du manque de flux des équipements et des machines, ainsi que des technologies nécessaires au développement économique du pays.