Les citoyens de la commune de Tizi n'Berber, relevant administrativement de la daïra d'Aokas dans la wilaya de Béjaïa, sollicitent l'intervention des autorités locales pour l'éradication des bars clandestins qui s'installent progressivement au sein des différents villages. Ayant pris attache avec nous, des représentants d'associations, activant dans des localités enclavées de la commune, telles "Tazrourt" et "Assirem", ont mis l'accent sur les retombées négatives qui se répercutent tant sur le plan sécuritaire que sur la dignité des résidants. Un état de faits engendré par la multiplication inquiétante des débits de boissons alcoolisées et bars clandestins. Ces lieux, précise-t-on, sont généralement fréquentés, à l'insu des services de l'ordre et de ceux en charge de la réglementation des activités commerciales. Ils servent de refuge pour les jeunes désœuvrés et constituent, de ce fait, des sources d'insécurité et de danger de dégradation des mœurs chez les riverains. Plusieurs bagarres et actes de violence sont, pour rappel, enregistrés dans ces lieux. Les éléments de la gendarmerie d'Aokas ont sommé, à maintes reprises, les gérants de ces débits clandestins de cesser cesser leur activiter et de procéder à la démolition des baraques. Rappelons que les habitants de la ville voisine de Souk El-Tenine, sous l'égide de leur collectif de 15 associations, ont saisi, par écrit, les plus hautes instances de l'Etat leur demandant d'intervenir et réglementer le commerce des boissons alcoolisées dans la ville. Les citoyens de la commune de Tizi n'Berber, relevant administrativement de la daïra d'Aokas dans la wilaya de Béjaïa, sollicitent l'intervention des autorités locales pour l'éradication des bars clandestins qui s'installent progressivement au sein des différents villages. Ayant pris attache avec nous, des représentants d'associations, activant dans des localités enclavées de la commune, telles "Tazrourt" et "Assirem", ont mis l'accent sur les retombées négatives qui se répercutent tant sur le plan sécuritaire que sur la dignité des résidants. Un état de faits engendré par la multiplication inquiétante des débits de boissons alcoolisées et bars clandestins. Ces lieux, précise-t-on, sont généralement fréquentés, à l'insu des services de l'ordre et de ceux en charge de la réglementation des activités commerciales. Ils servent de refuge pour les jeunes désœuvrés et constituent, de ce fait, des sources d'insécurité et de danger de dégradation des mœurs chez les riverains. Plusieurs bagarres et actes de violence sont, pour rappel, enregistrés dans ces lieux. Les éléments de la gendarmerie d'Aokas ont sommé, à maintes reprises, les gérants de ces débits clandestins de cesser cesser leur activiter et de procéder à la démolition des baraques. Rappelons que les habitants de la ville voisine de Souk El-Tenine, sous l'égide de leur collectif de 15 associations, ont saisi, par écrit, les plus hautes instances de l'Etat leur demandant d'intervenir et réglementer le commerce des boissons alcoolisées dans la ville.