La wilaya d'Alger lance un vaste programme pour la réalisation de plusieurs importants parkings dans la capitale. Ce projet est institué dans le but de mettre fin aux parkings sauvages qui empoisonnent le quotidien des automobilistes. La wilaya d'Alger lance un vaste programme pour la réalisation de plusieurs importants parkings dans la capitale. Ce projet est institué dans le but de mettre fin aux parkings sauvages qui empoisonnent le quotidien des automobilistes. Un parking de stationnement sera réalisé, très bientôt, dans la localité de Boumâati située dans la circonscription d'El Harrach. Un avis pour l'organisation d'un concours d'architecture national et international a été lancé, dans cet objectif, par la Direction des transports de la wilaya d'Alger, afin de choisir le bureau auquel sera confié l'étude dudit projet. Ce projet, rappelons-le, a été inscrit dans les programmes de ladite direction pour l'année 2008. Des réalisations similaires sont également prévues dans différentes localités de la capitale : Hydra, El Madania, Sidi M'hamed… entrant dans le cadre de la réalisation de 6.000 nouvelles places de stationnement dans la capitale. Il est vrai qu'Alger connaît un grand problème de stationnement comme chaque grande ville d'ailleurs dans le monde, les parkings existants étant saturés. Citons à titre d'exemple celui de Tafourah, ou encore le parking Ali-Melah à la place du 1er-Mai. Il est à signaler que la capacité de stationnement dans la capitale est d'environ 5.000 places. Ces dernières années et après la mise en application, par les banques, de l'acquisition à crédit des vélhicules (crédit auto), le parc automobile de la capitale est passé à plus d'un million de voitures circulant sur les routes, en plus des voitures de passage quotidiennement. Ce déficit en places de stationnement a engendré le phénomène des parkings informels investi par les jeunes Algérois chômeurs, lesquels ont imposé leur dictat sur les automobilistes. Ces derniers n'ont pas le choix, soit ils payent le tarif fixé par ces (parkingeurs), qui peut aller jusqu'à 50DA dans certains lieux, ou il prennent le risque que l'on s'en prenne à leur voitures. Le pire c'est que les moindres espaces disponibles sont accaparés par ces jeunes "dictateurs" et de ce fait si vous devez vous déplacer et stationner en plusieurs endroits de la capitale, vous serez contraint de payer votre dîme à chaque fois : il se trouvera toujours un jeune homme pour vous rappeler à l'ordre en vous demander de mettre la main à la poche encore une fois. Le projet, mis en place par la wilaya d'Alger, ne peut donc que réjouir les automobilistes qui pourront enfin stationner leurs véhicules sans stress et surtout dans un cadre formel. Un parking de stationnement sera réalisé, très bientôt, dans la localité de Boumâati située dans la circonscription d'El Harrach. Un avis pour l'organisation d'un concours d'architecture national et international a été lancé, dans cet objectif, par la Direction des transports de la wilaya d'Alger, afin de choisir le bureau auquel sera confié l'étude dudit projet. Ce projet, rappelons-le, a été inscrit dans les programmes de ladite direction pour l'année 2008. Des réalisations similaires sont également prévues dans différentes localités de la capitale : Hydra, El Madania, Sidi M'hamed… entrant dans le cadre de la réalisation de 6.000 nouvelles places de stationnement dans la capitale. Il est vrai qu'Alger connaît un grand problème de stationnement comme chaque grande ville d'ailleurs dans le monde, les parkings existants étant saturés. Citons à titre d'exemple celui de Tafourah, ou encore le parking Ali-Melah à la place du 1er-Mai. Il est à signaler que la capacité de stationnement dans la capitale est d'environ 5.000 places. Ces dernières années et après la mise en application, par les banques, de l'acquisition à crédit des vélhicules (crédit auto), le parc automobile de la capitale est passé à plus d'un million de voitures circulant sur les routes, en plus des voitures de passage quotidiennement. Ce déficit en places de stationnement a engendré le phénomène des parkings informels investi par les jeunes Algérois chômeurs, lesquels ont imposé leur dictat sur les automobilistes. Ces derniers n'ont pas le choix, soit ils payent le tarif fixé par ces (parkingeurs), qui peut aller jusqu'à 50DA dans certains lieux, ou il prennent le risque que l'on s'en prenne à leur voitures. Le pire c'est que les moindres espaces disponibles sont accaparés par ces jeunes "dictateurs" et de ce fait si vous devez vous déplacer et stationner en plusieurs endroits de la capitale, vous serez contraint de payer votre dîme à chaque fois : il se trouvera toujours un jeune homme pour vous rappeler à l'ordre en vous demander de mettre la main à la poche encore une fois. Le projet, mis en place par la wilaya d'Alger, ne peut donc que réjouir les automobilistes qui pourront enfin stationner leurs véhicules sans stress et surtout dans un cadre formel.