L'Algérie, le Nigeria et le Niger ont signé, hier, à Abuja, un accord intergouvernemental relatif à la réalisation du gazoduc Trans-Sahara Gaz Pipeline (TSGP) devant relier le Nigeria à l'Europe, via l'Algérie et le Niger. L'accord a été signé par le ministre de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil et ses homologues nigérian, Rilwanu Luckman et nigérien, Mohamed Abdelaye. La signature de cet accord exprime, selon un communiqué rendu public, une «véritable volonté» des trois pays pour la réalisation de ce projet dont le mémorandum d'entente a été signé en 2002 entre le groupe Sonatrach et la compagnie pétrolière nigériane (NNPC). D'un montant de plus de 10 milliards de dollars, le TSGP, long de quelque 4.200 km, devrait acheminer 20 à 30 milliards de m3 de gaz naturel du Nigeria vers l'Europe via l'Algérie et le Niger à partir de 2015. Classé comme «projet prioritaire» du Nepad, le TSGP devrait augmenter l'approvisionnement de l'Europe en gaz et aussi développer les livraisons de GNL vers les Pays Bas. Plusieurs groupes énergétiques internationaux ont exprimé leur intérêt pour participer au développement de ce grand projet dont le français «Total», le russe «Gazprom» et l'italien «Eni». L'Algérie, le Nigeria et le Niger ont signé, hier, à Abuja, un accord intergouvernemental relatif à la réalisation du gazoduc Trans-Sahara Gaz Pipeline (TSGP) devant relier le Nigeria à l'Europe, via l'Algérie et le Niger. L'accord a été signé par le ministre de l'Energie et des Mines, Chakib Khelil et ses homologues nigérian, Rilwanu Luckman et nigérien, Mohamed Abdelaye. La signature de cet accord exprime, selon un communiqué rendu public, une «véritable volonté» des trois pays pour la réalisation de ce projet dont le mémorandum d'entente a été signé en 2002 entre le groupe Sonatrach et la compagnie pétrolière nigériane (NNPC). D'un montant de plus de 10 milliards de dollars, le TSGP, long de quelque 4.200 km, devrait acheminer 20 à 30 milliards de m3 de gaz naturel du Nigeria vers l'Europe via l'Algérie et le Niger à partir de 2015. Classé comme «projet prioritaire» du Nepad, le TSGP devrait augmenter l'approvisionnement de l'Europe en gaz et aussi développer les livraisons de GNL vers les Pays Bas. Plusieurs groupes énergétiques internationaux ont exprimé leur intérêt pour participer au développement de ce grand projet dont le français «Total», le russe «Gazprom» et l'italien «Eni».