Pour se faire délivrer un extrait de naissance numéro 12, le demandeur doit attendre une bonne demi journée et, parfois, notamment en période des inscriptions scolaires, ça nécessite toute une journée d'attente. Cette situation est accentuée par l'absence d'antennes administratives dans des centres urbains à forte densité démographique. Pour se faire délivrer un extrait de naissance numéro 12, le demandeur doit attendre une bonne demi journée et, parfois, notamment en période des inscriptions scolaires, ça nécessite toute une journée d'attente. Cette situation est accentuée par l'absence d'antennes administratives dans des centres urbains à forte densité démographique. Le service de l'état civil de la commune de Bordj Ménaïel, dans l'est de chef-lieu de la wilaya de Boumerdès est débordé. Ce service devient une horreur pour ceux qui ont besoin d'un document administratif. Dès les premières heures de la matinée, une longue file de citoyens des quatre coins de la localité, voire même de communes limitrophes, attend l'ouverture des guichets. Mais le pire reste à l'intérieur du service. Une fois le guichet ouvert, les citoyens s'entassent dedans comme des «sardines» en raison de l'exiguïté des lieux. Ce qui a accentué le calvaire, c'est le petit nombre de guichets qui sont au nombre de quatre destinés pour les documents de l'état civil. Ce qui ne répond pas, aux yeux des usagers, aux attentes des citoyens de la région. Et pour se faire délivrer un extrait de naissance numéro 12, le demandeur doit attendre une bonne demi journée et, parfois, notamment en période des inscriptions scolaires, ça nécessite toute une journée d'attente. Cette situation est accentuée par l'absence d'antennes administratives dans des centres urbains à forte densité démographique. Celle-ci est aggravée encore par l'affluence des citoyens qui viennent des autres localités, comme ceux des Issers, de Chabet El Ameur, et de Naciria. D'autres part, l'on peut expliquer cette affluence par le fait qu'un bon nombre de naissances ont lieu au niveau de l'hôpital de la ville de Bordj Ménaïel. Et de surcroît, le service de l'état civil délivre des centaines d'extraits d'actes de naissances N° 12. Le service de l'état civil de la commune de Bordj Ménaïel, dans l'est de chef-lieu de la wilaya de Boumerdès est débordé. Ce service devient une horreur pour ceux qui ont besoin d'un document administratif. Dès les premières heures de la matinée, une longue file de citoyens des quatre coins de la localité, voire même de communes limitrophes, attend l'ouverture des guichets. Mais le pire reste à l'intérieur du service. Une fois le guichet ouvert, les citoyens s'entassent dedans comme des «sardines» en raison de l'exiguïté des lieux. Ce qui a accentué le calvaire, c'est le petit nombre de guichets qui sont au nombre de quatre destinés pour les documents de l'état civil. Ce qui ne répond pas, aux yeux des usagers, aux attentes des citoyens de la région. Et pour se faire délivrer un extrait de naissance numéro 12, le demandeur doit attendre une bonne demi journée et, parfois, notamment en période des inscriptions scolaires, ça nécessite toute une journée d'attente. Cette situation est accentuée par l'absence d'antennes administratives dans des centres urbains à forte densité démographique. Celle-ci est aggravée encore par l'affluence des citoyens qui viennent des autres localités, comme ceux des Issers, de Chabet El Ameur, et de Naciria. D'autres part, l'on peut expliquer cette affluence par le fait qu'un bon nombre de naissances ont lieu au niveau de l'hôpital de la ville de Bordj Ménaïel. Et de surcroît, le service de l'état civil délivre des centaines d'extraits d'actes de naissances N° 12.