La mission des APC est premièrement et avant toute autre considération la mise en place des commodités utiles et nécessaires à l'amélioration du cadre de vie du citoyen, à l'instar de l'éclairage public ou des réseaux d'assainissement des eaux usées. Certains élus, aux dires de leurs administrés, ne semblent toutefois pas être à la hauteur de leur mission et sont dénoncés dans la commune des Eucalyptus. La mission des APC est premièrement et avant toute autre considération la mise en place des commodités utiles et nécessaires à l'amélioration du cadre de vie du citoyen, à l'instar de l'éclairage public ou des réseaux d'assainissement des eaux usées. Certains élus, aux dires de leurs administrés, ne semblent toutefois pas être à la hauteur de leur mission et sont dénoncés dans la commune des Eucalyptus. L'assemblée populaire communale des Eucalyptus traverse depuis déjà quelques temps une période de turbulences avec ses administrés. Ces derniers réclament, légitimement, certaines commodités essentielles, depuis plusieurs mois déjà, sans que les choses n'évoluent toutefois d'un iota, bien au contraire la situation se dégrade chaque jour un peu plus, cela selon plusieurs citoyens qui dénoncent cette situation. Pourtant, nous l'avions nous mêmes rapporté sur ces colonnes à plusieurs reprises, les membres de l'assemblée s'étaient bel et bien engagés, publiquement, à améliorer le cadre de vie des citoyens, et ce concernant tous les secteurs particulièrement les plus sensibles à l'instar des réseaux d'assainissement ou de l'éclairage public. Ce que réclament aujourd'hui les citoyens en priorité, ce sont des réseaux d'assainissement des eaux usées et l'éclairage public de même que l'aménagement du réseau routier. Certains citoyens excédés par cette longue et vaine attente disent : «Si l'assemblée élue ne peut même pas concrétiser ces commodités primordiales et essentiels à un cadre de vie décent, nous ne voyons pas son utilité et nous restons persuadés que cela devrait être une priorité pour chaque APC». Cette situation lamentable se retrouve dans plusieurs quartiers de la commune et perdure depuis des dizaines d'années enpoisonnant ainsi le quotidien des résidants de cette localité située au sud-est d'Alger. Néanmoins l'une des cités à accuser le plus de manques reste, sans conteste, la cité Ouled El Hadj. La cité en question, aménagée à la fin des années 90, abrite aujourd'hui des centaines de familles. La rue (ou plutôt piste) qui la relie à la ville la plus proche : Cherarba, est d'une longueur de plus de trois kilomètres. Depuis que la cité Ouled El Hadj a vu le jour, cette rue n'a jamais connu le moindre aménagement, elle représente un véritable cauchemar pour les écoliers contraints de l'emprunter en hiver. S'agissant de l'absence du réseau d'assainissement, l'air ambiant dans cette cité est carrément irrespirable. Des relents nauséabonds et pestilentiels se dégagent des lieux. L'éclairage public manque cruellement, aucun poteau d'éclairage public n'existe dans la zone, et il est vraiment dangereux de se risquer à l'extérieur à la nuit tombée. Nos interlocuteurs affirment qu'ils ont, à maintes reprises, sollicité les responsables communaux leur demandant d'apporter les solutions qui pourraient mettre fin à leur calvaire quotidien, mais en vain... Lesdits responsables en retour se contentent de leur demander de patienter, et cela dure depuis des lustres. Ayant épuisé tous les recours, les résidants de la cité Ouled El Hadj montent au créneau et dénoncent l'attitude, qu'ils jugent "inacceptable", de leurs élus. Ils désavouent ces derniers et lancent un ultime appel auquel se joignent plusieurs résidants d'autres quartiers des Eucalyptus pour exiger que l'on se penche sur leur situation et leur permettre enfin de connaitre une vie un tant soit peu décente. L'assemblée populaire communale des Eucalyptus traverse depuis déjà quelques temps une période de turbulences avec ses administrés. Ces derniers réclament, légitimement, certaines commodités essentielles, depuis plusieurs mois déjà, sans que les choses n'évoluent toutefois d'un iota, bien au contraire la situation se dégrade chaque jour un peu plus, cela selon plusieurs citoyens qui dénoncent cette situation. Pourtant, nous l'avions nous mêmes rapporté sur ces colonnes à plusieurs reprises, les membres de l'assemblée s'étaient bel et bien engagés, publiquement, à améliorer le cadre de vie des citoyens, et ce concernant tous les secteurs particulièrement les plus sensibles à l'instar des réseaux d'assainissement ou de l'éclairage public. Ce que réclament aujourd'hui les citoyens en priorité, ce sont des réseaux d'assainissement des eaux usées et l'éclairage public de même que l'aménagement du réseau routier. Certains citoyens excédés par cette longue et vaine attente disent : «Si l'assemblée élue ne peut même pas concrétiser ces commodités primordiales et essentiels à un cadre de vie décent, nous ne voyons pas son utilité et nous restons persuadés que cela devrait être une priorité pour chaque APC». Cette situation lamentable se retrouve dans plusieurs quartiers de la commune et perdure depuis des dizaines d'années enpoisonnant ainsi le quotidien des résidants de cette localité située au sud-est d'Alger. Néanmoins l'une des cités à accuser le plus de manques reste, sans conteste, la cité Ouled El Hadj. La cité en question, aménagée à la fin des années 90, abrite aujourd'hui des centaines de familles. La rue (ou plutôt piste) qui la relie à la ville la plus proche : Cherarba, est d'une longueur de plus de trois kilomètres. Depuis que la cité Ouled El Hadj a vu le jour, cette rue n'a jamais connu le moindre aménagement, elle représente un véritable cauchemar pour les écoliers contraints de l'emprunter en hiver. S'agissant de l'absence du réseau d'assainissement, l'air ambiant dans cette cité est carrément irrespirable. Des relents nauséabonds et pestilentiels se dégagent des lieux. L'éclairage public manque cruellement, aucun poteau d'éclairage public n'existe dans la zone, et il est vraiment dangereux de se risquer à l'extérieur à la nuit tombée. Nos interlocuteurs affirment qu'ils ont, à maintes reprises, sollicité les responsables communaux leur demandant d'apporter les solutions qui pourraient mettre fin à leur calvaire quotidien, mais en vain... Lesdits responsables en retour se contentent de leur demander de patienter, et cela dure depuis des lustres. Ayant épuisé tous les recours, les résidants de la cité Ouled El Hadj montent au créneau et dénoncent l'attitude, qu'ils jugent "inacceptable", de leurs élus. Ils désavouent ces derniers et lancent un ultime appel auquel se joignent plusieurs résidants d'autres quartiers des Eucalyptus pour exiger que l'on se penche sur leur situation et leur permettre enfin de connaitre une vie un tant soit peu décente.