A l'inverse de la rentrée politique qui s'est faite en catimini, la rentrée scolaire, elle, sera des plus animées. Ce n'est pas tant le paysage bariolé de couleurs, tablier des élèves, choisie par le ministère de l'Education nationale qui en sera la cause, mais les appréhensions d'une paralysie du secteur en raison de divers facteurs. Il est des menaces qui sont plus ou moins gérables par le dialogue constructif et serein, à l'exemple du conflit entre les enseignants, tous paliers confondus, auquel on ajoute les contractuels et le ministère de tutelle. Les points de revendications sont cernés, sériés et il ne manque qu'une bonne volonté des deux parties pour le régler définitivement pour que l'on n'assiste plus à ces grèves récurrentes et déclenchées de manières intempestives et à tout bout de champ par des syndicats de la corporation, las d'être abreuvés de promesses rarement tenues par la tutelle. Il y aura aussi, le chamboulement né du nouveau week-end adopté par le gouvernement depuis le 14 août dernier qui ne manquera pas d'avoir un effet certain sur le déroulement de l'année scolaire. Après des hésitations et un flottement qui s'est étalé sur les premières semaines après la décision du gouvernement, le ministère de l'Education nationale tâtonne encore pour trouver la juste voie à emprunter pour arriver à bon port, c'est-à-dire jusqu'à la fin de l'année scolaire, rallongée, elle, de quelques semaines par rapport à l'année dernière. Il reste que ces problèmes sectoriels et organisationnels, que vivra, c'est dans l'ordre des choses pourrait-on dire, le secteur de l'Education, apparaîtront bien légers par rapport à celui que d'aucuns redoutent, gouvernement, enseignants et parents d'élèves. Le spectre du virus A/H1N1 ou communément appelé grippe porcine, s'est invité sans crier gare dans le secteur de l'Education nationale. Que faudrait-il faire si la pandémie, qui s'est propagée à travers le monde, donnant des sueurs froide à tout un chacun, devait s'accélerer au début de l'automne comme le redoutent les experts de l'OMS (Organisation mondiale de la santé) et qui coïncide justement avec la rentrée des classes ? Dans ce cas extrême, le gouvernement prévoit la fermeture des établissements scolaires à travers tout le territoire national. En guise de palliatif, des cours seront retransmis par la Télévision et la Radio nationales pour les élèves des classes d'examen. Pour les autres potaches, les responsables du secteur semblent désarmés. Aucune initiative ou mesure alternative, si elle existe, n'est portée à la connaissance de la population. Dures, dures seront les premières semaines de cette rentrée scolaire, décidément pas comme les autres. Les assurances que ne cessent de donner les responsables de l'Education nationale quant aux «bonnes conditions réunies» pour une rentrée scolaire tout à fait sereine, risquent d'être contredites par la réalité du terrain. Espérons tout de même que ces responsables sont dans le vrai et souhaitons une bonne rentrée scolaire à tous les élèves et enseignants qui déploieront des trésors de volonté pour assurer aux potaches le transfert de savoir qu'ils renferment. A l'inverse de la rentrée politique qui s'est faite en catimini, la rentrée scolaire, elle, sera des plus animées. Ce n'est pas tant le paysage bariolé de couleurs, tablier des élèves, choisie par le ministère de l'Education nationale qui en sera la cause, mais les appréhensions d'une paralysie du secteur en raison de divers facteurs. Il est des menaces qui sont plus ou moins gérables par le dialogue constructif et serein, à l'exemple du conflit entre les enseignants, tous paliers confondus, auquel on ajoute les contractuels et le ministère de tutelle. Les points de revendications sont cernés, sériés et il ne manque qu'une bonne volonté des deux parties pour le régler définitivement pour que l'on n'assiste plus à ces grèves récurrentes et déclenchées de manières intempestives et à tout bout de champ par des syndicats de la corporation, las d'être abreuvés de promesses rarement tenues par la tutelle. Il y aura aussi, le chamboulement né du nouveau week-end adopté par le gouvernement depuis le 14 août dernier qui ne manquera pas d'avoir un effet certain sur le déroulement de l'année scolaire. Après des hésitations et un flottement qui s'est étalé sur les premières semaines après la décision du gouvernement, le ministère de l'Education nationale tâtonne encore pour trouver la juste voie à emprunter pour arriver à bon port, c'est-à-dire jusqu'à la fin de l'année scolaire, rallongée, elle, de quelques semaines par rapport à l'année dernière. Il reste que ces problèmes sectoriels et organisationnels, que vivra, c'est dans l'ordre des choses pourrait-on dire, le secteur de l'Education, apparaîtront bien légers par rapport à celui que d'aucuns redoutent, gouvernement, enseignants et parents d'élèves. Le spectre du virus A/H1N1 ou communément appelé grippe porcine, s'est invité sans crier gare dans le secteur de l'Education nationale. Que faudrait-il faire si la pandémie, qui s'est propagée à travers le monde, donnant des sueurs froide à tout un chacun, devait s'accélerer au début de l'automne comme le redoutent les experts de l'OMS (Organisation mondiale de la santé) et qui coïncide justement avec la rentrée des classes ? Dans ce cas extrême, le gouvernement prévoit la fermeture des établissements scolaires à travers tout le territoire national. En guise de palliatif, des cours seront retransmis par la Télévision et la Radio nationales pour les élèves des classes d'examen. Pour les autres potaches, les responsables du secteur semblent désarmés. Aucune initiative ou mesure alternative, si elle existe, n'est portée à la connaissance de la population. Dures, dures seront les premières semaines de cette rentrée scolaire, décidément pas comme les autres. Les assurances que ne cessent de donner les responsables de l'Education nationale quant aux «bonnes conditions réunies» pour une rentrée scolaire tout à fait sereine, risquent d'être contredites par la réalité du terrain. Espérons tout de même que ces responsables sont dans le vrai et souhaitons une bonne rentrée scolaire à tous les élèves et enseignants qui déploieront des trésors de volonté pour assurer aux potaches le transfert de savoir qu'ils renferment.