La ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi, a exposé avant-hier à Tlemcen les grandes lignes du programme de la manifestation «Tlemcen, capitale de la culture islamique» prévue en 2011. Plusieurs opérations sont annoncées pour la restauration de tous les sites et monuments historiques classés patrimoine national, notamment les mosquées, le palais royal du Mechouar et le complexe religieux de Sidi Boumédiène, outre l'initiation d'un plan de restauration et de préservation pour la vieille Médina, a indiqué la ministre lors d'une visite de travail et d'inspection effectuée dans la wilaya de Tlemcen. Mme Toumi a également cité les infrastructures en cours de réalisation tels les complexes culturels dont les travaux ont atteint un taux d'avancement de 50 % et le Centre d'études andalouses en voie de lancement. «La mise à niveau de la ville de Tlemcen au plan infrastructurel doit permettre d'assurer les meilleures conditions d'accueil aux représentants de 49 Etats musulmans attendus en 2011, et ce, en réponse au cahier des charges que l'Algérie s'est engagée à respecter devant l'Organisation islamique pour l'éducation, les sciences et la culture (ISESCO) pour abriter l'important événement », a-t-elle souligné. Abordant les besoins de Tlemcen en infrastructures culturelles, elle a annoncé la création, en prévision de la manifestation «Tlemcen, capitale de la culture islamique», de quatre musées dédiés à l'art et à l'histoire, à la numismatique, aux manuscrits, aux arts traditionnels et d'un musée des cultures populaires prévu à Béni S'nous. S'agissant du Centre des études andalouses, la ministre de la Culture a affirmé que les travaux seront lancés avant la fin octobre. Mme Khalida Toumi a en outre relaté les différentes étapes entreprises par son département pour ficeler le dossier et le défendre devant l'ISESCO depuis 2004 et d'insister sur l'envergure de cette manifestation internationale "qui donnera au monde une image réelle de l'Algérie, celle d'un pays en plein essor sur tous les plans". Abordant le programme d'activités, qui s'annonce "riche et varié", la ministre a estimé "qu'il peut être encore enrichi par toutes les compétences nationales où qu'elles se trouvent". Dans ce cadre, elle a annoncé l'organisation à Tlemcen de 10 festivals nationaux institutionnalisés, d'un autre d'envergure internationale consacré à la calligraphie et de deux autres dédiés aux décors de l'art musulman et au cinéma. La manifestation comportera aussi 14 colloques et séminaires qui seront axés entre autres sur l'histoire, le patrimoine et l'architecture de Tlemcen, avec 15 expositions sur le patrimoine matériel et immatériel, l'art et les manuscrits. L'opportunité de l'événement prévu en 2011 sera également saisie pour l'édition et la réédition de 500 publications dont le contenu s'articule autour de Tlemcen. La ministre de la Culture qui a visité le mausolée de Sidi Boumédiene, le complexe culturel d'Imama en cours de construction et le deuxième pôle universitaire de Mansourah, a déclaré que "maintenant nous savons ce que nous avons et ce qui nous manque, et c'est sur cette base que nous pouvons élaborer notre programme de travail pour l'échéance 2011 et relever tous les défis qui s'imposent». La ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi, a exposé avant-hier à Tlemcen les grandes lignes du programme de la manifestation «Tlemcen, capitale de la culture islamique» prévue en 2011. Plusieurs opérations sont annoncées pour la restauration de tous les sites et monuments historiques classés patrimoine national, notamment les mosquées, le palais royal du Mechouar et le complexe religieux de Sidi Boumédiène, outre l'initiation d'un plan de restauration et de préservation pour la vieille Médina, a indiqué la ministre lors d'une visite de travail et d'inspection effectuée dans la wilaya de Tlemcen. Mme Toumi a également cité les infrastructures en cours de réalisation tels les complexes culturels dont les travaux ont atteint un taux d'avancement de 50 % et le Centre d'études andalouses en voie de lancement. «La mise à niveau de la ville de Tlemcen au plan infrastructurel doit permettre d'assurer les meilleures conditions d'accueil aux représentants de 49 Etats musulmans attendus en 2011, et ce, en réponse au cahier des charges que l'Algérie s'est engagée à respecter devant l'Organisation islamique pour l'éducation, les sciences et la culture (ISESCO) pour abriter l'important événement », a-t-elle souligné. Abordant les besoins de Tlemcen en infrastructures culturelles, elle a annoncé la création, en prévision de la manifestation «Tlemcen, capitale de la culture islamique», de quatre musées dédiés à l'art et à l'histoire, à la numismatique, aux manuscrits, aux arts traditionnels et d'un musée des cultures populaires prévu à Béni S'nous. S'agissant du Centre des études andalouses, la ministre de la Culture a affirmé que les travaux seront lancés avant la fin octobre. Mme Khalida Toumi a en outre relaté les différentes étapes entreprises par son département pour ficeler le dossier et le défendre devant l'ISESCO depuis 2004 et d'insister sur l'envergure de cette manifestation internationale "qui donnera au monde une image réelle de l'Algérie, celle d'un pays en plein essor sur tous les plans". Abordant le programme d'activités, qui s'annonce "riche et varié", la ministre a estimé "qu'il peut être encore enrichi par toutes les compétences nationales où qu'elles se trouvent". Dans ce cadre, elle a annoncé l'organisation à Tlemcen de 10 festivals nationaux institutionnalisés, d'un autre d'envergure internationale consacré à la calligraphie et de deux autres dédiés aux décors de l'art musulman et au cinéma. La manifestation comportera aussi 14 colloques et séminaires qui seront axés entre autres sur l'histoire, le patrimoine et l'architecture de Tlemcen, avec 15 expositions sur le patrimoine matériel et immatériel, l'art et les manuscrits. L'opportunité de l'événement prévu en 2011 sera également saisie pour l'édition et la réédition de 500 publications dont le contenu s'articule autour de Tlemcen. La ministre de la Culture qui a visité le mausolée de Sidi Boumédiene, le complexe culturel d'Imama en cours de construction et le deuxième pôle universitaire de Mansourah, a déclaré que "maintenant nous savons ce que nous avons et ce qui nous manque, et c'est sur cette base que nous pouvons élaborer notre programme de travail pour l'échéance 2011 et relever tous les défis qui s'imposent».