Le rôle de l'Algérie dans la lutte contre le terrorisme dans la région du Maghreb et du Sahel a été salué par la sous-secrétaire adjointe américaine à la Défense pour l'Afrique, Mme Vicki Huddleston. Le rôle de l'Algérie dans la lutte contre le terrorisme dans la région du Maghreb et du Sahel a été salué par la sous-secrétaire adjointe américaine à la Défense pour l'Afrique, Mme Vicki Huddleston. «Nous apprécions le rôle joué par l'Algérie dans la lutte contre le terrorisme dans la région du Maghreb et dans la région subsaharienne», a déclaré la responsable américaine lors d'une conférence de presse animée hier à l'ambassade des Etats-Unis à Alger. Mme Huddleston a indiqué que lors des entretiens qu'elle a eus avec les responsables algériens, les deux parties ont souligné la nécessité de poursuivre la «bonne coopération» qui existe entre l'Algérie et les Etats-Unis, notamment dans le domaine de la lutte antiterroriste et la sécurité maritime en Méditerranée. Elle a rappelé, dans ce contexte, l'accostage au port d'Alger début octobre du destroyer lance-missiles américain "USS Arleigh Burke DDG-51". Une escale durant laquelle le navire américain a effectué un exercice naval baptisé "Passex" avec un navire des Forces navales algériennes. La situation politique dans certains pays africains, notamment en Guinée, ainsi que la coopération américano-africaine en matière de lutte contre le terrorisme à travers l'Union africaine et certaines organisations régionales ont été également abordées lors de ces entretiens, a-t-elle ajouté. Evoquant le Commandement militaire américain pour l'Afrique (Africom), l'intervenante a souligné qu'il «n'y avait aucune intention pour le moment de localiser ce commandement en Afrique». Mme Huddleston a toutefois mis en exergue le rôle que pourrait jouer l'Africom dans le renforcement des capacités militaires des pays africains dans leurs missions d' «assurer la paix et la stabilité» en les aidant à «lutter contre les activités illégales comme le terrorisme, le trafic de drogues et le trafic d'armes». «Nous voulons bâtir une coopération militaire solide avec les pays africains, car c'est à partir d'un climat de paix et de sécurité qu'on peut amorcer le développement», a-t-elle relevé. Créé en octobre 2007, l'Africom dont le QG est basé actuellement à Stuttgart en Allemagne, est destiné à coordonner toutes les activités militaires américaines en Afrique. «Nous apprécions le rôle joué par l'Algérie dans la lutte contre le terrorisme dans la région du Maghreb et dans la région subsaharienne», a déclaré la responsable américaine lors d'une conférence de presse animée hier à l'ambassade des Etats-Unis à Alger. Mme Huddleston a indiqué que lors des entretiens qu'elle a eus avec les responsables algériens, les deux parties ont souligné la nécessité de poursuivre la «bonne coopération» qui existe entre l'Algérie et les Etats-Unis, notamment dans le domaine de la lutte antiterroriste et la sécurité maritime en Méditerranée. Elle a rappelé, dans ce contexte, l'accostage au port d'Alger début octobre du destroyer lance-missiles américain "USS Arleigh Burke DDG-51". Une escale durant laquelle le navire américain a effectué un exercice naval baptisé "Passex" avec un navire des Forces navales algériennes. La situation politique dans certains pays africains, notamment en Guinée, ainsi que la coopération américano-africaine en matière de lutte contre le terrorisme à travers l'Union africaine et certaines organisations régionales ont été également abordées lors de ces entretiens, a-t-elle ajouté. Evoquant le Commandement militaire américain pour l'Afrique (Africom), l'intervenante a souligné qu'il «n'y avait aucune intention pour le moment de localiser ce commandement en Afrique». Mme Huddleston a toutefois mis en exergue le rôle que pourrait jouer l'Africom dans le renforcement des capacités militaires des pays africains dans leurs missions d' «assurer la paix et la stabilité» en les aidant à «lutter contre les activités illégales comme le terrorisme, le trafic de drogues et le trafic d'armes». «Nous voulons bâtir une coopération militaire solide avec les pays africains, car c'est à partir d'un climat de paix et de sécurité qu'on peut amorcer le développement», a-t-elle relevé. Créé en octobre 2007, l'Africom dont le QG est basé actuellement à Stuttgart en Allemagne, est destiné à coordonner toutes les activités militaires américaines en Afrique.