Ils sont quatre syndicats de l'Intersyndicale à avoir confirmé jusqu'à présent leur participation à la grève ouverte, qui débutera à compter du 8 novembre, soit à partir de dimanche prochain. Ils sont quatre syndicats de l'Intersyndicale à avoir confirmé jusqu'à présent leur participation à la grève ouverte, qui débutera à compter du 8 novembre, soit à partir de dimanche prochain. Le Conseil national autonome des professeurs et des enseignants du secondaire et technique (Cnapest) et le Syndicat autonome des travailleurs de l'enseignement (Satef) vont entamer leur grève le 8 novembre courant, alors que le Conseil des lycées d'Alger (CLA) et le Syndicat national autonome du personnel de l'administration public (Snapap) rejoindront le mouvement dès le lendemain. Cet écart d'une journée pour le début de cette grève ne reflète, selon le porte-parole du CLA, Idir Achour, aucune divergence de décision au sein de l'Intersyndicale, «c'est le résultat d'un petit problème technique relevant du Conseil national de ces syndicats respectifs. Or, le syndicat est tenu de respecter la loi, avant de passer à la grève». Il ajoute que même l'Union nationale du personnel de l'éducation et de la formation de même que le Syndicat national autonome des professionnels de l'enseignement secondaire et technique (Snapest) comptent rejoindre ce mouvement. Un bon présage pour Idir Achour, puisque cela, estime-t-il «va permettre aux fonctionnaires de faire accepter leurs revendications et par ricochet de profiter d'une évolution dans le pouvoir d'achat». Faut-il rappeler que l'Intersyndicale a prévu, par ailleurs, un mouvement à la veille de la tenue de la tripartite pour inciter les parties prenant part à la prise de décisions à accepter leurs revendications, ayant trait notamment à la revalorisation des salaires. Selon une étude comparative avec les pays du Maghreb le SNMG devrait être porté à 38.000 DA pour permettre au citoyen de vivre selon le niveau retenu par les paramètres internationaux. Un rassemblement devant le Palais du gouvernement est par ailleurs attendu le jour même de la tenue de la tripartite, ont antérieurement fait savoir les membres de l'Intersyndicale. Le Conseil national autonome des professeurs et des enseignants du secondaire et technique (Cnapest) et le Syndicat autonome des travailleurs de l'enseignement (Satef) vont entamer leur grève le 8 novembre courant, alors que le Conseil des lycées d'Alger (CLA) et le Syndicat national autonome du personnel de l'administration public (Snapap) rejoindront le mouvement dès le lendemain. Cet écart d'une journée pour le début de cette grève ne reflète, selon le porte-parole du CLA, Idir Achour, aucune divergence de décision au sein de l'Intersyndicale, «c'est le résultat d'un petit problème technique relevant du Conseil national de ces syndicats respectifs. Or, le syndicat est tenu de respecter la loi, avant de passer à la grève». Il ajoute que même l'Union nationale du personnel de l'éducation et de la formation de même que le Syndicat national autonome des professionnels de l'enseignement secondaire et technique (Snapest) comptent rejoindre ce mouvement. Un bon présage pour Idir Achour, puisque cela, estime-t-il «va permettre aux fonctionnaires de faire accepter leurs revendications et par ricochet de profiter d'une évolution dans le pouvoir d'achat». Faut-il rappeler que l'Intersyndicale a prévu, par ailleurs, un mouvement à la veille de la tenue de la tripartite pour inciter les parties prenant part à la prise de décisions à accepter leurs revendications, ayant trait notamment à la revalorisation des salaires. Selon une étude comparative avec les pays du Maghreb le SNMG devrait être porté à 38.000 DA pour permettre au citoyen de vivre selon le niveau retenu par les paramètres internationaux. Un rassemblement devant le Palais du gouvernement est par ailleurs attendu le jour même de la tenue de la tripartite, ont antérieurement fait savoir les membres de l'Intersyndicale.