Une virée à travers les marchés nous a permis de découvrir que les prix sont réellement hors de portée des bourses modestes. Il semblerait que tous les vendeurs, maquignons, fellahs, agriculteurs se sont donné le mot pour fixer leurs prix. Une virée à travers les marchés nous a permis de découvrir que les prix sont réellement hors de portée des bourses modestes. Il semblerait que tous les vendeurs, maquignons, fellahs, agriculteurs se sont donné le mot pour fixer leurs prix. L'Aïd El Adha arrive et les marchés de la wilaya connaissent déjà une flambée des prix. Des scènes de troupeaux de moutons sont visibles tout le long de la RN 4, depuis la sortie d'Aïn-Defla jusqu'à Bou-Medfa en passant par Hoceinia et Oued Zeboudj. Les habitants de ces régions gardent leur cheptel au bord de la route en attendant d'éventuels acheteurs venus des grandes villes. Une virée à travers les marchés nous a permis de découvrir que les prix sont réellement hors de portée des bourses modestes. A Khemis Miliana au grand marché du bétail, tous les maquignons se rencontrent pour fixer les prix. Vous avez le choix entre le mouton de 16 kg à 18.000 DA et d'un autre côté une autre bête plus grosse à 30.000 DA. Plus loin à Bir Ould Khalifa, l'animation qui règne a commencé tôt le matin et les paysans venus des différents douars ont apporté leur cheptel vantant leur marchandises pour mieux attirer les citadins encore indécis. Mais la mercuriale ne change guère et on dirait que tous les vendeurs, maquignons, fellahs, agriculteurs se sont donné le mot pour fixer les prix. Ici aussi, un mouton moyen est vendu à 18000 DA. A Djendel, on vous offre des moutons à peine engraissé à partir de 26.000 DA et un bélier de taille moyenne à 19.000 DA. A Djelida, le marché reçoit beaucoup de monde et les acheteurs venus d'Alger ou de Blida achètent plusieurs unités à la fois pour préparer le retour de leurs proches qui vont accomplir le pèlerinage aux Lieux Saints de l'Islam. Les prix n'ont pas changé et les vendeurs imperturbables réalisent de bonnes affaires. Questionné sur la flambée des prix, un éleveur, si Smaïne demeurant à Oued Chorfa, nous explique : "Les aliments coûtent trop chers et nous sommes dans l'obligation d'acheter les bottes de foin à 700 et 900 DA l'unité. Pour l'engraissement du bétail, les aliments de bétail et particulièrement l'orge ont atteint des prix inabordables. Les intermédiaires et les spéculateurs n'hésitent pas à couler l'orge à 20.000 DA le quintal et parfois plus". En ville, le mouton devra être présent même si la bourse est insuffisante car on doit épater les voisins et les enfants. La venue du chef de famille ramenant un mouton superbe dont les cornes feront pâlir les plus envieux. Les bouchers eux aussi, ont trouvéfixer la bonne affaire : stocker à l'avance les achats dans les frigos pour les écouler au prix fort. L'Aïd El Adha arrive et les marchés de la wilaya connaissent déjà une flambée des prix. Des scènes de troupeaux de moutons sont visibles tout le long de la RN 4, depuis la sortie d'Aïn-Defla jusqu'à Bou-Medfa en passant par Hoceinia et Oued Zeboudj. Les habitants de ces régions gardent leur cheptel au bord de la route en attendant d'éventuels acheteurs venus des grandes villes. Une virée à travers les marchés nous a permis de découvrir que les prix sont réellement hors de portée des bourses modestes. A Khemis Miliana au grand marché du bétail, tous les maquignons se rencontrent pour fixer les prix. Vous avez le choix entre le mouton de 16 kg à 18.000 DA et d'un autre côté une autre bête plus grosse à 30.000 DA. Plus loin à Bir Ould Khalifa, l'animation qui règne a commencé tôt le matin et les paysans venus des différents douars ont apporté leur cheptel vantant leur marchandises pour mieux attirer les citadins encore indécis. Mais la mercuriale ne change guère et on dirait que tous les vendeurs, maquignons, fellahs, agriculteurs se sont donné le mot pour fixer les prix. Ici aussi, un mouton moyen est vendu à 18000 DA. A Djendel, on vous offre des moutons à peine engraissé à partir de 26.000 DA et un bélier de taille moyenne à 19.000 DA. A Djelida, le marché reçoit beaucoup de monde et les acheteurs venus d'Alger ou de Blida achètent plusieurs unités à la fois pour préparer le retour de leurs proches qui vont accomplir le pèlerinage aux Lieux Saints de l'Islam. Les prix n'ont pas changé et les vendeurs imperturbables réalisent de bonnes affaires. Questionné sur la flambée des prix, un éleveur, si Smaïne demeurant à Oued Chorfa, nous explique : "Les aliments coûtent trop chers et nous sommes dans l'obligation d'acheter les bottes de foin à 700 et 900 DA l'unité. Pour l'engraissement du bétail, les aliments de bétail et particulièrement l'orge ont atteint des prix inabordables. Les intermédiaires et les spéculateurs n'hésitent pas à couler l'orge à 20.000 DA le quintal et parfois plus". En ville, le mouton devra être présent même si la bourse est insuffisante car on doit épater les voisins et les enfants. La venue du chef de famille ramenant un mouton superbe dont les cornes feront pâlir les plus envieux. Les bouchers eux aussi, ont trouvéfixer la bonne affaire : stocker à l'avance les achats dans les frigos pour les écouler au prix fort.