Le ministre des Finances a fait montre de sa satisfaction après l'adoption, hier, par l'APN du projet de loi des finances 2010. Le ministre des Finances a fait montre de sa satisfaction après l'adoption, hier, par l'APN du projet de loi des finances 2010. «Ce projet de loi conforte le programme de développement engagé par l' l'Etat» a indiqué Karim Djoudi dans une déclaration à la presse en marge de la séance plénière avant d'ajouter que plusieurs dispositions de ce texte viennent en appoint pour conforter le soutien des prix. Il en est de même, a estimé le premier argentier du pays, pour ce qui est du soutien aux multiples dispositifs tendant à impulser la création d'emplois. A ce titre, il a déclaré que l'Etat compte créer dans le courant de l'année 2010 quelque 600.000 emplois. A travers ce projet de loi, assurément, l'Etat compte ainsi poursuivre son effort de renforcement de sa politique sociale, la lutte contre le chômage et la réalisation d'une croissance plus forte et ce, en dépit de la chute des recettes pétrolières, comparativement aux années précédentes. Karim Djoudi a aussi évoqué les mesures tendant à réduire la pression fiscale, poursuivre la lutte contre la fraude et l'évasion fiscale mais aussi à renforcer la volonté de lutter contre le marché informel. Revenant sur les conséquences de la crise financière et économique qui a secoué le monde entier Karim Djoudi a rappelé les mesures prises par l'Algérie qui ont permis «de réduire l'impact de cette crise» et mis l'Algérie à l'abri des secousses qui ont frappé l'économie de plusieurs pays. Dans ce contexte, il dira que «nous avons construit une importante épargne budgétaire». Il ne s'est pas aussi empêché de rappeler que l'Algérie a fait «le choix de financer son programme de développement en s'appuyant exclusivement sur la monnaie nationale et non en recourant aux lignes de crédit extérieur». Et pour souligner l'efficience de cette démarche, il dira que le gouvernement a réussi à réduire le volume de la dette interne, la ramenant à 750 milliards de dinars en juin 2009 alors qu'elle était à la même période de l'année 2008 de l'ordre de 1.100 milliards de dinars. Ainsi donc, l'APN a adopté à la majorité ce texte de loi. Les députés du parti des travailleurs et ceux du FNA se sont abstenus de voter alors que leurs pairs du RCD ont, comme d'habitude, refusé de cautionner ce projet de loi. La plénière a rejeté tous les amendements proposés par les députés du parti des travailleurs. Le PT, qui a proposé pas moins de 51 amendements, n'a pu trouver le moindre soutien des autres groupes parlementaires. La secrétaire générale du parti, Louisa Hanoune, qui a elle-même fait quelques propositions d'amendements, n'a pas manqué de critiquer cette position exprimée par l'écrasante majorité des députés de l'APN en indiquant que l'assemblée n'est pas à la hauteur puisque elle n'apporte aucun soutien concret à la démarche de l'Etat tendant à revoir certaines politiques économiques initiées jusque là. A l'issue du vote, le président de l'APN , Abdelaziz Ziari, a indiqué que « cette caution est à même de consolider la politique d'investissement, la réalisation de l'ambitieux programme de développement et l'amélioration du pouvoir d'achat des citoyens». «Ce projet de loi conforte le programme de développement engagé par l' l'Etat» a indiqué Karim Djoudi dans une déclaration à la presse en marge de la séance plénière avant d'ajouter que plusieurs dispositions de ce texte viennent en appoint pour conforter le soutien des prix. Il en est de même, a estimé le premier argentier du pays, pour ce qui est du soutien aux multiples dispositifs tendant à impulser la création d'emplois. A ce titre, il a déclaré que l'Etat compte créer dans le courant de l'année 2010 quelque 600.000 emplois. A travers ce projet de loi, assurément, l'Etat compte ainsi poursuivre son effort de renforcement de sa politique sociale, la lutte contre le chômage et la réalisation d'une croissance plus forte et ce, en dépit de la chute des recettes pétrolières, comparativement aux années précédentes. Karim Djoudi a aussi évoqué les mesures tendant à réduire la pression fiscale, poursuivre la lutte contre la fraude et l'évasion fiscale mais aussi à renforcer la volonté de lutter contre le marché informel. Revenant sur les conséquences de la crise financière et économique qui a secoué le monde entier Karim Djoudi a rappelé les mesures prises par l'Algérie qui ont permis «de réduire l'impact de cette crise» et mis l'Algérie à l'abri des secousses qui ont frappé l'économie de plusieurs pays. Dans ce contexte, il dira que «nous avons construit une importante épargne budgétaire». Il ne s'est pas aussi empêché de rappeler que l'Algérie a fait «le choix de financer son programme de développement en s'appuyant exclusivement sur la monnaie nationale et non en recourant aux lignes de crédit extérieur». Et pour souligner l'efficience de cette démarche, il dira que le gouvernement a réussi à réduire le volume de la dette interne, la ramenant à 750 milliards de dinars en juin 2009 alors qu'elle était à la même période de l'année 2008 de l'ordre de 1.100 milliards de dinars. Ainsi donc, l'APN a adopté à la majorité ce texte de loi. Les députés du parti des travailleurs et ceux du FNA se sont abstenus de voter alors que leurs pairs du RCD ont, comme d'habitude, refusé de cautionner ce projet de loi. La plénière a rejeté tous les amendements proposés par les députés du parti des travailleurs. Le PT, qui a proposé pas moins de 51 amendements, n'a pu trouver le moindre soutien des autres groupes parlementaires. La secrétaire générale du parti, Louisa Hanoune, qui a elle-même fait quelques propositions d'amendements, n'a pas manqué de critiquer cette position exprimée par l'écrasante majorité des députés de l'APN en indiquant que l'assemblée n'est pas à la hauteur puisque elle n'apporte aucun soutien concret à la démarche de l'Etat tendant à revoir certaines politiques économiques initiées jusque là. A l'issue du vote, le président de l'APN , Abdelaziz Ziari, a indiqué que « cette caution est à même de consolider la politique d'investissement, la réalisation de l'ambitieux programme de développement et l'amélioration du pouvoir d'achat des citoyens».