La production connaîtra une régression à cause, notamment, de la propagation d'un parasite qui a touché plusieurs oliviers l'été dernier à l'échelle de wilaya, ce qui s'est répercuté négativement et d'une manière singulière sur la récolte. La production connaîtra une régression à cause, notamment, de la propagation d'un parasite qui a touché plusieurs oliviers l'été dernier à l'échelle de wilaya, ce qui s'est répercuté négativement et d'une manière singulière sur la récolte. Comme à l'accoutumée, chaque année la population de différents villages de la wilaya de Boumerdès, et à l'instar de toute la Kabylie, se préparent pour la saison de la cueillette des olives qui, souvent, débute au mois de novembre. Mais cette saison, de l'avis des oléiculteurs de la région, la récolte sera différente de celle de la précédente saison. Selon ces derniers, la production connaîtra une régression à cause, notamment, de la propagation d'un parasite qui a touché plusieurs oliviers l'été dernier à l'échelle de wilaya, ce qui s'est répercuté négativement et d'une manière singulière sur la récolte. «Les fleurs des olives sont vulnérables, notamment en période de floraison, et c'est justement cette période-là qui est propice pour la propagation du parasite», nous dira un oléiculteur. Par ailleurs, les incendies et les feux de forêts sont un facteur destructif du patrimoine floristique, notamment les oliveraies. L'été dernier, les feux ont ravagé plusieurs oliviers au village Boumraou, dans la commune de Naciria. Les propriétaires avaient même monté au créneau et exprimé leur colère devant le siège de l'APC. Le manque d'entretien des oliviers ainsi que l'exode rural qui frappe encore quelques contrées de Boumerdès, en raison de l'insécurité, contribuent à l'abandon de l'olivier. Aussi, le verger oléicole dans la wilaya occupe une insignifiante surface. L'oléiculture se concentre dans les régions est de la wilaya. Les agriculteurs craignent que la plantation de nouveaux arbres fruitiers recule avec le désintérêt de la jeune population. Toutefois, l'on ne peut pas nier les carences d'ordre technique liées, entre autres, au stockage et au conditionnement des olives, l'absence d'huileries modernes et le manque de techniques d'irrigation. «L'année dernière, un quintal d'olive nous donnait plus de 25 litres d'olives. Cette saison, nous ne récolterons pas plus de 15 litres le quintal», nous dira un oléiculteur du village Ighomrassen, dans la commune des Issers. Par ailleurs, il est à signaler que la wilaya de Boumerdès recèle des potentialités énormes pouvant lui permettre d'être au premier rang des wilayas productrices de ce produit précieux et bénéfique à la santé à la fois. Comme à l'accoutumée, chaque année la population de différents villages de la wilaya de Boumerdès, et à l'instar de toute la Kabylie, se préparent pour la saison de la cueillette des olives qui, souvent, débute au mois de novembre. Mais cette saison, de l'avis des oléiculteurs de la région, la récolte sera différente de celle de la précédente saison. Selon ces derniers, la production connaîtra une régression à cause, notamment, de la propagation d'un parasite qui a touché plusieurs oliviers l'été dernier à l'échelle de wilaya, ce qui s'est répercuté négativement et d'une manière singulière sur la récolte. «Les fleurs des olives sont vulnérables, notamment en période de floraison, et c'est justement cette période-là qui est propice pour la propagation du parasite», nous dira un oléiculteur. Par ailleurs, les incendies et les feux de forêts sont un facteur destructif du patrimoine floristique, notamment les oliveraies. L'été dernier, les feux ont ravagé plusieurs oliviers au village Boumraou, dans la commune de Naciria. Les propriétaires avaient même monté au créneau et exprimé leur colère devant le siège de l'APC. Le manque d'entretien des oliviers ainsi que l'exode rural qui frappe encore quelques contrées de Boumerdès, en raison de l'insécurité, contribuent à l'abandon de l'olivier. Aussi, le verger oléicole dans la wilaya occupe une insignifiante surface. L'oléiculture se concentre dans les régions est de la wilaya. Les agriculteurs craignent que la plantation de nouveaux arbres fruitiers recule avec le désintérêt de la jeune population. Toutefois, l'on ne peut pas nier les carences d'ordre technique liées, entre autres, au stockage et au conditionnement des olives, l'absence d'huileries modernes et le manque de techniques d'irrigation. «L'année dernière, un quintal d'olive nous donnait plus de 25 litres d'olives. Cette saison, nous ne récolterons pas plus de 15 litres le quintal», nous dira un oléiculteur du village Ighomrassen, dans la commune des Issers. Par ailleurs, il est à signaler que la wilaya de Boumerdès recèle des potentialités énormes pouvant lui permettre d'être au premier rang des wilayas productrices de ce produit précieux et bénéfique à la santé à la fois.