Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière vient de mobiliser 8.000 centres vaccinateurs contre la grippe A (H1N1), en prévision de la campagne de vaccination nationale qui débutera aussitôt les résultats du contrôle dudit vaccin rendus publics par l'institut Pasteur et autres organismes accrédités dans ce sens. Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière vient de mobiliser 8.000 centres vaccinateurs contre la grippe A (H1N1), en prévision de la campagne de vaccination nationale qui débutera aussitôt les résultats du contrôle dudit vaccin rendus publics par l'institut Pasteur et autres organismes accrédités dans ce sens. Le directeur de la prévention au ministère de la Santé, Smail Mesbah, a tenu à rassurer quant à l'innocuité du vaccin contre la grippe porcine. En attendant la délivrance du certificat de conformité par l'Institut Pasteur qui s'attelle, à présent, à l'examen technico-réglementaire, physico-chimique et toxicologique, le vaccin ne représente aucun risque avéré, sinon des effets secondaires et des réactions allergiques somme toute ordinaires, provoqués par tout produit actif, a-t-il soutenu. Rappelons que le dernier bilan officiel en date fait état de 24 décès et de 476 cas confirmés. Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière vient de mobiliser 8.000 centres vaccinateurs contre la grippe A (H1N1), en prévision de la campagne de vaccination nationale qui débutera aussitôt les résultats du contrôle dudit vaccin rendus publics par l'institut Pasteur et autres organismes accrédités dans ce sens. Pour ce faire, les autorités ont opté pour une stratégie de proximité, en instruisant les 48 Directions de la santé publique (DSP) de prendre les mesures nécessaires afin d'entamer au plus vite la campagne de vaccination dans les différents centres, équipés d'un médecin, de plusieurs agents vaccinateurs, d'un administrateur et d'un matériel approprié, notamment, une trousse médicale d'urgence pour prendre en charge des complications éventuelles post-vaccination, a affirmé, hier, Mme Amrani Samia, chargée du dossier grippe au ministère, lors d'une conférence de presse. Aussi, les patients seront-ils soumis à un examen préalable, a-t-elle indiqué, en plus d'un contrôle post-vaccinal 30 minutes après l'opération. «Les centres de vaccination sont déjà identifiés et des lots de vaccins distribués selon la densité des populations locales», a-t-elle ajouté. Selon le chargé de communication, la campagne ne saurait tarder à débuter, et elle concernera, dans un premier temps, une semaine durant, le corps médical (300.000 agents). Viendra ensuite le tour des femmes enceintes qui sont au nombre de 850.000. A ce titre, il y a lieu de signaler que les 713.000 doses de vaccin «Arepanrix» acquises par notre pays jusqu'à hier ne suffiront pas. «D'ici la fin de l'année, on aura près de 1,3 million de doses», a tenu à rassurer M. Belkessam, d'un lot global de 20 millions de doses commandé par l'Algérie auprès du Laboratoire canadien Glaxo-Smith-Kline (GSK), à recevoir en l'espace de 6 mois. Même avec ce lot supplémentaire, les patients risquent de se bousculer au portillon, car il reste encore le personnel assurant le maintien des activités essentielles et stratégiques (corps constitués), les personnes atteintes de pathologies chroniques, les enfants et adolescents entre 6 mois et 24 ans et puis l'entourage des nourrissons de moins de 6 mois. Le directeur de la prévention au ministère de la Santé, Smail Mesbah, a tenu à rassurer quant à l'innocuité du vaccin contre la grippe porcine. En attendant la délivrance du certificat de conformité par l'Institut Pasteur qui s'attelle, à présent, à l'examen technico-réglementaire, physico-chimique et toxicologique, le vaccin ne représente aucun risque avéré, sinon des effets secondaires et des réactions allergiques somme toute ordinaires, provoqués par tout produit actif, a-t-il soutenu. Rappelons que le dernier bilan officiel en date fait état de 24 décès et de 476 cas confirmés. Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière vient de mobiliser 8.000 centres vaccinateurs contre la grippe A (H1N1), en prévision de la campagne de vaccination nationale qui débutera aussitôt les résultats du contrôle dudit vaccin rendus publics par l'institut Pasteur et autres organismes accrédités dans ce sens. Pour ce faire, les autorités ont opté pour une stratégie de proximité, en instruisant les 48 Directions de la santé publique (DSP) de prendre les mesures nécessaires afin d'entamer au plus vite la campagne de vaccination dans les différents centres, équipés d'un médecin, de plusieurs agents vaccinateurs, d'un administrateur et d'un matériel approprié, notamment, une trousse médicale d'urgence pour prendre en charge des complications éventuelles post-vaccination, a affirmé, hier, Mme Amrani Samia, chargée du dossier grippe au ministère, lors d'une conférence de presse. Aussi, les patients seront-ils soumis à un examen préalable, a-t-elle indiqué, en plus d'un contrôle post-vaccinal 30 minutes après l'opération. «Les centres de vaccination sont déjà identifiés et des lots de vaccins distribués selon la densité des populations locales», a-t-elle ajouté. Selon le chargé de communication, la campagne ne saurait tarder à débuter, et elle concernera, dans un premier temps, une semaine durant, le corps médical (300.000 agents). Viendra ensuite le tour des femmes enceintes qui sont au nombre de 850.000. A ce titre, il y a lieu de signaler que les 713.000 doses de vaccin «Arepanrix» acquises par notre pays jusqu'à hier ne suffiront pas. «D'ici la fin de l'année, on aura près de 1,3 million de doses», a tenu à rassurer M. Belkessam, d'un lot global de 20 millions de doses commandé par l'Algérie auprès du Laboratoire canadien Glaxo-Smith-Kline (GSK), à recevoir en l'espace de 6 mois. Même avec ce lot supplémentaire, les patients risquent de se bousculer au portillon, car il reste encore le personnel assurant le maintien des activités essentielles et stratégiques (corps constitués), les personnes atteintes de pathologies chroniques, les enfants et adolescents entre 6 mois et 24 ans et puis l'entourage des nourrissons de moins de 6 mois.