Des travaux, qui auraient dû durer tout au plus deux à trois semaines, et toujours pas terminés après plus de deux mois, telle est la situation qui prévaut au niveau de la station Etusa de la place du 1er-Mai. Des travaux, qui auraient dû durer tout au plus deux à trois semaines, et toujours pas terminés après plus de deux mois, telle est la situation qui prévaut au niveau de la station Etusa de la place du 1er-Mai. Les travaux de réaménagement de la station de transport urbain de la place du 1er-Mai, commune de Sidi M'hamed ont débuté cela fait bien plus de deux mois. Les nombreux usagers, des milliers quotidiennement, à transiter par cette station, ne savent plus que penser de la lenteur constatée sur ce chantier qui avance au ralenti. «Ce n'est pas normal que de simples travaux de réaménagement prennent autant de temps et sont d'ailleurs loin d'être achevés», nous dira un usager abordé à proximité de ce chantier. Après avoir pataugé dans la gadoue, malmené leurs chaussures sur les cailloux de ce chantier, voilà que l'on a procéder purement et simplement à la délocalisation de toutes les lignes desservies par cette station versdifférents points de ce quartier populeux. Cela n'est nullement fait, comme on peut facilement l'imaginer, pour y améliorer la circulation. Les usagers, quant à eux, par manque d'informations sont ballottés d'un endroit à un autre avant de trouver le bon bus au terme d'un stress de plusieurs minutes. Au début les travaux avaient consisté en l'installation de nouveaux Abribus, l'opération s'est déroulée plus ou moins bien, les usagers pensaient être au bout de leurs peines. Mais quelques temps plus tard l'Etablissement de la gestion de la circulation et de transport urbain a décidé la réhabilitation de l'ensemble de la station, y compris la chaussée. Louable initiative, s'il en est, de la part de l'UGCTU, mais pas nécessairement urgente particulièrement en hiver. Mais on était loin de s'attendre à ce que ce chantier connaisse une lenteur pareille et donne l'impression de ne pas avancer du tout. Après avoir stagné durant de longues semaines, ce n'est que la semaine dernière que les engins ont été enfin installé sur cet espace apportant ainsi une lueur d'espoir. En fait ces travaux qui n'auraient pas dû excéder, dans le pire des cas, deux à trois semaines ne voient toujours pas le bout du tunnel. L'un des ouvriers faisant partie de l'équipe en charge du revêtement de la voirie de cette station n'hésite pas à nous affirmer que "le temps déjà écoulé dans le cadre de la réhabilitation de cette station aurait largement suffit pour la réalisation d'une nouvelle station entièrement équipée». Pourquoi donc tout ce retard, et quelles en sont les raisons, le même ouvrier, interrogé à ce sujet, préfère ne pas s'exprimer à ce sujet. Preuve en est qu'il n'y a pas vraiment d'exuses et que le chantier aurait dû être terminé depuis longtemps. D'ailleurs il faut se rendre à l'évidence que n'étaient les dernières pluies, qui ont secoué l'inertie des responsables de ce chantier lesquels ont vu, impuissants, les matériaux entreposés sur les lieux s'en aller charriés par les pluies ou transformés en une boue inexploitable. Cela les a certainement décidé à réagir et tenter de stopper la gagébie. Cela nous porte à affirmer que ce retard n'est nullement justifié, puisque l'on constate, même pour des profanes, que les travaux viennent tout juste de démarrer. Les travaux de réaménagement de la station de transport urbain de la place du 1er-Mai, commune de Sidi M'hamed ont débuté cela fait bien plus de deux mois. Les nombreux usagers, des milliers quotidiennement, à transiter par cette station, ne savent plus que penser de la lenteur constatée sur ce chantier qui avance au ralenti. «Ce n'est pas normal que de simples travaux de réaménagement prennent autant de temps et sont d'ailleurs loin d'être achevés», nous dira un usager abordé à proximité de ce chantier. Après avoir pataugé dans la gadoue, malmené leurs chaussures sur les cailloux de ce chantier, voilà que l'on a procéder purement et simplement à la délocalisation de toutes les lignes desservies par cette station versdifférents points de ce quartier populeux. Cela n'est nullement fait, comme on peut facilement l'imaginer, pour y améliorer la circulation. Les usagers, quant à eux, par manque d'informations sont ballottés d'un endroit à un autre avant de trouver le bon bus au terme d'un stress de plusieurs minutes. Au début les travaux avaient consisté en l'installation de nouveaux Abribus, l'opération s'est déroulée plus ou moins bien, les usagers pensaient être au bout de leurs peines. Mais quelques temps plus tard l'Etablissement de la gestion de la circulation et de transport urbain a décidé la réhabilitation de l'ensemble de la station, y compris la chaussée. Louable initiative, s'il en est, de la part de l'UGCTU, mais pas nécessairement urgente particulièrement en hiver. Mais on était loin de s'attendre à ce que ce chantier connaisse une lenteur pareille et donne l'impression de ne pas avancer du tout. Après avoir stagné durant de longues semaines, ce n'est que la semaine dernière que les engins ont été enfin installé sur cet espace apportant ainsi une lueur d'espoir. En fait ces travaux qui n'auraient pas dû excéder, dans le pire des cas, deux à trois semaines ne voient toujours pas le bout du tunnel. L'un des ouvriers faisant partie de l'équipe en charge du revêtement de la voirie de cette station n'hésite pas à nous affirmer que "le temps déjà écoulé dans le cadre de la réhabilitation de cette station aurait largement suffit pour la réalisation d'une nouvelle station entièrement équipée». Pourquoi donc tout ce retard, et quelles en sont les raisons, le même ouvrier, interrogé à ce sujet, préfère ne pas s'exprimer à ce sujet. Preuve en est qu'il n'y a pas vraiment d'exuses et que le chantier aurait dû être terminé depuis longtemps. D'ailleurs il faut se rendre à l'évidence que n'étaient les dernières pluies, qui ont secoué l'inertie des responsables de ce chantier lesquels ont vu, impuissants, les matériaux entreposés sur les lieux s'en aller charriés par les pluies ou transformés en une boue inexploitable. Cela les a certainement décidé à réagir et tenter de stopper la gagébie. Cela nous porte à affirmer que ce retard n'est nullement justifié, puisque l'on constate, même pour des profanes, que les travaux viennent tout juste de démarrer.