A force de clamer que nous ne voulons pas, dans le domaine politique, avoir à choisir entre la peste et le choléra (suivez mon regard !), n'était-il pas fatal qu'on finisse par les avoir les deux, et cette fois carrément dans le domaine sanitaire ? Pas en même temps, certes. La peste, c'était il y a quelques lunaisons à Oran. Et le choléra, là, maintenant. C'est une sacrée prouesse, ce doublé ! A. T. [email protected]