Sans doute dans les «prolongations» du «chantier éternel» du square Port-Saïd, les travaux ont atteint la place Mohamed- Touri, prolongement naturel du Théâtre national algérien Mahieddine-Bachtarzi. Une chaussée pour voitures a été aménagée jusqu'au perron du théâtre. Les espaces verts ont rétréci comme une peau de chagrin. «La bonne nouvelle» est qu'avec le réaménagement de la place, les jeunes du quartier ne pourront pas jouer au football et déranger ceux qui viennent voir une pièce théâtrale ou un spectacle artistique. Parfois, on a le «choix» entre le mauvais et le moins mauvais. K. B. [email protected]