Devant le nombre accru et alarmant de diab�tiques, maladie corr�l�e � de nombreuses complications et qui touche les personnes de tout �ge, l�association Nour El-Amel pr�sid�e par Mme Sebbah a organis� une journ�e de sensibilisation sur la prise en charge de tous les sujets diab�tiques. La rencontre a eu pour cadre le centre culturel islamique et a vu la participation de m�decins, psychologues, param�dicaux, �ducateurs des laboratoires Novo Nordisk, Sanofi, Aventis, Roche, Life Scan et Accu Chek et des malades. Plusieurs communications ont �t� pr�sent�es notamment des bienfaits du d�pistage et la pr�vention de tous les types du diab�te qui peuvent entra�ner d�autres maladies dont les maladies cardiovasculaires, r�nales, et l�hypertension art�rielle. La pr�sidente a anim� le sujet du pied diab�tique, tandis que m�decins et �ducateurs des labos sus-indiqu�s ont abord� plusieurs communications. M. Karim Bouterf�s, �ducateur dans la r�gion ouest et repr�sentant de Novo Nordisk, a expos� le th�me de l�hypoglyc�mie chez le patient, lorsque le taux de glucose (sucre) dans le sang est trop bas, en dessous de 0,5 g/l, puis donn� la description m�dicale, les sympt�mes, les personnes � risques, les facteurs � risques, la pr�vention, les traitements m�dicaux et les approches compl�mentaires. Il a aussi insist� sur le fait de pratiquer une activit� sportive, la marche par exemple pendant une bonne petite heure. Enfin, il citera les dangers de l�hypoglyc�mie chez le malade qui peut tomber dans le coma. Cette manifestation a vis� � sensibiliser les diab�tiques sur la gravit� de cette pathologie, de s�informer sur la meilleure prise en charge et les moyens de pr�vention et de traitement. Les organisateurs de cette manifestation pr�voient �galement des sorties vers les communes de la wilaya avec comme objectif : expliquer le diab�te et faire conna�tre les programmes con�us sp�cialement pour les enfants atteints de cette maladie. Le diab�te dans la wilaya touche environ 7 000 personnes et beaucoup ignorent leur �tat de sant� et ne peuvent, par cons�quent, agir ad�quatement pour emp�cher la maladie de progresser. A. Bensadok Un bus percute mortellement un pi�ton Un travailleur qui rejoignait son domicile par une soir�e pluvieuse a �t� renvers� par un bus assurant la liaison Oran-Mostaganem. Il �tait environ 18h30, lorsqu�un pi�ton �g� de 33 ans, tentant de traverser la route, � hauteur du nouveau pont de Stidia, �t� percut� de plein fouet par un bus. Arriv�s rapidement sur place, les �l�ments de la Protection civile ont essay� de lui porter secours, malheureusement malgr� les efforts des m�decins du SAMU, l�homme n�a pu �tre sauv�. Le corps de la victime a �t� d�pos� � la morgue de l�h�pital, tandis que la gendarmerie a ouvert une enqu�te pour d�terminer les circonstances exactes de ce drame. A. B. Journ�e de protestation � l�universit� Le pr�sident du bureau de l�ONEA (Organisation nationale des �tudiants alg�riens), M. Hamdi Ch�rif Abed, nous d�clara � la suite d�une conf�rence de presse que les �tudiants affili�s � cette organisation ont observ� r�cemment un sit-in devant le rectorat � Kharrouba, premi�re forme retenue par les membres de l�AG pour marquer cette journ�e de protestation. Leurs principales revendications sont d�ordre p�dagogique. Les repr�sentants des �tudiants ont retenu plusieurs formes de contestation pour faire valoir leurs droits dont la probabilit� de d�clencher une gr�ve jusqu�� satisfaction de leurs dol�ances. Les organisateurs souhaitent associer les autres organisations estudiantines afin de faire entendre leurs voix. Le responsable du bureau de cette organisation nous r�v�la qu�en date du 18 octobre dernier, il d�posa au niveau du rectorat une lettre de protestation, puis une autre lettre de rappel r�dig�e une semaine plus tard mais qui sont rest�es sans suite. Le 7 novembre, un sit-in a �t� organis� � l�institut des sciences mais le service d�ordre a intervenu pour disperser les �tudiants. On peut lire dans le document de protestation que les �tudiants d�clarent que les cours n�ont pas d�but� dans certains d�partements depuis la rentr�e universitaire, que quelques �tudiants n�ont pas re�u leurs relev�s de notes de l�exercice pr�c�dent, que les inscriptions accusent des retards, que dans quelques sp�cialit�s les �tudiants suivent les cours � l�ext�rieur des salles de cours ou amphi faute de place, que cette organisation souhaite conna�tre la liste des candidats admis aux masters, et sur quels crit�res ont-ils �t� retenus, que certains professeurs b�n�ficiant des bourses � l��tranger laissent leurs bureaux ferm�s des mois, pour ne citer que celles-l�, car les revendications sont nombreuses.