Un couple donneur/r�cepteur a �t� op�r� dimanche dernier au service urologie du CHU de Tizi-Ouzou, sans l�assistance de m�decins �trangers. Des transplantations r�nales au CHU de Tizi-Ouzou ? Rien d�extraordinaire, puisque en d�cembre 2006 a eu lieu la toute premi�re greffe r�nale, r�alis�e par le Canadien Dr Baram, entour� de l��quipe m�dicale du CHU. Forts d�une exp�rience de 50 greffes r�nales assist�es par des m�decins �trangers, le Dr Belasla, m�decin-chef du service urologie, l��quipe de n�phrologie dirig�e par le professeur Seba, les r�animateurs et les param�dicaux de l��quipe �laborent alors la 51e seuls. Une r�ussite ! C�est donc une premi�re qui met fin � toutes les appr�hensions. La n�cessit� des greffes augmente � une allure vertigineuses ; on compte aujourd�hui sur le territoire national 14 000 personnes atteintes de n�phropathies, et � Tizi-Ouzou, chaque ann�e on enregistre 120 nouveaux cas, tellement, d�apr�s le Dr Belasla, tous les centres d�h�modialyse, priv�s ou publics de la wilaya, sont satur�s. Les membres de l��quipe souhaitent que la loi qui ne permet des transplantations qu�avec des donneurs ascendants ou descendants �largisse le cercle des donneurs � d�autres membres d�une m�me famille ; ils esp�rent moins de r�pugnance de la part de la population envers les donneurs cadav�riques, ceci permettra de soulager les souffrances d�un grand nombre de patients. G. Kahina Plusieurs affaissements sur la RN71 � A�n-El-Hammam Bien qu�accueillies avec satisfaction, par les paysans, les derni�res pluies et neiges qui se sont abattues sur les hauteurs de la Kabylie ont caus� des dommages aux habitations et surtout aux routes. Sur le tron�on A�n-El-Hammam-Beni Yenni, soit une vingtaine de kilom�tres, la RN71 s�est affaiss�e en plusieurs endroits. A quelques encablures de l�h�pital, un �boulement a emport� tout l�accotement. La d�nivellation peut constituer, surtout de nuit, un pi�ge mortel pour les automobilistes non avertis. Pour �viter la crevasse, les voitures doivent aborder le virage tout proche par le milieu de la chauss�e. L�endroit est fr�quent� par des centaines d��l�ves du CEM situ� en contrebas, ce qui fait craindre le pire. Une dizaine de kilom�tres plus loin, au lieu dit El-Djema�, la chauss�e est carr�ment r�duite � une seule voie. L�autre partie, pourtant r�par�e il y a peu pour les m�mes causes, s�est affaiss�e � nouveau sur plus d�un m�tre de profondeur. Tout cela fait de la RN71 une route dangereuse. Un �largissement de la voie et des confortements en divers endroits deviennent imp�ratifs.