TIPASA Am�nagement d�un parc littoral � Sidi Ghil�s La protection de l�environnement et la pr�servation du cadre de vie au niveau de la wilaya de Tipasa, restent la pr�occupation majeure des autorit�s locales, mais aussi de la Direction de l�environnement. C�est � ce titre qu�il est pr�vu sur la c�te maritime de la ville de Sidi Ghil�s, l�am�nagement d�un jardin littoral d�une superficie de 8 hectares, sur le site d�une ancienne d�charge qui jouxtait le littoral maritime occupant une importante superficie, qui fut dans le pass� une belle �tendue sablonneuse, sur laquelle le ressac des vagues faisait entendre son clapotis. Il convient de rappeler que ce projet de jardin littoral jouxte aussi la proximit� imm�diate du projet touristique de Cap Rouge, sacr� p�le touristique d�excellence, par la gr�ce du PDAU de 2005, pr�vu pour �tre r�vis� incessamment pour �r�gulariser ou compenser� la suppression du march� de gros, de l�Ecole nationale de l�habitat et de l�urbanisme, de l�Agence nationale du d�veloppement de la recherche universitaire (ANDRU), de l�Agence nationale de la recherche et du d�veloppement technologique (ANVREDET), du Centre international de recherche en physique exp�rimentale, du Centre international de recherche en math�matiques, et enfin d�un hypoth�tique Palais de la culture de 4 hectares . L�ensemble de ces projets, adopt�s par le PDAU de Cherchell et le POS n�14, appel� �POS Belahcen�, qui ne verront certainement jamais le jour, except� un complexe sportif de 5 hectares, qui se trouve toujours � l��tat de projet, sont situ�s en outre � proximit� d�un site touristique baln�aire, maritime et f��rique de surcro�t, tant pour le plaisir des estivants, des familles, des baigneurs, des p�cheurs de circonstance ou des adeptes de randonn�es sur cano�. Malheureusement pour le tourisme local, pour les estivants et les Cherchellois, ce projet de Cap Rouge, qui s��tend sur une superficie de 48 hectares, adopt� par le plan d�am�nagement et d�urbanisme de 2005, semble h�las �tre aujourd�hui d�tourn� de sa vocation initiale au profit de projets qui ne concernent ni le tourisme c�tier ou baln�aire, ni l��conomie r�gionale. La situation de Cap Rouge est aggrav�e, comme on le constate par l��lagage de plusieurs �coles et agences nationales, au profit de projets qui restent inconnus des citoyens. A ce titre, plusieurs citoyens de Cherchell et des observateurs locaux avertis et sp�cialistes en mati�re de tourisme, �voquent �l�irresponsabilit� des �lus locaux, qui affectera pour longtemps le tourisme et l��conomie locale, sachant que la suppression des projets de 2 h�tels de 600 lits chacun et d�un projet de village artisanal r�gional ainsi que d�une avenue pi�tonne de plus de 2 000 m�tres sur 20 m�tres de large sur la c�te maritime de Cherchell constituent autant de manque � gagner pour le tourisme local, si on consid�re l�important retard pris dans l�am�nagement de l�h�tel C�sar�e, la suppression de l�h�tel Caravans�rail et le retard pris dans la r�alisation du projet d�am�nagement d�un front de mer de 36 000 m2, o� il est pr�vu la r�alisation d�un h�tel de type R+7 de 42 chambres avec 84 lits de 2 places, de 24 chambres � un lit, de 14 suites, d�un parking de 50 places, d�un restaurant de 300 couverts, d�un terrain de sport de 6 000 m2 et d�un aquaparc de 14 400 m2. Autant de projet pour, en d�finitive n�avoir aucune chambre d�h�tel dans la da�ra de Cherchell, pourtant r�put�e �tre une zone touristique d�excellence �, s�insurge Mohammed, un sexag�naire, nostalgique de l�ancienne ville de Cherchell, et ancien employ� dans le secteur du tourisme. Pr�cisons par ailleurs que ce parc littoral de Sidi Ghil�s, se trouve �tre compl�t� par l�am�nagement d�un parc citadin de 23 hectares � Tipasa, en milieu urbain, constituant un haut lieu de d�tente pour les familles et les �tudiants de l�universit� de Tipasa, puisqu�il se situe � proximit� imm�diate du p�le universitaire et de la future Maison de l�environnement de Tipasa. Selon, la Direction de l�environnement de Tipasa, �ces projets consistent � valoriser l�image urbaine de la ville en mati�re d�espaces verts.� Larbi Houari ALGER 4es journ�es marketing touristique en janvier 2013 Les journ�es internationales du marketing touristique reviennent, sous le patronage du ministre du Tourisme et de l�Artisanat, pour la quatri�me �dition, du 14 au 15 janvier prochain. Un �v�nement mais aussi une manifestation qui invitera l�ensemble des professionnels du secteur, de la communication, des �tudiants et des m�dias. Autour de la th�matique �Tourisme, la grande mutation�, des experts, invit�s par les organisateurs RH. International Communication, se proposent d�aborder des th�mes qui sont au programme des grandes rencontres internationales, int�ressant cette industrie qui demeure l�incontournable arme pour grand nombre de pays qui militent pour son d�veloppement �conomique. Parmi les th�mes, on notera �la publicit� et tourisme : bien communiquer aupr�s des consommateurs l�gitimement exigeants�, ou encore �l�importance et l'impact de l'identit� visuelle dans la promotion du tourisme, la communication institutionnelle �. �Pourquoi la visibilit� de la marque a-t-elle pris de nos jours une telle ampleur dans la promotion du tourisme�, �quelles sont les strat�gies de communication (en ligne/hors ligne) � privil�gier dans le tourisme� ou encore �l�approche de la communication touristique en direction des jeunes en rapport avec les news m�dia-tourisme durable : opportunit�s et exigences� �territoriale au marketing des territoires : des b�n�fices pour ceux qui y r�sident comme pour ceux que le territoire souhaite�. Enfin des tables rondes et pl�ni�res domineront ces journ�es. Rachid Hessas, directeur g�n�ral de RH. Communication annoncera que les prochaines journ�es choisiront et permettront de f�d�rer tous les acteurs du tourisme mais aussi les commer�ants autour d�un th�me commun. �Nous voulons que ces rendez-vous contribuent � renforcer le r�le des institutions pour un tourisme de qualit�, comp�titif et durable.� R. R. B�JA�A Grogne � l�h�pital de Sidi-A�ch Un vent de col�re a encore souffl� sur l�Etablissement public hospitalier de Sidi-A�ch, hier, o� le personnel m�dical et param�dical a observ�, pour la deuxi�me journ�e cons�cutive, un arr�t de travail pour d�noncer le �m�pris� affich� � leur �gard par la tutelle qui �tarde� � proc�der � l�assainissement de leur situation financi�re. Les blouses blanches de Sidi- A�ch qui ont �galement ferm� le si�ge de l�administration de l�EPH, veulent faire pression sur la direction de la structure de sant� pour le versement de la deuxi�me tranche de leur prime qui accuse �un retard de quinze mois�, a rapport� un syndicaliste. �Lors d�une rencontre ayant regroup� au si�ge de la da�ra de Sidi-A�ch la direction de l�EPH, la Recette des contributions et des repr�sentants du corps m�dical et param�dical, on nous a promis d��tre r�gularis�s avant le 20 novembre. Mais force est de constater que l�engagement des diff�rentes parties, consign� dans un proc�s-verbal, n�a pas �t� respect� �, s�insurge un syndicaliste de l�EPH. Les protestataires, qui ne comptent pas l�cher prise, ont menac� de radicaliser leur mouvement, �si � la fin de la premi�re semaine du mois de d�cembre, cette deuxi�me tranche de leur prime n�est pas vers�e�. Par ailleurs, le directeur de la sant� de B�ja�a, qui s�est rendu � Sidi-A�ch dans la matin�e, a, lors d�une r�union avec le responsable de l�EPH et les diff�rents corps (m�dical, param�dical) et autres travailleurs exer�ant � l�h�pital, promis �une r�elle prise en charge � des dol�ances des protestataires.