Tribunal criminel de Batna, 95 affaires au menu La premi�re session du tribunal criminel de Batna s'ouvrira le samedi 5 mars, avec au programme 95 affaires. Elle comporte 21 affaires li�es au terrorisme, 28 de droit commun, 18 relevant de l'int�grit� physique des personnes (crimes) 13 affaires de mœurs et onze relatives au d�tournement de denier public et trafic de monnaie. Parmi 323 pr�venus, 94 sont aux arr�ts, 116 en libert� provisoire, quatre d�c�d�s et 108 en fuite. Toutes les mesures n�cessaires pour la r�ussite de cette premi�re session de l'ann�e en cours ont �t� prises par le parquet g�n�ral. Gr�ve des auto-�coles La section syndicale (UGTA) des directeurs des auto-�coles de la wilaya de Batna a lanc� un pr�avis de gr�ve illimit�e � partir du 15 mars en cours pour protester contre les agissements jug�s irresponsables du directeur du transport de la wilaya. Lors de la journ�e d'�tude consacr�e au projet de loi 16/04, le directeur du transport a mis le feu aux poudres en fustigeant les directeurs d'auto-�cole, les accablants de tous les maux en pr�sence des repr�sentants de la s�curit� et de la Direction de la concurrence et des prix. Les 100 directeurs pr�sents � cette journ�e se sont retrouv�s pour, disent-ils, remettre les pendules � l'heure. Le directeur du transport qui veut s'ing�rer dans les droits d'examen arr�te � trente le nombre de dossiers pour les �coles disposant de deux v�hicules et ayant droit � 20 suppl�mentaires ainsi que l'ouverture d'�coles aux nouveaux dipl�m�s qui ont suivi une formation de trois semestres au CFPA. Le bras de fer ne fait que commencer. Quand sera-t-il dans quinze jours ? Des maires devant la justice... et en prison Que se passe-t-il aux mairies de la wilaya de Batna ? Le P/APC de Ma�fa, da�ra d'A�n-Touta, a ouvert le bal devant la cour de Barika o� il a �cop� de six mois de prison ferme et cinq mille dinars d'amende. Celui de Fesdis, da�ra de Batna, s'en est tir� avec six mois avec sursis. Ces derniers ont �t� relev�s de leusr fonctions par le wali. La mairie du chef-lieu de wilaya est depuis quelques jours entre les bonnes mains de la gendarmerie qui a ouvert une enqu�te suite � un lourd dossier comportant des preuves sur des malversations de pr�t de six milliards de centimes. Des vice-pr�sidents se seraient sucr�s, si l'on croit le "dossier" anonyme adress� � toutes les autorit�s de la wilaya. Ce n'est pas tout. Les services sp�cialis�s de la Gendarmerie nationale seraient sur d'autres affaires concernant les communes de Guigba, Boumia, Lazrou, Oued-El-Ma. Pour les motifs de malversations et mauvaise gestion aussi. Et ce n'est qu'un d�but, puisque le mouvement associatif bouge du c�t� de Timga o� l'on accable le maire de tous les maux. De la marginalisation des �lus � celle des organisations et associations, � la non-prise en charge des �coles primaires des zones rurales, aux favoritisme, tribalisme, recrutement abusif, n�gligence des routes de la commune, station d'essence, march� hebdomadaire, complaisance en mati�re de construction illicite, etc. sont les griefs d�cri�s par les organisations dites r�volutionnaires et les associations � caract�re socioculturel de la commune. Affaire � suivre. Int�r�t pour la production laiti�re Depuis l'av�nement du PNDA, l'ITEF de Batna ne d�semplit pas de stagiaires pour diff�rentes formations aux jeunes investisseurs, perfectionnement et journ�es d'�tude pour les cadres. Mais lors de la journ�e scientifique organis�e par la SARL SOPROVET sous le th�me "La mamelle de la vache laiti�re et ses pathologies" tous les records de pr�sence ont �t� battus. Il est vrai que l'�levage bovin suscite de l'int�r�t et les efforts fournis par l'Etat en vue de pallier l'important d�ficit en production laiti�re motivent les jeunes investisseurs d'o� l'int�r�t pour ce genre de journ�e. Les jeunes investisseurs, les �tudiants et m�me les v�t�rinaires pr�sents en nombre � cette journ�e ont �t� satisfaits des interventions et surtout le c�t� pratique � combien utile � la conduite du troupeau. Les principaux animateurs de cette journ�e, le professeur Miroud de l'institut v�t�rinaire de Tarf, et le Dr Dehimi, conseiller au niveau de l'Institut de technologie bovine-ovine d'A�n-M'lila, ont r�pondu � toutes les sollicitations d'un public avide de savoir-faire. Batna s'enrichit d'un nouveau h�tel La ville de Batna, dont les capacit�s h�teli�res restent faibles par rapport � ses atouts touristiques, vient de s'enrichir d'un nouveau h�tel de haut standing. L'h�tel familial Hazem se situe au centre-ville de Batna, au quartier r�sidentiel du stand, non loin des all�es Benboula�d. Avec 19 chambres de deux et trois lits, quatre suites et quatre appartements, il offre tous les services dont a besoin le touriste, le missionnaire, l'homme d'affaires et surtout les familles. Meubles de style oriental, hammams, douches jacuzzi, t�l�vision, t�l�phone, climatisation, eau chaude H24, etc. caf�t�ria, restaurant... des atouts qui garantissent la r�ussite et forcent le classement. La wilaya de Batna dispose actuellement de 16 h�tels dont douze �tablissements sis au chef-lieu de wilaya et quatre � A�n-Touta, Barika, Timgad et Fesdib (un motel). La capacit� d'accueil de ses infrastructures h�teli�res n'atteint pas encore les mille lits, un chiffre insignifiant par rapport � la dimension de cette wilaya touristique. �l�ve en danger Depuis le d�but de l'ann�e scolaire en cours, une �l�ve de premi�re ann�e secondaire est pers�cut�e par son professeur de litt�rature pour avoir l'accent constantinois ! Mais ses parents ne savent plus � quel saint se vouer apr�s en avoir inform� le pr�sident de l'APE, le proviseur du lyc�e (Khadidja) et le directeur de l'�ducation. Devant la passivit� de ces deux derniers "l'�ducatrice" s'est acharn�e sur l'�l�ve, n�e avec un seul rein, par des actes d'intimidation, de brimades et d'humiliation. De par le silence coupable de ceux qui peuvent emp�cher cette enseignante de continuer � s�vir, veut-on pousser les parents � l'irr�parable. A bon entendeur salut ! ... El�ve en danger Depuis le d�but de l'ann�e scolaire en cours, une �l�ve de premi�re ann�e secondaire est pers�cut�e par son professeur de litt�rature pour avoir l'accent constantinois ! Mais ses parents ne savent plus � quel saint se vouer apr�s en avoir inform� le pr�sident de l'APE, le proviseur du lyc�e (Khadidja) et le directeur de l'�ducation. Devant la passivit� de ces deux derniers "l'�ducatrice" s'est acharn�e sur l'�l�ve, n�e avec un seul rein, par des actes d'intimidation, de brimades et d'humiliation. De par le silence coupable de ceux qui peuvent emp�cher cette enseignante de continuer � s�vir, veut-on pousser les parents � l'irr�parable. A bon entendeur salut ! ... Houadef M.