L'accusation porte également sur des attributions illégales de logements du programme portant Résorption de l'habitat précaire (RHP) au niveau des cités Sidi Amar de Ghazaouet et 980 logements à Oujlida. Selon le texte de la plainte, «il a été attribué 2 logements à la cité Sidi Amar à la dénommée K.F. dans le cadre de ce programme et 3 autres logements à la cité des 100 logements de Ghazaouet à une autre femme. Les deux bénéficiaires ne remplissent pas les critères pour en bénéficier, et elles occupent les logements sans aucun bail de location à ce jour». Lors de la distribution des 980 logements sociaux d'Oujlida, il a été attribué illégalement deux logements sociaux à deux employés de l'OPGI, à l'insu du wali et du chef de daïra. Les personnes occupent, selon la plainte, un logement situé à la cité des 234 logements d'Oujlida (immeuble H appartement 12) et à la cité d'El-Koudia (immeuble A 2, appartement 1/84).