Le président de la Ligue de football professionnel (LFP), Mahfoud Kerbadj, a annoncé mercredi à Alger, son intention de se retirer définitivement de son poste à l'issue de la saison 2015-2016 qui coïncide avec la fin de son mandat à la tête de l'instance chargée de la gestion de la compétition. «Je n'ai pas l'intention de me présenter pour un nouveau mandat. Déjà, j'ai consenti à contrecœur d'aller au bout de mon mandat», a déclaré Kerbadj à la presse, en marge d'un forum contre la violence, organisé par la direction générale de la Sûreté nationale à l'école supérieure de Police Ali- Tounsi à Alger. Ancien président du CR Belouizdad, Mahfoud Kerbadj, élu à la présidence de la LFP en juillet 2011, avait démissionné de son poste, «pour des raisons de santé» lors de l'assemblée générale ordinaire en mars 2015, avant de revenir sur sa décision sur insistance des membres de l'assemblée générale et du président de la FAF, Mohamed Raouraoua. 4 clubs autorisés à recruter 4 joueurs Les formations de la JS Kabylie, de l'USM Alger du RC Arbaâ (Ligue 1) et de la JSM Skikda (Ligue 2) sont autorisées à engager quatre nouveaux joueurs lors de l'actuel mercato d'hiver et non pas trois comme c'est le cas pour les autres clubs des deux Ligues, a indiqué à l'APS le président de la Ligue de football professionnel (LFP), Mahfoud Kerbadj. Cette mesure a été prise au profit de la JSK suite à la blessure de son joueur Ahmed Gagaâ au cours de sa participation avec la sélection olympique nationale à la Coupe d'Afrique-2015 des moins de 23 ans au Sénégal. La blessure du jeune milieu de terrain a nécessité son passage sur le billard, synonyme de forfait pour la suite de la saison. Quant à l'USMA, au RCA et à la JSMS, ils ont bénéficié chacun d'une licence supplémentaire en raison de la suspension pour dopage pour une durée de 4 ans de leurs joueurs, respectivement Youcef Belaili, Rafik Boussaid et Noufel Ghassiri, a expliqué le patron de la LFP. Kerbadj a informé en outre que la demande formulée par les clubs concernés par les compétitions africaines en 2016 de bénéficier à leur tour d'une quatrième licence, a eu une suite défavorable.