«Le point positif, c'est que nous n'aurons pas à nous déplacer après notre première sortie, mais nous allons affronter des adversaires coriaces, que nous devrons respecter. Les Etats-Unis sont une bonne formation, de même que l'Algérie et la Slovénie. Toutes les sélections présentes en Coupe du monde possèdent de sérieux atouts. Nous jouerons les deux derniers matches de groupes au niveau de la mer, ce qui compliquera les choses par rapport à notre entrée en lice à Rustenburg. Mais je ne me chercherai pas d'excuses. Toutes les équipes auront affaire à forte partie, joueront dans des conditions difficiles et tenteront de gagner leurs matches pour remporter le trophée. Nous avons affronté et battu récemment les sélections américaine et slovène. Elles sont bien organisées, elles aiment faire circuler le ballon, ce seront des adversaires valeureux. L'Algérie a vaincu l'Egypte, il ne faudra pas la prendre à la légère non plus, mais je dois en apprendre plus à son sujet. Mon expérience de joueur m'a appris qu'on aborde cette compétition avec une pression et un mental différents. Est-ce que nous allons gagner la Coupe du monde ? Il le faut !»