Cheveux gris et quelques années de plus, Indiana Jones qui n'a rien perdu de sa superbe, reçoit la visite surprise de sa filleule Helena Shaw, qui est à la recherche d'un artefact rare que son père a confié à Indiana par le passé: le fameux cadran d'Archimède, une relique qui aurait le pouvoir de localiser les fissures temporelles. Helena vole l'objet et quitte précipitamment le pays afin de le vendre au plus offrant. Indy n'a d'autre choix que de se lancer à sa poursuite. Cela, sans compter sur ce nazi qui veut lui aussi récupérer le même objet pour remonter le temps et se retrouver à nouveau à la guerre de 1939 et remédier aux erreurs de Hitler et ainsi prendre le pouvoir...cet antipathique Allemand est campé par le célèbre acteur Mads Mikkelsen. Têtue, la filleule ne jure que par l'argent, mais sait être touchante par endroit. Interprété par Phoebie Waller-Bridge, elle est celle qui accompagne par défaut docteur Jones car il lui faut toujours un partenaire féminin... mais aussi un jeune garçon comme par le passé. Les vrais savent! D'ailleurs, les clins d'oeil aux précédents «Indina Jones» ne manquent pas. Harrison Ford, alias cet aventurier téméraire d'archéologue en a vécu des choses. La scène de ces sales bestioles rappelle celle des cafards...des anciens amis resurgissent. À couper le souffle Dans «Indiana Jones et le cadran de la destinée», il faut vraiment bien s'accrocher et dés les premières minutes. Le film qui dure deux heures 22 mn ne nous laisse aucun répit. Palpitant, il se decline comme un vrai James Bond traversant mer et montagne pour arriver à ses fins. En effet, des Usa l'on passe au Maroc, de Tanger à Marrakech, de la Grèce à la Sicile...Indiana Jones est désormais vieux, mais il a de la force à revendre et de la ruse, tout comme sa filleule surtout dont le père était un brave ami de Jones. Archéologue lui aussi, il aura perpétué le vice de retrouver le reste de cet artefact fabriqué par Archimède, jusqu' à en devenir obsédé. Il fera promettre Indiana Jones de le retrouver et le détruire, alors que sa fille veut le retrouver pour le vendre aux enchères et empocher le pactole...D'aventure en aventure, ces deux parviennent à se rapprocher et sauver l'un quand l'autre est en danger...faille dans le temps, des courses poursuite en vois -tu en voila... sur un train, à dos de cheval, mais aussi dans le métro, dans une grotte...la magie d'Indiana Jones demeure intacte! Le cinquième et dernier épisode de la saga saura tenir en haleine le public. Malgré l'âge avancé de notre Indy, ses prouesses et son talent sont là indiscutablement. Le film commence dans le passé pour comprendre la trame et revient au présent au moment où le professeur Indiana Jones s'apprête à partir en retraite...Véritable film d'action, l'on retrouve aussi l'humour cher à notre Harrison Ford dans cette saga. En effet, nous sommes en 1969. Après avoir passé plus de dix ans à enseigner au Hunter College de New York, l'estimé docteur Jones, professeur d'archéologie, est sur le point de prendre sa retraite et de couler des jours paisibles, quand tout bascule après la visite surprise de sa filleule Helena Shaw, qui est à la recherche de ce trésor miraculeux, rare, que son père a confié à Indy des années auparavant: le fameux cadran d'Archimède, une relique qui aurait le pouvoir de localiser les fissures temporelles. Harrison Ford ou le talent d'un comédien En arnaqueuse accomplie, Helena vole l'objet et quitte précipitamment le pays afin de le vendre au plus offrant. Indy n'a d'autre choix que de se lancer à sa poursuite. Il ressort son fedora et son blouson de cuir pour une dernière virée.. Une virée bien haletante au grand bonheur de ses fans qui resteront scotchés sur leur chaise en suivant chaque instant de ce film qui n'a pas pris une ride tant Indiana Jones parvient à se renouveler. Les ingrédiens sont toujours les mêmes, de la folie dans les scènes de combat, un zest de glamour et d'humour folichon, mais avec au bout du tunnel de l'émotion, toujours! C'est ce qui rend Indiana Jones un film indémodable car puissement beau et généreux. Un film qui fait du bien au coeur en nous mettant plein les yeux! Indiana Jones demeure ce loup des stepps, indocile mais si profondément attendrissant que l'on fond devant un tel personnage. Cela aurait pu être l'Indiana Jones de trop eh bien non! Ce n'est pas le cas. Bien ficelé, le scnéario est signé par James Mangold, Jez Butterworth, David Koepp et John-Henry Butterworth. Quatre personnes et non des moindres pour arriver à un tel résulat qui en valait la peine. Les décors sont fantastiques comme le sont tous les Indiana Jones qui sont mis en scène dans un rythme téellement effrené qu'on ne voit pas le temps passer. Nous avons été le voir samedi dernier, 1er juillet à la salle Ibn Zeydoun de Riadh El Feth en présence de nombreuses familles qui ont adoré, qui plus est la fin du film, en appaludissant la scène... Pour savoir laquelle, rendez-vous dans les différentes salles de cinéma où le film est projeté. C'est à ne manquer sous aucun pretexte! Fidèle à lui-même, les fans d'Indiana Jones, vont adorer ce dernier épisode...une raison de plus pour y aller!